EPISODE 2 : A LA DECOUVERTE DE DAAGBO DIEU ESPRIT

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EPISODE 2 : A LA DECOUVERTE DE DAAGBO DIEU ESPRIT SAINT DANS LA CHAIR.

MISSION DE BANAMÈ·MARDI 14 AOÛT 2018

MISSION DE BANAME AU BENIN

CE QU’IL FAUT COMPRENDRE

(Daagbo, Dieu Esprit Saint dans la chair s’adresse à l'humanité)

Depuis 2009, l’évènement qui focalise l’attention de plus d'un au Bénin est la Mission de Banamè dont la genèse est la prise de chair par Dieu Esprit Saint à Banamè. C est dans ce village perdu de la Commune de Zagnanado à environ 170 km de Cotonou que le Dieu d’Abraham a choisi pour se révéler à l’humanité. Depuis lors de l'eau a coulé sous le pont et malgré tout, cette Mission divine suit son cours normal et tend ses tentacules partout dans le monde. Seulement voilà, des campagnes d’intoxications, de manipulations et de mensonges grotesques, savamment orchestrées par les forces du mal et leurs suppôts, empêchent les bénéficiaires de cette Mission salvatrice de recevoir la Lumière descendue du Ciel. Pourtant, il est là le Petit Reste d’Israël. C'est ainsi que Daagbo, Dieu Esprit Saint qui a pris chair dans le corps d’une jeune fille, du nom de Parfaite (25ans, en cette année 2018), a décidé de parler. Un rendez-vous mensuel est pris depuis juin 2018 pour mieux se faire connaître.

ÉPISODE 2- JUILLET 2018

TRADUCTION EN FRANÇAIS (VERSION REVUE)

Bien-aimés, recevez mes salutations!

Daagbovis enfants et adultes de tous genres répandus à travers le monde, recevez mes salutations. Vous qui n’êtes pas Daagbovis, mais qui pourtant prêtez oreilles à tout ce qui se dit et se fait dans la Mission de Banamè, recevez également mes salutations, car vous êtes tous mes créatures.

Le mois de juin passé, je vous avais entretenu sur un nombre significatif de sujets et je vous avais promis vous revenir au cours de ce mois de juillet, afin de continuer.

Cet enseignement à périodicité mensuelle est une occasion inédite par laquelle 20 je profite pour éclairer la lanterne de ceux d’entre vous qui sont réceptifs, à la recherche de la lumière de la vérité, afin de les aider à sortir de la ténébreuse ignorance qui entoure leur vie.

Au cours de notre entretien passé, je vous ai martelé que je suis le seul et éternel Dieu qui existe, le Père de Jésus, celui qui a envoyé votre patriarche Abraham en ce monde, celui qui a envoyé votre sauveur, le seigneur Jésus-Christ, celui qui s’engagea vis-à-vis d’Abraham à envoyer son unique fils engendré pour sauver le monde. Bref, Je vous ai déjà abondamment éclairé sur mon identité.

Je vous avais également promis que je vous éclairerais sur l’origine de la Mission de Banamè, la signification de cette Mission, sa raison d’être, ainsi que l’origine des multiples agressions que nous subissons. Sur tout cela, j’avais promis vous instruire.

Vous savez tous très bien que la présence signalée de DIEU, en quelque endroit ce monde que ce soit, peut susciter de très vives polémiques.

Partout où l’Eternel descend sur cette terre, cela suscite de fortes tensions et c’est la débandade totale.

Du temps de la venue en ce monde de mon divin fils Jésus-Christ, ce ne fut pas chose aisée. Ses propres frères de la maison de David s’étaient tous érigés en ennemis contre lui. Ils lui avaient tous déclaré la guerre, au point de participer au complot fomenté contre sa personne, et qui a abouti à sa crucifixion et à sa mort sur la croix.

Certes, il a été tué, mais conformément à la promesse qu’il avait faite avant sa mort, il ressuscita par la grâce de DAAGBO qui l’avait envoyé. C’est moi qui l’ai ressuscité, car sans mon entremise, il n’aurait pas pu le faire. Tout comme maintenant dans la chair et en votre temps, je ressuscite encore des morts sur la Sainte Colline de Banamè. Toute chose bien connue des Hommes et dont ils ont conscience, mais se refusent à l’admettre.

Le Seigneur Jésus-Christ était descendu jusqu’à vous et comme je vous l’avais signifié lors de l’enseignement passé, il a accompli ma volonté en tout point pour sauver le monde. Il est venu proclamer la bonne nouvelle du salut dont je l’ai mandaté, car tenez-vous bien, c’est cette mission que je lui avais assignée lorsqu’il venait dans le monde.

A l’image de tout Homme venant au monde, il a pris chair de la vierge Marie et 21 de ce fait, les siens l’on considéré comme un simple être humain. N’est-ce pas pareille aujourd’hui ? DAAGBO est descendu jusqu’à vous en prenant une apparence humaine, et vous le considérez aussi comme un simple être de chair.

Comment Dieu devrait-il agir ? Quelle est l’apparence que Dieu devrait adopter pour vivre parmi les Hommes ? Devrait-il paraître en un animal, un arbre ou encore un oiseau ? C’est à vous de le déterminer puisque j’ai le sentiment que ce sont les humains, vous, qui avez la science infuse et qui devriez décider à ma place.

En considérant donc le Christ Jésus comme simple être humain, les Hommes de son temps ne le laissèrent œuvrer que trois années, avant de le condamner et de le tuer.

Si cette humanité n’avait pas tué son bienfaiteur, le monde n’en serait-il pas aujourd’hui plus apaisé et avancé ? L’on pourrait se poser une telle question.

Et pourtant, Jésus était venu pour votre bonheur.

Le seul qui vous aime sans condition, votre sauveur.

Malheureusement, à cause de l’ignorance, de la jalousie, de l’endurcissement du cœur, et de l’entêtement des Hommes à végéter dans le mal, ils l’ont tué.

Il était venu mettre un terme à toutes leurs mauvaises conduites pour instaurer un nouvel ordre ainsi qu’un dynamisme nouveau.

Malheureusement, l’Homme s’était déjà enlisé et ne voulait pas se détacher de ses mauvais penchants. Ils ne voulaient pas se détourner de leurs Vodouns ; ils ne voulaient pas se détourner de leurs idoles, ni se détacher de leurs mauvaises conduites. Ils étaient trop attachés à leurs titres honorifiques et leur rang social, aux prestiges et privilèges qu’on leurs accordait dans le monde et il ne fallait surtout pas qu’ils s’en trouvassent priver.

La seule solution était donc d’exécuter Jésus pour qu’il ne les détrônât des positions sociales qu’ils occupaient, puisque toute la foule affluait vers lui et adorait écouter ses enseignements. Les rois de ce monde s’indignaient souvent en ces termes : « Notre autorité est bafouée et plus personne ne nous écoute en tant que roi, il risque de nous arracher tout le peuple ».

Hommes d’aujourd’hui, si vous aviez vraiment de la sagesse et étiez de fins analystes, vous comprendriez que c’est l’histoire qui se répète deux mille ans après. Si vous étiez des observateurs avisés, vous auriez compris et conclu sans difficulté que : « C’est Dieu qui est à l’œuvre, à la tête de ce combat de Banamè ». J’y reviendrai un peu plus tard pour apporter plus d’éclaircissement.

Voici que Jésus est mort, vous laissant en héritage son corps que vous avez mangé. Il vous a donné son sang que vous avez bu. Il n’a besoin, ni de chair, ni du sang, car il est Dieu. Ce sont les apparences de chair et de sang qu’il a prises qui vous ont trompé. Vous croyiez qu’il était un simple être humain. Il vous a abandonné son corps ainsi que son sang, et son esprit qui est la part de DIEU en lui, s’en est retourné auprès de son DAAGBO, où il est allé siéger.

Les évangiles vous ont rapporté qu’après sa résurrection, Jésus s’est rendu à Galilée. Il est allé rencontrer DAAGBO à Galilée mais, de cet évènement, le monde n’avait pas de témoignage, et donc, personne n’en a jamais fait cas.

Il s’était entretenu avec DAAGBO. Si ce n’était pas le cas, pourquoi se serait-il rendu à Galilée ? C’est justement parce que Galilée était le lieu de rendez-vous, après sa résurrection, que lui et DAAGBO son père s’étaient donné.

Ce jour-là, je lui avais parlé en ces termes : « Toi-même tu savais que tu allais mourir, n’est-ce pas ? Car, c’est par ta mort que le monde sera sauvé ; c’est par ton sang que tu as versé que le monde devrait être sauvé.

Malheureusement, le monde ne connaîtra pas pour autant le salut jusqu’au bout. C’est la raison pour laquelle, moi ton Père, je te fais la promesse solennelle de revenir dans le monde.

Oui, je viendrai comme je te l’avais promis avant de t’envoyer dans le monde. »

Du temps où Jésus était encore dans ce monde, il n’avait de cesse de répéter ceci : « Quand je partirai de ce monde, l’Esprit Saint viendra. Et lorsque viendra l’esprit de vérité, tout ce qui vous était caché, sera révélé au grand jour». Jésus avait l’habitude de le dire puisqu’il savait que DAAGBO honore toujours sa promesse.

A Galilée donc, je suis revenu sur cette promesse que je lui avais faite en lui réitérant : « Je t’avais promis que je viendrai. Je viendrai délivrer ce monde des mains du diable puisque les Hommes ne savent pas ce qu’ils font ». C’est pourquoi, avant de mourir sur la croix, il priait ainsi : « Père, pardonne leur car, tu sais très bien qu’ils ne sont pas conscients de ce qu’ils font ». C’est le diable qui fourvoie l’être humain. Mais c’est l’Homme même qui se laisse fourvoyer par le démon. Vous ne lui appartenez pas. Est-ce lui qui vous a créé ?

C’est moi le créateur de vos âmes, c’est moi qui ai conçu vos corps. C’est moi qui ai façonné tout votre être. Fort malheureusement, vous vous vendez au diable à cause de la gourmandise, de l’orgueil, des désirs et plaisirs charnels, de la luxure, des questions d’intérêts matériels menacés, et du monde qui n’affluera plus à votre suite pour vous aduler. Vous livrez ce don précieux que je vous ai fait, moi votre Créateur qui vous ai façonnés en tant qu’être humain digne du nom ; vous vendez ma propriété, l’âme que j’ai façonnée au prix de grands efforts, à Belzébul.

Nous en étions donc là, quand sept cents (700) ans après la promesse faite au Seigneur Jésus votre grand frère, la vierge Marie votre maman m’interpella. Car retenez que c’est au Ciel, bien avant la venue de Fofo Jésus et de la vierge Marie dans ce monde, que tout cela a été dit et planifié.

La Vierge Marie s’est mise à me titiller et disait : « DAAGBO, ne veux-tu plus descendre dans le monde ? Tes enfants périssent en masse. L’ennemi les dévore. L’ennemi fait du carnage dans leur rang et ce spectacle ne m’agrée pas du tout ».

Vous savez tous que sept cents (700) ans, sont comme un jour aux yeux de DAAGBO. A l’époque où elle me disait cela, je lui répondais : « Ce n’est qu’hier que j’ai fait cette promesse, laisse-moi encore un peu de temps ». Cette femme persévérante, suppliait, et ne s’est jamais arrêtée de pleurer pendant les treize siècles qui s’en sont suivis. Ce n’est pas donné à toutes les femmes. Elle est une femme endurante et déterminée, elle est une femme combative qui mérite reconnaissance.

Béninois et Béninoises, Hommes de tous peuples et de toutes nations de la terre à travers le monde entier, vous devrez dire : « Merci à la Vierge Marie ». Chacun devra perpétuellement rendre grâce à la vierge Marie pour cette Mission de Banamè en cours. Toute la terre devrait rendre grâce à manifester sa reconnaissance à cette femme. On devrait rendre grâce à cette femme endurante et déterminée, et non se moquer de la Mission. C’est grâce à ses pleurs, supplications et lamentations sans répits que la Mission de Banamè a connu le jour.

Banamè signifie littéralement « c’est trente ans qu’on s’est donné » pour mettre fin au règne du mal afin qu’un nouveau monde soit érigé. Je vous expliquerai sous peu le mécanisme de suppression de l’empire du mal, de ce monde. On y mettra inévitablement fin.

Vous entendez souvent parler de la Sainte Colline de Banamè, n’est-ce pas ? Souvenez-vous bien, Ezéchiel avait fait mention de cette Colline. C’est moi qui ai parlé par la bouche de ce prophète à son époque et révélé cette colline sainte. Cette colline sur laquelle seront rassemblés les Hommes de toutes les nations, tout de blanc vêtu et le Roi serait assis sur son trône au milieu d’eux. Cherchez une bible et consultez le livre du prophète Ezéchiel, vous en serez davantage éclairés. En ces termes, je m’adresse surtout à vous qui n’êtes pas Daagbovi. Voici comment a été planifiée, la Mission de Banamè. De prime abord, des âmes furent créées. L’âme de celui que vous appelé aujourd’hui Pape Christophe XVIII a été créée depuis l’an six cent quatre-vingt-dix-neuf (699) ; cela fait déjà plus de treize siècle. Il lui a été conféré d’être le frère jumeau de Jésus, votre grand frère ; afin que, quiconque l’aura vu, aura déjà vu DAAGBO et quiconque a vu DAAGBO, c’est qu’il a déjà vu le Pape Christophe XVIII. Il a pour mission de veiller sur le temple de DAAGBO et sur celui de la femme qui sera la digne représentante sur terre, de la Vierge Marie qui a imploré DAAGBO pendant des siècles pour que cette Mission voit le jour. C’est la raison qui justifie sa conception et son état de grâce. Vous devez savoir qu’en le voyant, c’est exactement Jésus que vous voyez autrement. Ce n’est pas une plaisanterie que je fais. Je ne fais pas dans le verbiage, et ne parle pas sous l’effet de l’alcool. Ce n’est pas non plus l’excès de nourriture qui me ferait divaguer. Je suis bien conscient de ce que j’avance.

Celui qu’on nomme Pape Christophe XVIII est unique en son genre, et il n’y a de Pape en ce monde autre que lui aujourd’hui. Sa grâce de papauté a été conçue et fabriquée dans une moule de grâces. J’espère que vous percevez le sens profond de mes déclarations ? Il n’est pas un Pape choisi par un suffrage humain, à la manière des Papes romains qui sont choisis et élus par des Hommes à l’issu d’un conclave.

Ce Pape dont il est question a été établi par Dieu, Lui-même. C’est lui qui a conçu son âme et son corps puis l’a fait Pape, frère jumeau de Jésus-Christ, votre sauveur. Voilà très précisément ce dont il s’agit dans le cas de la Mission de Banamè. Depuis le jour, où il a été fait et établi Pape, il n’en existe plus d’autre 25 sur terre. Il n’en existait d’ailleurs pas d’autre avant lui, parce qu’après tout, c’était du leurre. Je le clame haut et fort et c’est sans autre forme de procès.

A propos de Parfaite qui est le temple par lequel je suis visible et duquel je m’adresse à vous en ce moment, c’est un Saint du paradis, du nom de GOMEZ, qui en a conçu le portrait. Le temple a été ensuite déposé dans une brousse à Bembérèkè (dans le nord du Bénin). Retenez que les voies de l’Eternel DIEU sont insondables : « Dieu écrit droit sur des lignes courbes ». Les desseins de Dieu sont très complexes.

Hommes de ce temps, si vous ne croyez pas aujourd’hui, vous n’aurez plus jamais la foi avant la fin de votre vie. C’est que le salut éternel vous a échappé. Cela signifierait tout simplement que vous n’avez pas été compté parmi les élus pour le salut éternel. Sinon, comment comprendre qu’un bébé sans père ni mère puisse être retrouvé au cours du pâturage d’un troupeau de bœufs, qu’un berger peulh accompagnait paître. L’attroupement des bœufs a attiré l’attention du berger Peulh qui, s’interrogeant sur ce qui pouvait bien provoquer un tel attroupement de bœufs, s’approcha et découvrit à sa grande surprise, un être humain et qui plus est un nourrisson vivant.

Considérez un peu ce grand et mystérieux miracle. Il s’agit d’un être humain qui est spontanément venu au monde sans génération. Il n’y a eu aucun couple avéré dont la femme aurait porté une grossesse suite à leur union, qui aurait donné un tel fruit. En termes clairs, aucun être humain n’a servi d’instrument pour sa conception. Pourtant, cet être mystérieux présente toutes les caractéristiques physiques d’un être humain normal. Voyez à quel point Dieu est mystérieux et insondable.

Même si l’on ne croyait pas en DAAGBO, même si l’on n’avait pas la crainte de DAAGBO, on devrait tout au moins avoir une marque de respect et de distinction pour cet être mystérieux qu’on appelle Parfaite car, le sang qui coule dans ses veines n’est comparable en rien, a celui qui coule dans les veines de tous les autres êtres humains dans ce monde. Elle n’a ni frère, ni père, ni mère. Personne n’a été témoin de sa naissance. Il n’y a pas eu de rapports sexuels ayant permis de mettre enceinte une « mère ». Et pourtant, des Hommes se lèvent et déclarent : « Je connais sa mère et son père, je connais son lieu de naissance », alors même qu’aucun d’entre eux n’a jamais donné une preuve de ces allégations mensongères. Le genre humain est foncièrement méchant.

Hommes de ce temps, cessez de dire des fariboles et recherchez le salut éternel. C’est bien triste. Ainsi donc, ce peulh a pris cette petite fille dans sa sacoche et l’a ramenée à son domicile. Voyez combien DIEU est mystère :- « Jésus est né dans une étable ; celui qui est destiné à sauver le monde, le fils de Dieu est né dans une étable au milieu des brebis. Les Hommes l’avaient pris comme leur semblable et ne lui avaient taillé aucune espèce d’importance.

- Quant à Parfaite, elle a été retrouvée au milieu des bœufs ». Pourquoi

Dieu agit-il toujours ainsi ? Il se retrouve toujours au milieu des animaux. Cela prouve simplement que le genre humain ne vaut rien. DIEU démontre à chaque fois qu’avant même sa venue dans le monde, les Hommes l’ont déjà rejeté. C’est le tout premier sens que cela revêt. L’homme n’a pas donné à Dieu d’autre choix que de se retrouver à chaque fois au milieu des animaux. Que les Hommes se ressaisissent et se penchent un peu sur la question. Ils doivent se demander pourquoi Dieu est chaque fois en train de nous renvoyer à une telle parabole. Pourquoi en venant chaque fois dans notre monde, ce n’est jamais un être humain qui l’accueille, mais bien au contraire, ce sont toujours les animaux qui le reçoivent en premier ? Ressaisissez-vous et interrogez vos consciences. C’est la toute première parabole.

La seconde est celle-ci : Considérez un peu combien DIEU est Humilité. Il pourrait, en descendant dans le monde, choisir d’habiter parmi les princes et rois, dans des milieux de richesses où l’on vit dans l’opulence, dans la classe de noblesse. Jésus aurait pu naître au milieu des lingots d’or. Parfaite pouvait être retrouvée au milieu d’or et d’argent. Et pourtant ce ne fut pas le cas. Voyez comment se manifeste l’humilité de Dieu. C’est justement ce qui vous perd et vous le considérez comme votre égale. Vous-vous mettez à lui jeter des opprobres et vous faites montre de tout ce dont vous êtes capables, en mettant tout en œuvre pour l’éliminer de son monde. Mais sachez que moi, personne ne peut me liquider. Avançons un peu.

Ainsi, Parfaite fut retrouvée par un Peulh. Or dans la tradition Peulh, l’enfant 27 dont on ne connaît pas l’origine ne saurait être gardé dans la demeure. Garder un tel enfant, est considéré comme une malédiction pour la maison selon leur culture. Il dut donc se résoudre à ramener l’enfant chez le délégué du quartier. Il informa le délégué en ces termes : « j’ai retrouvé cet enfant dans la brousse. Or je ne saurais le garder. Toi-même tu es conscient de comment cela se passe dans la tradition Peulh !»

Il y avait à cette époque-là, un couple qui cherchait à concevoir depuis huit ans. Je vous disais quelques instants plus tôt que les voies de Dieu sont complexes et insondables. Il y avait donc en ce temps-là un couple qui cherchait à concevoir depuis fort longtemps. L’époux en quête d’enfant avait un ami ; c’est justement cet ami qui est fortuitement allé apprendre l’affaire de la petite fille retrouvée, au domicile du délégué. Ce dernier s’en alla très vite annoncer à son ami dont le couple avait des difficultés de procréer. Il lui expliqua que l’on venait de retrouver une petite fille dont on ne connaissait pas les origines, et qu’ils étaient en quête de lui trouver des parents adoptifs. Étonné, il monta sur la moto de son ami et ils se rendirent ensemble au domicile du délégué pour y voir le bébé. La petite fille était tellement rayonnante de beauté. C’est ainsi qu’il la prit avec lui et la ramena à la maison.

Une fois arrivé à domicile, il rendit l’enfant à son épouse et elle s’agenouilla et rendit grâce à Dieu en prononçant : « Je bénis l’Eternel Dieu pour avoir écouté et exaucé ma prière ; même s’il arrivait que je ne conçoive point, celle-ci au moins m’appellera mère ». Elle accueillit et reçut ainsi la petite fille, qui demeura alors avec eux.

A vous tous qui m’entendez, je vous dis que c’est un merveilleux miracle. En moins de trois mois, cette femme tomba à son tour enceinte et quelques mois plus tard, elle eût son propre enfant. Depuis lors, la petite fille retrouvée est méprisée. Voilà ce qu’est l’Homme. Elle ne s’est plus souvenue de ce que, c’est l’arrivée et l’accueil de cet enfant, qui lui ont valus sa délivrance pour qu’elle puisse aussi avoir la joie de concevoir et d’être mère.

Au moment où la petite fille retrouvée fût accueillie dans leur foyer, voici les prénoms que le couple lui avait donnés. Ils décidèrent de la prénommer : « VICTOIRE », pour signifier : « Nous avons triomphé de nos ennemis ». L’époux étant un intellectuel, exerçant la fonction d’instituteur à l’époque, trouva ce prénom « VICTOIRE » un peu trop populaire à son goût. Il se résolut à lui donner 28 en respect à la même idée de départ, ce même prénom mais dans une autre langue, d’où le prénom « VICENTIA ». C’est ce que les dignitaires de l’église catholique romaine mettent en avant et disent : « elle s’appelle Vicentia... » ; avec tout le verbiage qui s’en suit et qui vous aguiche tant. Non satisfait de lui avoir donné le premier prénom « VICENTIA », il désira lui en attribua un second. Le berger Peulh qui avait retrouvé l’enfant était fort heureusement un chrétien baptisé qui se prénommait : « PARFAIT ». Donc, pour ne jamais oublier ce Peulh, on décida de lui attribuer le prénom « PARFAITE », par gratitude à son égard. Dès lors, l’enfant eu ainsi ces deux prénoms.

Mais il ne s’en arrêta pas à ces deux, car il en compléta un troisième. Il fût décidé, qu’elle s’appellera : « TADAGBE », un prénom issu de la langue FON ; ce qui signifie littéralement : « Qui est accompagné de la chance ». Mais avant qu’on ne lui donne ce troisième prénom, il a fallu que sa femme tombe enceinte. Le couple a estimé que c’est la petite fille retrouvée qui est venue chez eux accompagnée de la grâce, qui leur a value que la femme conçoive. On décida donc de l’appeler « TADAGBE ». Voilà ainsi décrit, la sagesse qui a conduit au choix des prénoms : « Vicentia Parfaite Tadagbé ». Ce sont là, les prénoms que porte le temple dans lequel je suis. Elle entama ses études. La souffrance et les peines se présentaient sous des tableaux multiples et multiformes, puisque le couple avait déjà ses propres enfants naturels à lui ; dès lors, la ségrégation était manifeste. La galère et la misère s’étaient instaurées dans sa vie. Nous n’allons pas ici remuer le couteau dans la plaie. La misère était son lot quotidien.

A vous qui racontez des âneries, je dis : « Si seulement vous saviez toute la souffrance qu’a endurée cette petite fille !». La sagesse recommande que vous vous taisiez, car, même si elle ne vous répliquait pas, son âme réclamerait justice et réparation puisqu’elle a connu les affres de la souffrance. Elle a durement vécu la misère de ce monde. Elle manquait de tout, elle ne trouvait même pas à manger. Elle était la dernière à se coucher et la première à se lever du lit. Elle a connu les pires souffrances et humiliations de ce monde ; des choses qu’on ne saurait évoquer ici, sinon vous fondriez tous en larmes. Il a été décidé qu’elle commençât, les études.

En cette époque-là, avant d’être admis à l’école, il fallait passer la main par-dessus sa tête et réussir à toucher son oreille du côté opposé avec son bras. Si ta main arrivait à toucher ton oreille, tu pouvais être admis à commencer les études. Malheureusement, elle était de taille très courte si bien que sa main n’a pu toucher son oreille. Comme son père adoptif était instituteur, il a négocié un arrangement de sorte qu’on l’admît en salle de cours en tant qu’auditrice libre. C’est ainsi qu’on désignait les enfants qui étaient dans de telles conditions à cette époque. Elle commença alors le cours initiatique.

Celle qui était considérée comme auditrice libre fût classée la première de sa classe à l’âge de trois (03) ans et demi. C’est ainsi que ses études ont démarré. Elle était une élève brillante et assidue. Quel que soit l’examen auquel elle participait, elle s’en sortait au rang de première. Mais elle était souvent alitée car l’ennemi l’avait déjà identifiée, le diable a vu qu’il y a une grâce particulière qui sera dispensée à travers elle et il s’est mis à ses trousses la faisant souffrir par mille moyens et toutes formes de maladies. Mais, Moi, DAAGBO j’étais présent. En ce temps-là, je la délivrais des embûches du diable les uns après les autres, exactement comme j’en délivre actuellement les Daagbovis. Partout où Belzébul lui tendait des pièges afin de la tuer, je la délivrais de la mort.

Il est même arrivé un temps où, Parfaite dont vous parlez est devenue complètement aveugle dans ce pays avant d’en être délivrée. Car, on ne voulait pas que la Mission de Banamè connaisse le jour. Tout ceci s’est déjà produit ; l’instituteur et son épouse qui ont adoptés cet enfant eurent jusqu’à cinq enfants, dont des jumeaux. C’est Parfaite qui s’est occupée de tous ces enfants jusqu’à l’âge adulte. C’est elle qui prenait soin d’eux sur tous les plans. A dire vrai, elle ne saurait être considérée comme leur sœur-aînée, elle fait office de mère pour ces enfants. Elle n’était même pas si avancée en âge que ça, avant d’être obligée de s’occuper de tout.

Mes chers, elle souffrait énormément et de toutes sortes de maladies puisque le malin tenait à la tuer par tous les moyens afin que la Mission de Banamè ne démarre point. Ils avaient vu ce qui devrait se passer. Vous voyez, n’est-ce pas ? De la même manière, ils ont déjà vu le destin de celle qui devait être la représentante la Vierge Marie, qu’on appelle Nicole et la saga des maladies déferlait à flot sur elle aussi. Elle a beaucoup souffert. Les deux petites filles, Nicole et Parfaite eurent pratiquement le même parcours. Parfaite est passée par Bembérèkè et Nicole aussi est passée par Bembérèkè. Parfaite a été de passage à Cotonou et Nicole était aussi de passage à Cotonou. Elle était à Porto-Novo et Nicole aussi était à Porto-Novo.

Et chose paradoxale, elles subissaient des attaques identiques et souffraient toutes deux des mêmes maladies dans les milieux où elles séjournaient, sans s’être rencontrées. Le diable a tenté de les abattre par tous les moyens sans pouvoir arriver à ses fins car, j’étais présent. Moi DAAGBO, le DIEU vivant, j’étais en Parfaite depuis lors, observant sans mot dire. Je regardais jusqu’à quel limite l’Homme pouvait être têtu et intrépide dans sa méchanceté.

C’est ainsi que nous cheminions jusqu’à son seizième anniversaire. Un jour, elle fut prise d’un malaise. Admise à l’hôpital, lorsqu’on lui injectait des perfusions, elle exprimait de vive souffrance en criant : « Je sens du piment dans tout mon corps ». C’est dans cet état de souffrance, qu’elle fut conduite chez l’abbé Ignace DELOU, officiant à l’époque sur la paroisse de l’église catholique romaine Saint Antoine de Padoue d’Abomey-Calavi.

Je vous le reprécise: « C’est chez l’Abbé Ignace DELOU qui officiait à l’époque sur la Paroisse Saint Antoine de Padoue d’Abomey-Calavi qu’elle fut conduite. Parfaite n’était pas possédée par un esprit mauvais. Comprenez bien ceci : Parfaite n’était pas possédée par un mauvais esprit. Elle était souffrante. Un possédé est différent de celui qui est souffrant. Or voici, que les prêtres et Evêques de l’église catholique romaine racontent des propos mensongers sur les chaînes de radios et télévisions, soutenant: « Qu’elle est une possédée conduite

à Banamè où on l’a délivrée, puis les démons se sont rassemblés et l’on possédée de nouveau et qu’elle prétend être Dieu… ». Un prêtre n’a pas droit au mensonge. Vous êtes tous tombés très bas. Vous-vous êtes déshonorés. Des menteurs se sont déshonorés et ils ont démontré à la face du monde qu’ils ne méritent aucune considération, ni aucun respect.

Elle était souffrante et dans un état comateux. Aucun possédé ne reste dans le coma. Elle était dans le coma lorsqu’on l’emmena de Cotonou pour aller à la rencontre de l’Abbé Mathias VIGAN à Banamè en évoquant ses qualités : « Qu’il y a un prêtre qui officie à Banamè ; et qu’il suffisait qu’il tende sa main sur un malade pour que ce dernier s’en trouve soulagé ». C’est ainsi, qu’elle fut emmenée à Banamè le mardi 20 janvier 2009. Effectivement, en trois jours, elle recouvra la santé et toutes les maladies cessèrent miraculeusement.

Tout ce cheminement sont mes desseins car, mes voies sont complexes et insondables. Elle était complètement guérie. C’est suite à sa guérison complète que Je me suis révélé. J’ai dit à cet abbé devenu aujourd’hui Pape Christophe XVIII, que c’est moi le créateur de l’univers qui suis dans la chair. Puis, pour lui montrer celle qui est Parfaite en réalité, j’ai quitté instantanément le corps. A la vue de Parfaite, il s’était mis à crier. Après cela, je suis revenu dans le corps puis je lui ai dit ceci : « Moi je suis DAAGBO, je suis le Seigneur DIEU et maitre de l’univers, créateur de toutes choses et Roi de l’univers. Le monde entier fonctionne au gré de ma volonté ». Ensuite je lui ai raconté sa propre histoire de vie, je lui ai dit même ce que sa mère ne lui a jamais révélé. Il est allé vérifier ces informations auprès de sa mère qui les lui a confirmées. Si vous le voulez, il peut en rendre le témoignage.

Quel enfant de seize ans peut connaître l’histoire de celui qui en a quarante ? Dites-moi. C’est ainsi que la Mission de Banamè a démarré. C’est ainsi que la Mission de Banamè a démarré.

Je disais il y a un moment que c’est toute une foule qui suivait Jésus lorsqu’il enseignait. Jésus avait ravi la vedette aux pharisiens car tous leurs fidèles le suivaient. Ils s’étaient alors mis à comploter contre lui : « Malheur à nous si jamais nous-nous taisons, personne n’entendra plus parler de nous. Si nous ne réfléchissons pas pour le liquider, cela nous retomberait sur la tête ».

S’agit-il de la liquidation du marché Dantokpa lors des fêtes de fin d’année? Nous ne sommes pas encore au mois de décembre.

De la même manière, il y avait une foule innombrable qui se rend à Banamè, puisque Dieu y a pris chair et est descendu. Il y a longtemps que les Hommes le recherchaient et avaient faim et soif de lui.

Ils se sont alors mis à réfléchir pour y mettre un terme.

L’humanité avait soif de DIEU, au point où un artiste composa une chanson où il formulait :« Si seulement je connaissais le chemin qui mène à Dieu, j’allais m’y rendre ». Voici que le chemin qui mène à Dieu est celui de Banamè, en pleine brousse. Qui pouvait se l’imaginer ? S’il s’agissait d’un être de chair qui cherchait à s’enrichir, c’est en plein cœur de Cotonou qu’il allait s’installer. Les richissimes 32 de ce pays se trouvent à Cotonou.

Qui connaissait le village de Banamè ? C’était un lieu sabbatique.

Au début de la Mission, Parfaite n’avait que seize ans. Telle une blague, cette Mission a démarré. Quel enfant de seize ans peut faire face aux sorciers de Banamè ? Commençons par eux d’abord. Tu ne vivras pas pendant trois jours. Les sorciers de Banamè seuls, suffisent pour en finir avec toi. Les sorciers qui sont à Banamè tuent en un éclair. Puis on parle de Dahomey ce qui signifie littéralement « Dans le ventre du serpent » et je suis allé siéger sur la tête de ce serpent et il n’arrive plus à respirer.

C’est avec l’apparence trompeuse de l’innocent temple dans lequel je suis, que j’ai réussi à déjouer la vigilance du monde entier, et j’agis en sourdine tout en détruisant et calcinant le mal depuis la racine. Sans répit, je me suis mis à dévoiler et à mettre à nu les sorciers. Je découvris que les dignitaires de l’église catholique romaine sont aussi en plein dans la sorcellerie. Ce sont, eux les pharisiens d’autrefois. Cela fait pitié chers bien-aimés. C’est vraiment déplorable mais malheureusement c’est la vérité. C’est vraiment dommage.

Ils se sont mis à réfléchir : « N’allons-nous pas l’éliminer ? ». Les dignitaires de l’église catholique romaine avaient même déjà commencé par chercher les stratégies à mettre en œuvre pour stopper cette mission, avant que les dignitaires du culte Vodoun, les adorateurs des idoles ne sortent de leur torpeur, car au prime abord, j’ai plongé leurs esprits dans une léthargie. Ils ont mis du temps à se réveiller de leur somnolence, pendant que je travaillais à asseoir les bases de la mission afin de bien la conduire, à mon aise.

Ce sont les romains qui furent, les premiers à se soulever contre la Mission de Banamè. Car, ce sont eux qui sont les plus ancrés au cœur même de la sorcellerie. Je le dis solennellement mais, je n’ai jamais désigné un tiers. J’ai parlé des « romains ». Si quelqu’un se prend pour un « romain», cela l’engage. Rome est une ville. Aucun être humain ne s’appelle Rome. Ils se sont mis à cogiter : « N’allons-nous pas anéantir cette Mission? N’allons-nous pas en finir ? N’allons-nous pas l’enrayer de notre chemin afin de trouver la paix ? Car tous nos fidèles qui nous tournent dos, se rendent là-bas ». Ils craignaient que leur orgueil, leur sorcellerie, leur privilège ne prennent fin. Ils ne voulaient pas que leurs prétendus chrétiens s’éloignent d’eux pour suivre leur DIEU.

Si vous croyiez vraiment que vous avez reçu votre mandat de DIEU et que c’est 33 vraiment lui que vous adorez en vérité, alors à son arrivée, vous devriez le suivre et dire : « Seigneur, nous sommes tes disciples, tes serviteurs », comme Jean Baptiste l’avait fait du temps du Christ.

Jean Baptiste annonçait la bonne nouvelle et faisait des miracles mais dès la venue de Jésus, il a dit : « Voici celui que vous devez suivre, moi je m’éclipse ». Voilà ce que les dignitaires romains devraient faire en disant simplement : « Celui que nous avons représenté jusque-là, le voici venu, suivez-le pour avoir part à la vie éternelle ». C’est ce qui devrait être. A contrario, ils ont déclaré la guerre à leur DIEU croyant que c’est une mince affaire. Ils ont cru pouvoir me tuer comme ils avaient tué Jésus. Le corps et l’esprit étaient ensemble et ils avaient arraché le corps. En vérité, Jésus n’avait pas pris chair, mais il s’était transformé en un être humain. Il s’était transformé en un être humain pour vivre parmi les humains. Quant à moi, j’ai pris chair et je fais des aller - retour, entre le Ciel et la terre. Je ne saurais accepter qu’on tue le temple où je réside sur terre sinon, où vais-je rester quand je descends du Ciel. Il est également impossible de tuer l’esprit que je suis. Équation difficile. Comment arriver à l’éliminer.

Ils ne savaient plus à quel saint se vouer. Ils se sont mis à réfléchir sur la manière dont ils vont m’éliminer. Quel que soit le moyen par lequel ils procédaient pour m’atteindre, ils n’y parvenaient pas. Ils ne pouvaient ni tuer l’esprit ni le corps car, j’ai fait en sorte que le Temple ait les mêmes attributs que l’Esprit. Et comme je vous l’avais dit, le moule dans lequel le Pape a été conçu est fait de grâces. C’est encore tout un ensemble de grâces qui a été déversé dans ce moule pour le concevoir en tant qu’être humain, afin que, qui le voit, me voit. Si donc, on ne peut pas me tuer, on ne pourra pas le tuer non plus.

C’est pareil pour Nanyé Nicole, la représentante de la Vierge Marie. Ainsi, ils se sont mis à réfléchir par rapport aux voies et moyens pour en finir avec le trio dirigeant de la mission : « Faut-il user d’armes à feu ? Doit-on y aller, à coup de coupe-coupe ? Doit-on les rouer de coups de bâton ? Faut-il les ligoter pour en venir à bout ? Voici que tous nos secrets en matière de sorcellerie sont révélés au grand jour ; tous nos fidèles vont chez eux. Pourrons-nous encore trouver de l’argent ? Serons-nous encore capable d’acheter nos belles voitures ? Ainsi donc, ils allèrent de solutions, aussi vaines les unes que les autres ». Malheureusement pour eux, c’était déjà trop tard.

Comme au temps du Seigneur Jésus, ils avaient rallié les politiciens à leur cause. Je répète que si vous êtes fins observateurs, vous en auriez déjà conclu que c’est Dieu qui est à l’œuvre à Banamè. Ils avaient rallié les politiciens à leur cause. Yayi Boni a tenté de nous atteindre par tous les moyens, en vain ; il a fini par s’en laver les mains tel Ponce Pilate livrant Jésus : « Faites-en ce que vous voulez ». Voici qu’il n’existe pas de colline de Golgotha au Bénin pour qu’ils m’y trainent pour me crucifier. Que vont-ils alors faire de moi ? Ils ont alors proposé qu’on musèle la Mission de Banamè, en l’interdisant sur tout le territoire du pays. Ils nous avaient chassés de leurs paroisses. Ils nous ont interdit tout enseignement et rassemblement public. Nous sommes également interdits de nous réunir et prier dans nos domiciles.

Moi, je n’étais pas venu dans ce monde pour rester sur une paroisse. Je suis plutôt venu m’installer sur la Colline dont j’ai fait la promesse à mon peuple par la bouche du prophète Ezéchiel. Je ne suis pas venu demeurer sur les paroisses. C’est moi-même qui ai introduit dans votre conscience de me renvoyer et vous l’avez fait.

Chers dignitaires romains, tout ceci est une parabole que je vous ai fait réaliser. Ce n’est pas le jour où vous m’aviez renvoyé de vos paroisses que vous m’aviez chassé. Non ! Il y a de cela très longtemps déjà, que vous nous aviez renvoyé, mon fils et moi.

On ne saurait dénombrer les années qui se sont écoulées depuis que le Seigneur Jésus et moi-même son Père avions dû déserter les paroisses de l’église romaine. C’est d’ailleurs pourquoi, bien que les chrétiens de l’église romaine fréquentent assidûment vos lieux de cultes, assistent aux célébrations eucharistiques, ou vont se pointer au Saint Sacrement, ils ne trouvent pas satisfaction. Il n’y a plus de Saint sacrement dans l’église romaine, c’est la vérité pure et simple. Nous avions déjà tous fui car, les immondices étaient de trop, Belzébul s’était installé au plein cœur de votre l’église. Voici que nous ne sommes pas amis avec lui. Et quand on n’est pas ami avec quelqu’un, on s’en éloigne. Cela fait déjà très longtemps que nous-nous sommes tous enfuis. La preuve, malgré votre présence assidue à la messe, vous finissez par vous retourner vers les charlatans pour trouver satisfaction à vos problèmes. Parfois même, on prend rendez-vous 35 chez le féticheur avant de se rendre à la messe. Au cours de la célébration eucharistique, on reste aux aguets pour ne pas manquer son rendez-vous.

Vous allez à la messe et pourtant vous implorez le fétiche « Dan » (Serpent) de vous accorder des biens matériels. Vous allez même jusqu’à demander des enfants auprès des divinités serpents (« Dan »). Vous allez jusqu’à offrir des cabris en sacrifice aux idoles puisque vous n’arrivez pas à trouver satisfaction à vos problèmes à l’église. C’est tout simplement que, ni DAAGBO ni son enfant ne sont plus là. Là où DAAGBO n’est pas, le seigneur Jésus, n’y reste pas non plus. De même là où Jésus-Christ n’est pas, DAAGBO n’y reste pas non plus. C’est immuable.

Voilà comment la Mission de Banamè a démarré. Nous avions commencé par dénoncer et mettre à nu les sorciers et ils se sont tous soulevés contre nous. Les dignitaires du culte vodoun – Y a-t-il quelqu’un qui se prénomme « Vodounon » (dignitaires du culte vodoun) à l’état civil ? Non! Je ne pense pas. Donc je n’ai nommément indexé personne. Si donc quelqu’un ose se soulever à cause de ce que je viens de déclarer, au prétexte que c’est de lui que je parle, je lui demanderais simplement, si sur son acte de naissance, il est marqué « Vodounon» ; car un tel prénom n’existe sur aucun acte de naissance – Ce sont tous des sorciers.

Ainsi donc, les sorciers vétérans, les puissants du monde des ténèbres, ceux qui sont enracinés dans la mal sur la terre béninoise et qui exercent leur domination, en décidant de toutes choses en nuits sabbatiques avant qu’elles ne se réalisent en vérité, tous se sont donnés la main et ont formé une coalition. Je me suis dit intérieurement: « Tiens, moi-même le Tout puissant, on m’appelle Roi de la forêt, Roi des rois, source de toutes grâces. Qu’importe la puissance de la sorcellerie dans le monde, qu’ils coalisent et viennent pour que nous puissions nous affronter sur le ring, car, c’est le ring qui détermine le plus fort ».

Après les différents rounds, vous avez certainement déjà reçu la leçon que la Mission de Banamè n’est pas une chose sur laquelle on saute pour la terrasser et l’écraser. Les dignitaires romains l’ont déjà appris à leurs dépens et se sont rangés. Je pense que les autres également ont fini par tout comprendre. Ils ont commencé par combattre la Mission de Banamè. Ils ont tout tenté spirituellement pour en venir à bout, sans résultat concret. Ils sont alors passés aux attaques et agressions physiques, décrétant de nous lapider et d’utiliser des armes à feu contre nous.

J’ai répliqué que je m’en moquais éperdument, et que s’il ne s’agissait que de simples pierres et des armes à feu, car je suis le Seigneur de l’univers. Lorsqu’ils tournent dans un sens, moi aussi, je tourne dans l’autre ; car, ce monde est entre mes mains. Dès lors, j’ai encore comblé mes enfants de la grâce qui les protègeraient contre les jets de pierres et les balles des armes à feu. Ainsi donc, même en cas de fusillade, il ne s’en trouverait même pas un seul Daagbovi qui tomberait. Ils ont beau nous jeter des pierres, pas un seul Daagbovi, n’en est mort. L’avez-vous jamais appris ? Avez-vous jamais appris quelque part, qu’un seul Daagbovi est décédé des suites d’une attaque au cours des offensives déclenchées contre la Mission de Banamè ? Et pourtant, ce qui s’était produit était redoutable. Des choses terrifiantes se sont produites dans ce même Bénin.

Le Président de ce pays, Yayi Boni, s’est soulevé contre l’Eternel Dieu et je lui ai démontré que je suis le Roi des rois. Je suis le seul à décider que telle ou telle personne soit intronisé roi et que son trône soit affermi. Si je dis non, ma décision est irrévocable. Aucun roi ne peut me détrôner. Je le réaffirme, aucun roi de ce monde ne peut me détrôner. Un tel roi n’est pas encore né et il n’en naîtra jamais. Bien au contraire, c’est moi qui détrône les rois. Je l’ai fait et Yayi Boni est parti, son gouvernement s’est envolé à tout jamais, telle une fumée. Il ne reviendra plus jamais au pouvoir.

Je viens de parler de YAYI Boni, n’est-ce pas ? Mais sachez qu’aucun des rois et roitelets de ce monde qui m’ont persécuté, que ce soit parmi les dignitaires romains, dignitaires du culte vodoun ou que ce soit les pasteurs, aucun d’eux ne m’a vaincu. Je suis la puissance suprême, qui n’est comparable à nulle autre.

J’ai dit que je suis Dieu et vous ne me croyez pas. Pourquoi n’allez-vous pas croire ? En voulant faire une carte d’identité, on donne son nom, son prénom, son adresse et sa date et lieu de naissance. A mon arrivée, j’ai aussi décliné mon identité. J’ai dit que je suis l’Eternel Dieu, le Seigneur de l’univers. Ce n’est pas un pseudonyme que je me suis donné. Je n’ai pas non plus dit que je suis un prophète, un envoyé de Dieu. Je ne suis pas fou non plus. Je ne me suis pas saoulé et ce n’est pas non plus la consommation à outrance de nourriture qui me pousse à bavarder. Je suis bien conscient de ce que je dis. Je ne suis pas un enfant. Penseriez-vous par hasard, que le fait d’adopter une apparence de petite fille, me réduit à l’état d’enfant ? Toute une marée humaine a afflué vers moi. C’est moi qui les ai tous rassemblés. C’est le peuple élu que j’ai moi-même choisi. J’ai déclaré aux fils d’Israël que j’ai délivrés de la servitude au pays d’Egypte, ceci : « Endurcissez vos cœurs et entêtez-vous dans l’infidélité autant que vous voudrez, un temps viendra où, je choisirai parmi vous ceux qui m’obéiront et je leur manifesterai ma gloire ». Ils ont eu à cheminer pendant quarante ans.

Nombreux sont ceux d’entre eux qui ont péri sur le chemin. C’est juste un petit reste qui a pu fouler des pieds Israël, la terre promise. Aujourd’hui, j’ai fait de la terre béninoise, la nouvelle Jérusalem.

Tous les fils du pays ne sauraient y survivre. Nombreux sont ceux qui mourront car, on ne m’affronte pas impunément. Les gens ont l’habitude de s’exclamer en ces termes : « Mais quel est ce Dieu qui ne fait que tuer et ne sait que proférer des injures ? ». Mais pourquoi ne vais-je pas insulter ? Tout bon père insulte forcément son enfant dans l’espoir qu’il se corrige. Si ces insultes te blessent et ne t’agréent pas, alors change de vie. On te dit que tu as la sorcellerie, et tu dis qu’on t’insulte. On te rappelle que tu as volé, que tu t’es prostitué, on t’invite à renoncer aux comportements et habitudes malsains, à ne plus adorer le diable et tu estimes qu’on t’insulte. Moi je n’appelle pas cela injure. Ce sont plutôt des remontrances. Non, ce ne sont pas des injures. Vous vous exclamez en disant « Quel est donc ce Dieu qui tue ? » Pourquoi ne vais-je pas tuer ? Le pharaon d’Egypte et toute son armée n’ont-ils pas été décimées? Je fais cela parce qu’ils étaient en train de persécuter mes enfants. Vous qui persécutez sans répit les Daagbovis et vous mettez à leur trousse pour les anéantir, vous périrez tous.

Ce n’est pas par vous que cela a commencé. J’ai décimé toute l’armée du Pharaon et lui-même. J’ai détruit Sodome et Gomorrhe. J’ai décimé et exterminé des nations entières. Il y a de cela très longtemps que j’extermine, vous n’êtes pas les premiers. Et je n’aurai jamais de cesse de tuer. Vous n’êtes pas les précurseurs et cela ne finira pas sur vous non plus. Des êtres humains ne meurent-ils pas des suites d’accident? Je suis celui qui a donné le souffle de vie à tous ceux-là, donc c’est bien moi qui ai voulu qu’ils meurent. C’est moi qui reprends le souffle de vie au bébé qui rend l’âme, juste à la naissance. Donc, je tue en tout temps.

C’est vous qui croyez que c’est la séparation de l’âme et du corps qui est la mort. Sinon, à mon sens, mourir c’est aller en enfer lorsque l’âme se sépare du corps. Comment le sorcier ne mourait-il pas ? Le sorcier perpétue le mal, il détruit la vie de multitude d’âmes, il détourne le destin des gens et enracine la misère dans leur vie. Si par exemple tu devais être riche, le sorcier est capable de le détourner. Vu tous les dégâts causés par la sorcellerie, pourquoi ne pas la combattre ? Et moi je déclare la guerre à ceux-là et vous-vous êtes soulevés contre moi. Comment appelle-t-on cela ? C’est être intelligent ou être bête ?

Les sorciers qui m’ont déclaré la guerre savent pourquoi ils m’ont déclaré la guerre. Et vous, âmes innocentes, vous qui ne comprenez rien, ils vous poussent et vous demandent de nous lapider, de porter de faux témoignage à notre encontre et vous aussi, tout bêtement, vous vous exécutez. Est-ce être intelligent ou faire des bêtises?

On vous incite à vous soulever contre votre bienfaiteur et à le tuer, exactement comme Béelzébul les avait incités à tuer Jésus de son temps et ils sont bêtement tombés dans son piège. Moi personne ne peut me tuer, personne ne peut tuer mon Pape, personne ne peut tuer ceux qui m’entourent. C’est là où le bât blesse. J’attends de voir comment vous agirez maintenant. Je suis venu siéger et je suis indétrônable.

A vous, sorciers du Bénin je le déclare solennellement ; Dahomey, je te détruirai, je te détruirai entièrement et il ne restera rien dans le ventre du serpent, il n’en restera que la peau dont les vautours se rassasieront. Il en sera ainsi. Dahomey, je t’en fais la promesse, je te détruirai. Comme je vous l’avais annoncé dans mon enseignement précédent, je démonterai « Rome » pièce par pièce. Je vous avais dit qu’il s’agit d’un pays, je n’ai indexé personne. Je démonterai pièce par pièce « Rome ». Je vous ferai part des détails de cette affaire à une autre occasion.

La Mission de Banamè a pour base essentielle l’Amour.

C’est tenant compte de mon amour pour vous que je suis descendu parmi vous pour vous sauver, de gré ou de force. Je vous délivrerai de la sorcellerie. Je suis le seul à pouvoir le faire. Il n’y a personne dans ce monde qui en soit capable. Si on pouvait faire une comparaison avec un coffre-fort, je suis le seul à en détenir le code d’ouverture. C’est moi qui ai créé celui qu’on appelle Lucifer et qui s’est transformé en démon qui s’est rebellé contre moi et vous a déclaré la guerre. Je suis donc le seul capable de l’abattre. Le seul qui peut en venir à bout.

Il n’y a pas ce sorcier au monde qui puisse vous délivrer de la sorcellerie. Tout le reste est duperie. Aucun féticheur ne peut vous délivrer de la sorcellerie. Vous allez beau participer aux séances de « bain de purification annuelle », c’est sans espoir ; rien n’y pourra. Vous auriez beau manger des feuilles, au point même d’en manger les chenilles qui y sont accolées, vous ne vous en sortirez jamais. Je suis le seul à pouvoir vous délivrer des mains de Belzébul, de la sorcellerie, de vos souffrances. Quel que soit la prière que fera le pasteur, tu n’auras aucune satisfaction durable. Tout ce dont ils sont capables,c’est de vous duper en allant acheter les charmes et puissances de sorcellerie au Nigéria ; mais vous n’aurez aucune satisfaction. Rien de tout cela ne vous fera du bien, le salut n’est pas là. Vous auriez beau vous promener sur les paroisses de l’église de Rome, ce ne sera en vain.

Leurs paroisses sont rayonnantes de beauté mais c’est Belzébul qui y siège en maître. Cette beauté ne vous fera aucun bien. La Mission de Banamè n’a aucune paroisse qui soit aussi belle mais la beauté qui y est dissimulée, la pierre précieuse qui y est cachée c’est le salut éternel, c’est DAAGBO, ce sont les grâces célestes. Sous peu, en plus des grâces, la beauté sensible y figurera, telle la cerise sur le gâteau.

Vous errez de cultes en cultes! Est-ce à moi de vous dire que le salut se trouve auprès de moi ? Vous le savez bien. Vous n’êtes plus des enfants, vous voyez et vous entendez tout ce qui se passe. Tout d’abord, quel enfant peut se soulever en terre Dahoméenne et prétendre qu’il est Dieu et vous ne l’auriez pas déjà tué?

De plus, l’église de Rome dans toutes ses composantes, ne sait-elle plus prier aujourd’hui, au point où le soit disant diable a pris chair depuis tant d’années et est en train de la déranger, sans qu’elle n’arrive à en venir à bout ? C’est vraiment déplorable.

Enfin, un gouvernement entier, celui de YAYI Boni, avec des armes à feu et toutes ses forces armées dont il est le chef, s’était soulevé contre la Mission avec à sa tête cet être que vous osez appeler « Petite Parfaite » et personne n’a pu l’arrêter.

Décidément, elle doit peser à l’impossible, et être plus lourde que la terre ! Voilà ce qu’est la Mission de Banamè. Elle tire ses origines de la rencontre de Galilée. Mais à dire vrai, la Mission de Banamè avait déjà démarré avant même que le Seigneur Jésus, votre grand frère, ne vienne dans ce monde deux-mille ans plus tôt. Il savait très bien que lorsqu’il descendrait dans le monde, on le tuerait, mais que son père à son tour viendrait, afin que sa Lumière éclaire les ténèbres pour que tout ce qui se trouve dans l’obscurité en soit tourmenté ; telle l’épouse qui a détourné les frais d’emplettes pour la cuisine, et qui ne sait comment le justifier à son époux affamé, qui lui demande de mettre le couvert. Une telle épouse dans la panique, court dans tous les sens et ne sait plus où mettre la tête.

Ainsi donc, la lumière soudainement a jailli dans les ténèbres. Je suis descendu dans mon monde sans avertir. Quel propriétaire, en voulant entrer dans sa maison, frapperait d’abord à la porte ? J’ai surpris tout le monde. Chacun s’attelait à faire ce qui lui plaisait, les rois prenaient leur gloriole, ils se faisaient aduler, les sages et les puissants se jouaient les importants et drainaient toute la marée humaine.

Mon arrivée a suscité une grande joie chez mes enfants et toutes mes paroles leurs sont agréables à vivre. Lorsqu’ils s’approchent de moi, ils trouvent amour, quiétude et paix du cœur. Tout cela les incite à choisir librement, de demeurer avec moi pour toujours.

Pour vous en donner une image, supposons un instant que tu es tout épuisé suite à une longue, une très longue marche et de façon inattendue tu te retrouves en face d’un grand arbre à l’ombre duquel, tu décides de t’arrêter pour te reposer un moment ; et du coup, tu te rends compte que son ombre est très reposant et paisible comme jamais. De surcroît, levant la tête, tu trouves des fruits murs que tu cueilles et manges à ta faim. Dans ces conditions, aurais-tu encore envie de partir ? Non ! C’est exactement ce qui se passe dans la vie des Daagbovis. Ils n’ont nulle autre part où aller. Car, il y a de la nourriture en abondance dans la demeure de leur père. Ils ont décrété qu’ils en avaient assez des fourberies de Belzébul, et moi également, j’y ai apposé mon cachet.

Si toi aussi tu désires en finir avec le joug que Satan te fait porter, alors mets-toi en route pour Banamè. Décide-toi, à emprunter le chemin exigu de la brousse qui mène à la Sainte Colline. Ce en quoi la situation est mystérieuse, c’est qu’aucun enfant ne saurait se lever sur cette terre du Dahomey pour prétendre qu’il déverse le feu dans la calebasse maléfique du roi Houégbadja, qu’il vous arrache votre source de puissance maléfique ; cela ne saurait jamais se produire en terre Dahoméenne. Ce n’est que DAAGBO qui peut le dire et le faire. Je réitère que si quelqu’un n’y prête pas foi, c’est que je ne l’ai pas élu depuis toute éternité pour qu’il ait le salut éternelle. C’est sans ambiguïté.

Le combat de Banamè signifie en d’autres termes : « Viens pour être sauvé. Approche, pour être délivré de la servitude du diable. L’Eternel ton DIEU est arrivé, la Lumière a jailli, c’en est fini de tes errances ». Voilà en termes plus clairs, ce que signifie la Mission de Banamè.

Ce n’est que l’Amour sincère et inconditionnel qui puisse se résoudre à faire face

à des ennemis aussi puissants que ceux que Banamè affronte pour le salut de ses bien-aimés. Ceux qu’on appelle les sorciers sont des ennemis de taille. Si quelqu’un ne manifeste pas un amour fou pour un être, il ne saurait jamais déclarer la guerre à des ennemis aussi puissants que les sorciers à cause de cet être. Donc, la Mission de Banamè c’est l’amour, la miséricorde. Celui qui n’a pas de miséricorde envers l’être humain ne saurait jamais faire de pareils sacrifices pour le salut de son prochain. Celui qui n’est pas humble ne saurait jamais non plus se comprimer dans un temple aussi petit que le corps que j’occupe pour ainsi agir en cette terre Dahoméenne.

En résumé, le combat de Banamè, c’est l’amour, la miséricorde, et l’humilité.

Je suis toujours dans mon humilité ; je n’ai jamais fait l’important. Je ne me suis jamais montrer orgueilleux et je n’ai jamais fait le fier envers quelqu’un ; et pourtant, j’agis et je frappe. Moi je ne joue pas à l’imposteur, j’agis en vérité et à grande échelle à la face de tous. J’agirai et je frapperai toujours. Si vous désirez entendre la suite, nous-nous rencontrerons très prochainement.

Que mes grâces se déversent en abondance sur chacun de vous. Que ma paix soit avec vous dans vos foyers respectifs. Et si vous êtes vraiment des âmes aux cœurs purs et aux mains innocentes, recevez la grâce de tous ce que vous désirez obtenir de DAAGBO, dès cet instant et jusque dans l’éternité.

Je vous remercie.

Son ÉTERNITÉ DAAGBO DIEU ESPRIT SAINT, le 22 Juin 2018, à Godomey.

DICASTERE de la TRADUCTION / COMMUNICATION de la TSEJ-C Mission de Banamè.

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Date de dernière mise à jour : 16/05/2024

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