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Les 10 plaies d’Egypte pour appréhender les événements à venir,

Les 10 plaies d’Egypte pour appréhender les événements à venir, se repentir et venir à DAAGBO, DIEU ESPRIT SAINT et à son Fils JESUS

 

Du temps de Moïse, c’est le refus du Pharaon de laisser partir les israéliens qui a coûté les signes des 10 plaies à l’Egypte.
 
Aujourd’hui c’est l’amour divin qui a décidé d’emmener tous les humains à accepter la réalité que DAAGBO est le DIEU CREATEUR du ciel et de la terre et que son FILS Jésus est le ROI choisi par LUI pour gouverner la terre. Tout homme doit se repentir de ses mauvais penchants et recevoir Fofo Jésus dans son cœur sinon endurer les terribles plaies et disparaître. 
La vie telle que nous la connaissons sera dramatiquement affectée : il y aura des maladies incurables, l'électricité ainsi que les moyens de télécommunication seront coupés, du moins pendant un certain temps télévision– radio – internet – téléphonie. Les transports publics seront mis à l'arrêt et conduire un véhicule sera risqué ou même impossible, l'inondations causera  beaucoup de dégâts ...

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Extrait du Livre de Exode : DAAGBO, DIEU  ESPRIT SAINT, dit encore à Moïse: Tu parleras ainsi aux enfants d'Israël: L'Éternel, le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob, m'envoie vers vous. Voilà mon nom pour l'éternité, voilà mon nom de génération en génération.
Va, rassemble les anciens d'Israël, et dis-leur: L'Éternel, le Dieu de vos pères, m'est apparu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Il a dit: Je vous ai vus, et j'ai vu ce qu'on vous fait en Égypte,et j'ai dit: Je vous ferai monter de l'Égypte, où vous souffrez, dans le pays des Cananéens, des Héthiens, des Amoréens, des Phéréziens, des Héviens et des Jébusiens, dans un pays où coulent le lait et le miel.
Ils écouteront ta voix; et tu iras, toi et les anciens d'Israël, auprès du roi d'Égypte, et vous lui direz: L'Éternel, le Dieu des Hébreux, nous est apparu. Permets-nous de faire trois journées de marche dans le désert, pour offrir des sacrifices à l'Éternel, notre Dieu.
Je sais que le roi d'Égypte ne vous laissera point aller, si ce n'est par une main puissante. J'étendrai ma main, et je frapperai l'Égypte par toutes sortes de prodiges que je ferai au milieu d'elle. Après quoi, il vous laissera aller. Je ferai même trouver grâce à ce peuple aux yeux des Égyptiens, et quand vous partirez, vous ne partirez point à vide.

LES DIX PLAIES D’EGYPTE

I. L’eau changée en sang
DAAGBO dit à Moïse : « Le cœur de Pharaon s’est appesanti et il a refusé de laisser partir le peuple. Va, demain matin, trouver Pharaon, à l’heure où il se rend au bord de l’eau et tiens-toi à l’attendre sur la rive du Fleuve. Tu prendras en main le bâton qui s’est changé en serpent. Tu lui diras : DAAGBO, le Dieu des Hébreux, m’a envoyé vers toi pour te dire : « Laisse partir mon peuple, qu’il me serve dans le désert.» Jusqu’à présent tu n’as pas écouté. Ainsi parle DAAGBO : En ceci tu sauras que je suis DAAGBO. Du bâton que j’ai en main, je vais frapper les eaux du Fleuve et elles se changeront en sang. Les poissons du Fleuve crèveront, le Fleuve s’empuantira, et les Égyptiens ne pourront plus boire l’eau du Fleuve. »
DAAGBO dit à Moïse : « Dis à Aaron : Prends ton bâton et étends la main sur les eaux d’Égypte – sur ses fleuves et sur ses canaux, sur ses marais et sur tous ses réservoirs d’eau – et elles se changeront en sang, et tout le pays d’Égypte sera plein de sang, même les arbres et les pierres. » Moïse et Aaron firent comme l’avait ordonné DAAGBO. Il leva son bâton et il frappa les eaux qui sont dans le Fleuve aux yeux de Pharaon et de ses serviteurs, et toutes les eaux qui sont dans le Fleuve se changèrent en sang. Les poissons du Fleuve crevèrent et le Fleuve s’empuantit ; et les Égyptiens ne purent boire l’eau du Fleuve ; il y eut du sang dans tout le pays d’Égypte. Mais les magiciens d’Égypte avec leurs sortilèges en firent autant ; le cœur de Pharaon s’endurcit et il ne les écouta pas, comme l’avait prédit Yahvé. Pharaon s’en retourna et rentra dans sa maison sans même prêter attention à cela. Tous les Égyptiens firent des sondages aux abords du Fleuve en quête d’eau potable, car ils ne pouvaient boire l’eau du Fleuve. Sept jours s’écoulèrent après que Yahvé eut frappé le Fleuve.

II. Les grenouilles
DAAGBO dit à Moïse : « Va trouver Pharaon et dis-lui : Ainsi parle DAAGBO: « Laisse partir mon peuple, qu’il me serve. » Si tu refuses, toi, de le laisser partir, moi je vais infester de grenouilles tout ton territoire. Le Fleuve grouillera de grenouilles, elles monteront et entreront dans ta maison, dans la chambre où tu couches, sur ton lit, dans les maisons de tes serviteurs et de ton peuple, dans tes fours et dans tes huches. Les grenouilles grimperont même sur toi, sur ton peuple et sur tous tes serviteurs. » DAAGBO dit à Moïse : « Dis à Aaron : étends ta main avec ton bâton sur les fleuves, les canaux et les marais, et fais monter les grenouilles sur la terre d’Égypte. » Aaron étendit la main sur les eaux d’Égypte, les grenouilles montèrent et recouvrirent la terre d’Égypte. Mais les magiciens avec leurs sortilèges en firent autant, et firent monter les grenouilles sur la terre d’Égypte.
Pharaon appela Moïse et Aaron et dit : « Priez Yahvé de détourner les grenouilles de moi et de mon peuple, et je m’engage à laisser partir le peuple pour qu’il sacrifie à Yahvé. » Moïse dit à Pharaon : « A toi l’avantage ! Pour quand dois-je prier pour toi, pour tes serviteurs et pour ton peuple, afin que les grenouilles soient supprimées de chez toi et de vos maisons pour ne rester que dans le Fleuve ? » Il dit : « Pour demain. » Moïse reprit : « Il en sera selon ta parole afin que tu saches qu’il n’y a personne comme Yahvé notre Dieu. Les grenouilles s’éloigneront de toi, de tes maisons, de tes serviteurs, de ton peuple, et il n’en restera plus que dans le Fleuve. » Moïse et Aaron sortirent de chez Pharaon, et Moïse cria vers Yahvé au sujet des grenouilles qu’il avait infligées à Pharaon. Yahvé fit ce que demandait Moïse et les grenouilles crevèrent dans les maisons, dans les cours et dans les champs. On les ramassa en tas et le pays en fut empuanti. Pharaon vit qu’il y avait un répit ; il appesantit son cœur et il ne les écouta pas, comme l’avait prédit DAAGBO.

III. Les moustiques
DAAGBO dit à Moïse : « Dis à Aaron : étends ton bâton et frappe la poussière du sol, et elle se changera en moustiques dans tout le pays d’Égypte. » Ils en firent ainsi. Aaron étendit son bâton et frappa la poussière du sol, et il y eut des moustiques sur les gens et sur les bêtes, toute la poussière du sol se changea en moustiques dans tout le pays d’Égypte. Les magiciens d’Égypte avec leurs sortilèges firent la même chose pour faire sortir les moustiques mais ils ne le purent, et il y eut des moustiques sur les gens et les bêtes. Les magiciens dirent à Pharaon : « C’est le doigt de Dieu », mais le cœur de Pharaon s’endurcit et il ne les écouta pas, comme l’avait prédit DAAGBO.

IV. Les mouches suceuses de sang 
DAAGBO dit à Moïse : « Lève-toi de bon matin et tiens-toi devant Pharaon quand il se rendra au bord de l'eau. Tu lui diras : Ainsi parle DAAGBO: "Laisse partir mon peuple, qu'il me serve." Si tu ne veux pas laisser partir mon peuple, je vais envoyer des taons sur toi, sur tes serviteurs, sur ton peuple et sur te maisons. Les maisons des Égyptiens seront pleines de mouches suceuses de sang  et même le sol sur lequel ils se tiennent. Et ce jour-là, je mettrai à part la terre de Goshèn où réside mon peuple pour que là il n'y ait pas de mouches suceuses de sang, afin que tu saches que je suis DAAGBO, au milieu du pays. Je placerai un geste libérateur entre ton peuple et mon peuple ; c'est demain que se produira ce signe. » DAAGBO fit ainsi, et des mouches suceuses de sang  en grand nombre entrèrent dans la maison de Pharaon, dans les maisons de ses serviteurs et dans tout le pays d'Egypte ; le pays fut ruiné à cause des taons. Pharaon appela Moïse et Aaron et leur dit : « Allez sacrifier à votre Dieu dans le pays. » Moïse répondit : « II ne convient pas d'agir ainsi, car nos sacrifices à DAAGBO notre Dieu sont une abomination pour les Egyptiens. Si nous offrons sous les yeux des Égyptiens des sacrifices qu'ils abominent, ne nous lapideront-ils pas ? C'est à trois jours de marche dans le désert que nous irons sacrifier à DAAGBO notre Dieu, comme il nous l'a dit. » Pharaon dit : «Moi je vais vous laisser partir pour sacrifier à votre Dieu dans le désert, seulement vous n'irez pas très loin. Priez pour moi. » Moïse dit : « Dès que je serai sorti de chez toi, je prierai Yahvé. Demain les taons s'éloigneront de Pharaon, de ses serviteurs et de son peuple. Que Pharaon, toutefois, cesse de se moquer de nous en ne laissant pas le peuple partir pour sacrifier à DAAGBO. » Moïse sortit de chez Pharaon et pria Yahvé. Yahvé fit ce que demandait Moïse et les taons s'éloignèrent de Pharaon, de ses serviteurs et de son peuple ; il n'en resta plus un seul. Mais Pharaon appesantit son cœur, cette fois encore, et il ne laissa pas partir le peuple.

V. Mortalité du bétail.
DAAGBO dit à Moïse : « Va trouver Pharaon et dis-lui : Ainsi parle DAAGBO, le Dieu des Hébreux : "Laisse partir mon peuple, qu'il me serve." Si tu refuses de le laisser partir et le retiens plus longtemps, voici que la main de Yahvé frappera tes troupeaux qui sont dans les champs, les chevaux, les ânes, les chameaux, les bœufs et le petit bétail, d'une peste très grave. Yahvé discernera les troupeaux d'Israël des troupeaux des Égyptiens, et rien ne mourra de ce qui appartient aux Israélites. Yahvé a fixé le temps en disant : Demain DAAGBO fera cela dans le pays. » Le lendemain, Yahvé fit cela, et tous les troupeaux des Égyptiens moururent, mais des troupeaux des Israélites, pas une bête ne mourut. Pharaon fit une enquête, et voici que des troupeaux d'Israël pas une seule bête n'était morte. Mais le cœur de Pharaon s'appesantit et il ne laissa pas partir le peuple.

VI. Les ulcères.
DAAGBO dit à Moïse et à Aaron : « Prenez plein vos mains de suie de fourneau et que Moïse la lance en l'air, sous les yeux de Pharaon. Elle se changera en fine poussière sur tout le pays d'Egypte et provoquera, sur les gens et sur 1es bêtes, des ulcères bourgeonnant en pustules, dans toute l'Egypte. » Ils prirent de la suie de fourneau et se tinrent devant Pharaon ; Moïse la lança en l'air et gens et bêtes furent couverts d'ulcères bourgeonnant en pustules. Les magiciens ne purent se tenir devant Moïse à cause des ulcères, car les magiciens étaient couverts d'ulcères comme tous les Égyptiens. Yahvé endurcit le cœur de Pharaon et il ne les écouta pas, comme l'avait prédit Yahvé à Moïse.

VII. La grêle.
DAAGBO dit à Moïse : « Lève-toi de bon matin et tiens-toi devant Pharaon. Tu lui diras : Ainsi parle Yahvé, le Dieu des Hébreux : "Laisse partir mon peuple, qu'il me serve." Car cette fois-ci, je vais envoyer tous mes fléaux contre toi-même, contre tes serviteurs et contre ton peuple, afin que tu apprennes qu'il n'y en a pas comme moi sur toute la terre. Si j'avais étendu la main et vous avais frappés de la peste, toi et ton peuple, tu aurais été effacé de la terre. Mais je t'ai laissé subsister afin que tu voies ma force et qu'on publie mon nom par toute la terre. Tu le prends de haut avec mon peuple en ne le laissant pas partir. Eh bien demain, à pareille heure, je ferai tomber une grêle très forte, comme il n'y en a jamais eu en Egypte depuis le jour de sa fondation jusqu'à maintenant. Et maintenant, envoie mettre tes troupeaux à l'abri, et tout ce qui, dans les champs, t'appartient. Tout ce qui, homme ou bête, se trouvera dans les champs et n'aura pas été ramené à la maison, la grêle tombera sur lui et il mourra. » Celui des serviteurs de Pharaon qui craignit la parole de Yahvé fit rentrer en hâte ses esclaves et ses troupeaux dans les maisons. Mais celui qui ne prit pas à cœur la parole de Yahvé laissa aux champs ses esclaves et ses troupeaux.
Yahvé dit à Moïse : « Étends ta main vers le ciel et qu'il grêle dans tout le pays d'Egypte, sur les hommes et sur les bêtes, sur toute l'herbe des champs au pays d'Egypte. » Moïse étendit son bâton vers le ciel, et Yahvé tonna et fit tomber la grêle. La foudre frappa le sol, et Yahvé fit tomber la grêle sur le pays d'Egypte. II y eut de la grêle et le feu jaillissait au milieu de la grêle, une grêle très forte, comme il n'y en avait jamais eu au pays des Égyptiens depuis qu'ils formaient une nation. La grêle frappa, dans tout le pays d'Egypte, tout ce qui était dans les champs, hommes et bêtes. La grêle frappa toutes les herbes des champs et brisa tous les arbres des champs. Ce n'est qu'au pays de Goshèn, où se trouvaient les Israélites, qu'il n'y eut pas de grêle.
Pharaon fit appeler Moïse et Aaron et leur dit : « Cette fois, j'ai péché ; c'est Yahvé qui est juste, moi et mon peuple, nous sommes coupables. Priez Yahvé. Il y a eu assez de tonnerre et de grêle. Je m'engage à vous laisser partir et vous ne resterez pas plus longtemps. » Moïse lui dit : « Quand je sortirai de la ville, j'étendrai les mains vers Yahvé, le tonnerre cessera et il n'y aura plus de grêle, afin que tu saches que la terre est à Yahvé. Mais ni toi ni tes serviteurs, je le sais bien, vous ne craindrez encore Yahvé Dieu. » Le lin et l'orge furent abattus, car l'orge était en épis et le lin en fleurs. Le froment et l'épeautre ne furent pas abattus car ils sont tardifs. Moïse sortit de chez Pharaon et de la ville ; il étendit les mains vers Yahvé ; le tonnerre et la grêle cessèrent, et la pluie ne se déversa plus sur la terre. Quand Pharaon vit que la pluie, la grêle et le tonnerre avaient cessé, il recommença à pécher, et lui et ses serviteurs appesantirent leur cœur. Le cœur de Pharaon s'endurcit et il ne laissa pas partir les Israélites, comme Yahvé l'avait prédit par Moïse.

VIII. Les sauterelles.
DAAGBO dit à Moïse : « Va trouver Pharaon car c'est moi qui ai appesanti son cœur et le cœur de ses serviteurs afin d'opérer mes signes au milieu d'eux, pour que tu puisses raconter à ton fils et au fils de ton fils comment je me suis joué des Égyptiens et quels signes j'ai opérés parmi eux, et que vous sachiez que je suis DAAGBO, DIEU ESPRIT SAINT.» Moïse et Aaron allèrent trouver Pharaon et lui dirent : « Ainsi parle DAAGBO le Dieu des Hébreux : Jusqu'à quand refuseras-tu de t'humilier devant moi ? Laisse partir mon peuple, qu'il me serve. Si tu refuses de laisser partir mon peuple, dès demain je ferai venir des sauterelles sur ton territoire. Elles couvriront la surface du sol et l'on ne pourra plus voir le sol. Elles dévoreront le reste de ce qui a échappé, ce que vous a laissé la grêle ; elles dévoreront tous vos arbres qui croissent dans les champs. Elles rempliront tes maisons, les maisons de tous tes serviteurs et les maisons de tous les Égyptiens, ce que tes pères et les pères de tes pères n'ont jamais vu, depuis le jour où ils sont venus sur terre, jusqu'à ce jour » Puis il se retourna et sortit de chez Pharaon. Les serviteurs de Pharaon lui dirent : « Jusqu'à quand celui-ci nous sera-t-il un piège ? Laisse partir ces gens, qu'ils servent Yahvé leur Dieu. Ne sais-tu pas encore que l'Egypte va à sa ruine ?»
On fit revenir Moïse et Aaron auprès de Pharaon qui leur dit : « Allez servir DAAGBO votre Dieu, mais qui sont ceux qui vont s'en aller ? » Moïse répondit : « Nous emmènerons nos jeunes gens et nos vieillards, nous emmènerons nos fils et nos filles, notre petit et notre gros bétail, car c'est pour nous une fête de Yahvé. » Pharaon dit : « Que DAAGBO soit avec vous comme je vais vous laisser partir, vous, vos femmes et vos enfants ! Voyez comme vous avez de mauvais desseins ! Non ! Allez, vous, les hommes, servir DAAGBO, puisque c'est là ce que vous demandez. » Et ils les expulsèrent de la présence de Pharaon.
Yahvé dit à Moïse : « Étends ta main sur le pays d'Egypte pour que vienne les sauterelles ; qu'elles montent sur le pays d'Egypte et qu'elles dévorent toute l'herbe du pays, tout ce qu'a épargné la grêle. » Moïse étendit son bâton sur le pays d'Egypte, et Yahvé fit lever sur le pays un vent d'est qui souffla tout ce jour-là et toute la nuit. Le matin venu, le vent d'est avait apporté les sauterelles.
Les sauterelles montèrent sur tout le pays d'Egypte, elles se posèrent sur tout le territoire de l'Egypte en très grand nombre. Auparavant il n'y avait jamais eu autant de sauterelles, et par la suite il ne devait jamais plus y en avoir autant. Elles couvrirent toute la surface du pays et le pays fut dévasté. Elles dévorèrent toute l'herbe du pays et tous les fruits des arbres qu'avait laissés la grêle ; rien de vert ne resta sur les arbres ou sur l'herbe des champs, dans tout le pays d'Egypte.
Pharaon se hâta d'appeler Moïse et Aaron et dit : « J'ai péché contre DAAGBO votre Dieu et contre vous. Et maintenant pardonne-moi ma faute, je t'en prie, cette fois seulement, et priez DAAGBO votre Dieu qu'il détourne de moi ce fléau meurtrier. » Moïse sortit de chez Pharaon et pria DAAGBO. DAAGBO changea le vent en un vent d'ouest très fort qui emporta les sauterelles et les entraîna vers la mer des Roseaux. Il ne resta plus une seule sauterelle dans tout le territoire d'Egypte. Mais DAAGBO endurcit le cœur de Pharaon et il ne laissa pas partir les Israélites.

IX. Les ténèbres.
DAAGBO dit à Moïse : « Etends ta main vers le ciel et que des ténèbres palpables recouvrent le pays d'Egypte. » Moïse étendit la main vers le ciel et il y eut d'épaisses ténèbres sur tout le pays d'Egypte

 

pendant trois jours. Les gens ne se voyaient plus l'un l'autre et personne ne se leva de sa place pendant trois jours, mais tous les Israélites avaient de la lumière là où ils habitaient.
Pharaon appela Moïse et lui dit : « Allez servir DAAGBO, mais votre petit et votre gros bétail devra rester ici. Même vos femmes et vos enfants pourront aller avec vous. » Moïse dit : « Tu dois toi-même mettre à notre disposition des sacrifices et des holocaustes pour que nous les offrions à Yahvé notre Dieu. Même nos troupeaux viendront avec nous, pas une tête ne restera, car c'est d'eux que nous prendrons de quoi servir DAAGBO notre Dieu ; et nous-mêmes, jusqu'à notre arrivée là-bas, nous ne saurons comment servir DAAGBO. » Mais DAAGBO endurcit le cœur de Pharaon et il ne voulut pas les laisser partir. Pharaon dit à Moïse : « Hors d'ici ! Prends garde à toi ! ne te présente plus devant moi, car le jour où tu te présenteras devant moi, tu mourras. » Et Moïse dit : « Tu l'as dit, je ne reviendrai plus me présenter devant toi. »
[…]

Dixième plaie : Mort des premiers-nés.
Au milieu de la nuit, DAAGBO frappa tous les premiers-nés dans le pays d'Egypte, aussi bien le premier-né de Pharaon qui devait s'asseoir sur son trône, que le premier-né du captif dans la prison et tous les premiers-nés du bétail. Pharaon se leva pendant la nuit, ainsi que tous ses serviteurs et tous les Égyptiens, et ce fut en Egypte une grande clameur car il n'y avait pas de maison où il n'y eût un mort. Pharaon appela Moïse et Aaron pendant la nuit et leur dit : « Levez-vous et sortez du milieu de mon peuple, vous et les Israélites, et allez servir Yahvé comme vous l'avez demandé. Prenez aussi votre petit et votre gros bétail comme vous l'avez demandé, partez et bénissez-moi, moi aussi. » Les Égyptiens pressèrent le peuple en se hâtant de le faire partir du pays car, disaient-ils : « Nous allons tous mourir. » Le peuple emporta sa pâte avant qu'elle n'eût levé, ses huches serrées dans les manteaux, sur les épaules.

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Date de dernière mise à jour : 15/05/2024

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