EPISODE 5 – A LA DECOUVERTE DE DAAGBO DIEU ESPRIT
EPISODE 5 – A LA DECOUVERTE DE DAAGBO DIEU ESPRIT SAINT DANS LA CHAIR
MISSION DE BANAMÈ·MERCREDI 31 OCTOBRE 2018
TRADUCTION DU Message AUDIO-VISUEL DE Son Éternité DAAGBO A TOUTE L’HUMANITÉ INTITULÉ : « À L’ÉCOUTE DE DAAGBO, DIEU ESPRIT DANS LA CHAIR ». Épisode 5, mois d’octobre 2018
Chers amis auditeurs et internautes, salut !
Nous voici encore au rendez-vous de ce mois d’octobre 2018 où nous allons poursuivre et approfondir notre entretien périodique afin de mieux vous éclairer sur la Mission de Banamè.
Nous avons déjà abordé plusieurs thèmes aux rendez-vous précédents et plus récemment, les exploits accomplis dans cette Mission depuis bientôt dix ans. Nous les avons évoqués la fois dernière, mais vouloir lister la multitude d’exploits et de merveilles que DAAGBO a opérés dans cette Mission de Banamè depuis dix ans, serait une vaine entreprise.
Dieu n’a pas pris chair en cachette ; il se révèle au monde.
Nous allons encore évoquer quelques exploits et faits majeurs pour vous édifier davantage sur ce qu’est la Mission de Banamè, comme annoncé la dernière fois.
Nul n’ignore aujourd’hui que Dieu a pris chair à Banamè. Je n’ai jamais cessé de décliner mon identité, Moi DAAGBO, le Créateur, le Dieu unique qui est. Et, Je ne fais pas mes déclarations à huis clos. Je les fais toujours à la face du monde de sorte qu’aujourd’hui tout Béninois non sujet à un dérèglement mental, a connaissance de l’avènement du mystère de Banamè ; on peut choisir de ne pas y croire.
En toute évidence, ceux qui se sont érigés en adversaires contre la Mission de Banamè sont ceux qui savent avec certitude que c’est Dieu qui a pris chair à Banamè. Les adversaires inlassables de Banamè sont ceux pour qui cette Mission salvatrice constitue un handicap dans leurs entreprises maléfiques. Les bourreaux de la Mission de Banamè sont ces persécuteurs-là qui, à chaque instant, déploient toutes leurs forces pour combattre la Mission de Banamè qu’ils auraient pu faire voler en éclats si ce n’était pas Dieu même qui en est l’initiateur. La Mission de Banamè aurait déjà été étouffée par les Hommes.
La souveraineté de la force qui opère à Banamè, est sans appel
La Force redoutable qui opère dans cette Mission de Banamè n’est pas humaine et tout Homme qui a encore ses facultés mentales non affectées, le réalise déjà. Tout Homme qui réfléchit un peu, devrait déjà se rendre à l’évidence que la Mission de Banamè n’est pas un Jeu d’enfant, car la Force qui y agit, domine souverainement celle de toutes les divinités jadis craintes et vénérées ici au Bénin. Cette Force-là domine non seulement la coalition de toutes les divinités du Bénin, mais aussi l’ensemble de tous les Hommes dits puissants ou redoutables de ce pays, qu’ils soient criminels ou qu’ils tirent leurs forces du monde des ténèbres.
En vérité, ils ont déjà tous capitulé devant cette Force qui les accable. Ils ont fait mille et une tentatives et ont tous capitulé. Je ne voudrais pas, à ce sujet, citer des noms. Ils sont bien connus et savent par eux-mêmes qu’ils sont connus. Ils me connaissent et Je les connais aussi très bien. Donc, ceux qui s’aventurent à défier tout ce qu’ils voient ou rencontrent sur leurs chemins ont déjà compris à regret qu’on ne défie pas Banamè.
De la liberté d’inscrire son nom en bien ou en mal dans l’histoire de la Mission de Banamè
Je veux dire, amis auditeurs, lecteurs et internautes, que l’histoire de la Mission de Banamè s’est significativement enrichie de toutes persécutions et des crocs-en-jambe de ses adversaires. Le plan d’accomplissement de la Mission de Banamè est écrit depuis toute éternité tel que la vie du Christ a été planifiée.
Quand Dieu prend chair pour venir réduire à néant le monde des ténèbres, croyez-vous que les cibles puissent rester les bras croisés ? Un enfant que sa mère saisit pour chicoter, ne peut que s’agiter devant la chicote. Face à la douleur, la réaction est systématique.
C’est dire que de toute éternité, DAAGBO sait que l’action appelle la réaction. Je sais qu’en déclarant la guerre au monde des ténèbres, il y aura réaction et me suis donc préparé en conséquence. Je savais que le monde des ténèbres allait se mettre en ébullition. Dans leurs douleurs et stress, ils hurleront et crieront fort au drame qui s’est abattu sur eux. On n’en est pas surpris.
Tels les Pharaons, les Pilates, les suppôts de Satan, ils ont joué à leur manière leurs partitions dans l’avènement de la Mission de Banamè et l’histoire retiendra leurs noms. Ils sont rentrés dans l’histoire comme Véronique qui a essuyé la face ensanglantée du Christ avec un linge. Ils ont inscrit leurs noms dans l’histoire au même titre que celui qui, au moyen d’une perche, a foutu dans la bouche du Christ sur la Croix, du coton imbibé de vinaigre quand Jésus eut soif. Tel que Simon de Cyrène, cet homme bienveillant, s’est inscrit dans l’histoire de la vie du Christ en portant avec Lui la Croix, c’est de la même manière que celui qui a eu l’oreille tranchée lors de l’arrestation de Jésus a aussi gravé son nom dans l’histoire. C’est dire qu’au moment où certains rentrent en bien dans l’histoire, d’autres y inscrivent en mal leurs noms.
Dans les récits sacrés sur la Mission de Banamè, et jusque dans l’éternité, resteront gravés en bien, les noms de ceux qui ont cru que c’est Dieu qui a pris chair et qui ont voué toutes leurs vies à la Mission.
De la même manière, les noms de ceux qui savent bien qu’à Banamè, c’est Dieu Lui-même qui opère et qui le prennent pourtant en chasse sans relâche, ne disparaitront point de l’histoire de la Mission ; seulement que ceux-là connaitront une fin regrettable à moins qu’ils se convertissent. Mais Moi, autant Je n’espère plus leur conversion, autant Je ne la désire plus.
Saint Paul s’appelait Saul et était un grand persécuteur des chrétiens ; il était comme une « star » en matière d’exécution des chrétiens, mais quand DAAGBO l’a rencontré sur son chemin de vie, il devint un chrétien zélé et sa foi en fût très ardente. Il se repentit profondément et corrigea ses erreurs à telle enseigne que sa vie plut encore à DAAGBO. Aujourd’hui au Ciel, il est un Saint de grande dignité et tout le monde l’appelle « Saint Paul ».
Plus personne aujourd’hui ne se souvient de la vie de païen qu’il avait menée autrefois. Tout le monde l’appelle aujourd’hui « Saint Paul ». Plus personne ne l’appelle « Saul, le criminel ».
Faut-il une éternité au pécheur pour se convertir ?
Dans le cours de cette Mission de Banamè où vous vous êtes mis à me poursuivre sans relâche, j’ai eu déjà à vous parler de comment DIEU a été expulsé de la paroisse catholique romaine Sainte Odile de Banamè où il a été ordonné que « Parfaite » vidât les lieux.
Qui appelez-vous en réalité Parfaite ?
Je vous ai déjà éclairé à ce sujet et dit plusieurs fois, ce sur quoi Je ne reviendrai plus, que Parfaite est mon Temple qu’on confond à tort à ma Personne divine.
Et les Hommes se permirent de chasser Dieu.
Banamè, quel combat ! Quel combat !
Chemin faisant, chacun offre le spectacle de son choix. Ceux que j’ai choisis, qui m’ont reconnu et ont cru en Moi, ont connu les pires persécutions. On les a sévèrement persécutés dans le but de les obliger à rebrousser chemin, car l’on est conscient que tant qu’on m’est fidèle, la sorcellerie ne peut jamais ni atteindre ni détruire.
En terme plus simple, l’on est conscient de ce que si ceux-là rebroussent chemin et renient DAAGBO, la tâche d’anéantissement n’en serait que plus facile aux sorciers, aux charlatans et aux suppôts de Satan. Mais ce que vous oubliez, c’est que lorsque Je porte mon choix sur quelqu’un, ceci est irréversible.
Amis auditeurs, chers internautes, que vous soyez Daagbovis ou pas, référez-vous aux archives pour retrouver dans ce combat de Banamè les premières œuvres audiovisuelles et, réécoutez mes déclarations. J’ai insisté jusqu’à pleurer pour vous dire et vous supplier que rien n’était encore tard, car Saul a fait pire que ce que vous faites contre cette Mission et pourtant, il est devenu un grand Saint aujourd’hui.
J’insiste pour vous dire que le temps qui reste suffit amplement pour que vous vous convertissiez, car lorsqu’il sera trop tard, le diable vous abandonnera et Moi aussi Je vous lâcherai.
À qui iriez-vous alors ?
Vous mourrez alors gratuitement.
J’ai eu à dire à toutes les catégories d’Homme composant la société, que ce soient prêtres, évêques, prétendu Président de la République, qu’il n’était pas tard pour changer. Je les ai tous conviés à reculer, car on ne me poursuit pas. On ne gagne jamais quand l’on me déclare la guerre, car j’ai bouclé ma victoire dans le combat de Banamè avant d’entamer la Mission.
Depuis les origines et jusque dans l’éternité, il n’y a jamais eu cette force sous ce soleil capable de vaincre DAAGBO et il n’y en aura plus jamais. Je veux signifier que la force, même imaginaire, capable de faire battre en retraite cette Mission de Banamè, n’a jamais existé et n’existera jamais. Donc pour l’heure, le plus important n’est point d’abord de savoir la nature divine ou diabolique de la Force qui est aux commandes de la Mission de Banamè. Le plus important pour vous maintenant est de déposer les armes et de rechercher le chemin de la conversion.
J’ai tout fait, j’ai tout dit dans ce pays, mais en vain. Autant les Jeunes sont restés insensibles à mes appels, autant les adultes aussi ne veulent point se convertir. De plus, ceux que vous surnommez dans ce pays « patriarches, têtes pensantes et baobabs » et que vous croyez détenir le brevet du haut savoir pour canaliser le peuple sur le vrai chemin, ont tous versé dans des balivernes, dans des délires et vous ont fourvoyés. Je ne veux nommer personne, mais ils se reconnaissent bien.
SANS DAAGBO, point de lumière et point de connaissance féconde.
Des références de ce pays ont commencé à biaiser, à niaiser, à faire de la démagogie, à diffuser dans le peuple, des propos scandaleux décousus de toute sagesse. Ce qui est regrettable est que tout le peuple a déjà pris ces gens dépourvus de sagesse comme des personnes ressources, des sages et ils en profitent pour conduire le peuple ignorant à l’égarement.
Voyez vous aussi, les mêmes qui ont eu à vous dire dans ce pays qu’ils veulent telle personne au pouvoir pour qu’aujourd’hui le pays puisse commencer à émerger, reviennent peu de temps après vous redire que celui qu’ils vous ont doigté et soutenu eux aussi, n’est plus l’Homme providentiel et scandent sur tous les toits qu’il est très mauvais. Ceci signifie qu’eux-mêmes ne connaissent pas la marchandise qu’ils exposent sur leur étalage et ne connaissent pas non plus le prix de leur marchandise avant de vous la vendre. Vous, vous payez seulement pour encore entendre un instant après que le produit qui vous est vendu n’est plus de bonne qualité. N’est-ce pas triste ?
Des vendeurs d’illusions qui se font passer pour des sages et des savants. Il y en a même qui se proclament Roi Melchior, en référence aux Saintes Écritures. Mais, de quelle science disposent-ils, de quelle sagesse font-ils preuve, ces imposteurs, pour prétendre donner à une nation entière une orientation salutaire ? Ils ont toujours été aux affaires et pourtant le pays végète dans ce chaos. Rien n’a jamais changé ; et curieusement, vous agissez toujours selon leurs préceptes. L’on prétend, que tout ce qu’ils prédisent s’accomplit et que tous les signes qu’ils annoncent, s’accomplissent inéluctablement. Voici que la nation, à force de les croire et de les suivre, est devenue une vraie loque. Et lorsqu’un pays est réduit à cet état, la vie de ses citoyens l’est également. C’est bien cela. Mais alors, en matière de foi et de croyance en DIEU, ceux-là à qui vous vous fiez et que vous prenez pour vos devanciers et guides, vos rois, vos chefs de collectivité, vos notables, ceux-là que vous appelez prêtres et évêques, ou autres personnes ressources de ce pays, et dont la mise en examen de leur vie révèle qu’ils ne sont même pas habiletés à diriger leurs propres foyers, peuvent-ils vous éclairer ? Est-ce bien ces gens-là qui sont aptes à discerner pour vous s’il s’agit de Dieu ou du diable ? Quelle lumière ont-ils ? De quelle sagesse sont-ils doués et de quelles grâces sont-ils bénéficiaires pour reconnaitre Dieu et Lui rendre témoignage afin que vous pussiez croire par eux ?
Chers Béninois, vous vous êtes laissés égarer. Ce sont ces mêmes personnes qui se retrouvent dans les sabbats nocturnes pour décider de votre sort qui reviennent le jour vous tenir de beaux discours pour orienter vos décisions. C’est bien triste. Une personne sombrée dans les ténèbres, pourrait-elle vous discerner l’obscurité de la lumière ? Est-ce un suppôt des ténèbres qui pourra vous témoigner de la lumière ?
On ne défie pas impunément l’Eternel des armées
On s’est mis à pourchasser Dieu. Où en sommes-nous aujourd’hui ? Ce n’est pas de ma bouche que vous entendrez ce qui va advenir. Ceux qui sont censés le savoir, présagent déjà le lourd bilan des assauts du Ciel qui ont actuellement cours sur le monde des ténèbres. Ceux dont le sort m’attriste, c’est vous, âmes naïves qu’ils ont, au moyen de fourberies, détournées du chemin du salut et conduites à l’égarement ; c’est pitoyable.
Une levée d’armes des forces coalisées du monde des ténèbres, s'est ruée sur l’Eternel des armées. Ils se sont mis à ma trousse sans répit, Moi le Dieu invincible, et ce, jusqu’à présent. Et pourtant, ne suis-je toujours pas parmi vous ? Ma voix que vous entendez, tremble-t-elle ? Laisse-t-elle apparaître le malaise ou la peur ? Je demeure toujours ce que Je suis. Mes attributs de Roi n’ont pas changé. Mon titre de Roi n’est pas une imposture. Ce sont les rois de ce monde qui sont élus pour un mandat de délai de validité défini et limité. Ce sont vos députés qui ont un mandat d’une validité de quatre ans. Ne suis-je toujours pas le même au milieu de vous ? En dépit de toutes vos agitations fébriles, vous entendez toujours ma voix et Je ne me tairai jamais, car, Je suis l’Eternel Dieu. Que vous le croyiez ou non, c’est immuable.
Puisque nous parlons des rois de ce monde ainsi que des questions de mandat, pourquoi ne pas évoquer au passage et à juste titre le cas de NOUATTIN Maurice Armand, l’ancien préfet des départements du Zou et des Collines ?
Préfet, tu as été le chef et tu as commandé sur ton territoire. Mais, voici que Moi, Je suis le Créateur, possesseur et grand commandeur de l’univers. Amis auditeurs, cet évènement auquel Je me réfère par exemple est l’une des injustices de taille dont Banamè a été victime au stade omnisport de GOHO, et dont les Béninois ignorent la version authentique des faits, mais se permettent de nous condamner et de proférer des injures à tort à l’encontre de la Mission. En effet, nous avions prévu une rencontre habituelle sur le site du stade GOHO d’Abomey et, comme cela se devait, nous avions rempli toutes les formalités administratives auprès de la mairie d’Abomey et de la préfecture en vue d’obtenir une autorisation d’occupation des lieux. Mais, le jour des manifestations, toi, préfet sans dignité, tu ordonnas aux Forces de l’ordre de verrouiller les portes d’accès, interdisant ainsi aux Daagbovis tout accès au site. Si tu avais un peu de respect pour ta personne, agirais-tu ainsi ? Comment pourrait-on qualifier cet acte ? N’est-ce pas de la provocation ? On provoque Dieu. Et si j’avais autorisé les Daagbovis à riposter, on en aurait conclu que c’est le diable qui agit ainsi. Mais, j’ai gardé mon calme et me suis patienté. Où en sommes-nous aujourd’hui, ce préfet, jouit-il toujours de ses prérogatives ? Préfet, très fort, toi qui verrouillais les portes, où en es-tu ? Constate par toi-même, à qui vas-tu verrouiller la porte présentement ? Si ce n’est qu’à toi-même ! Car ceux à qui tu pensais avoir fermé les portes sont aujourd’hui libres de tous accès à ce même site. Ceux-là, que tu as pensé bloquer, tu entends toujours leurs voix à travers la mienne, car la voix de DAAGBO est la résultante des voix de tous les Daagbovis du monde entier. Je suis leur Dieu, leur porte-parole.
Qui pensais-tu empêcher ? À l’époque, ce fut un tollé général ! Et si Je l’avais ordonné, les millions de Daagbovis allaient causer des dégâts considérables dans ce pays. Voici que Je suis le Dieu de justice, patient et lent à la colère. Et pourtant, c’est à « Banamè » que vous portez les étiquettes de « gens violents », « gens rebelles ». C’est Banamè qu’on accable de toutes les iniquités du monde.
Banamè a été victime de cette injustice en l’an deux mil quatorze et pourtant, nous nous sommes tus et avons fait preuve de patience. Le Dieu que vous appelez « diable » s’est résigné au bon vouloir des Hommes.
Si J’étais vraiment le diable comme vous vous amusez si bien à le dire, cette nuit-là, les auteurs de cette injustice perpétrée contre Banamè auraient déjà porté les empreintes des coups de griffes du « diable ». Pourtant, ce « diable » a pu faire preuve de patience et t’a épargné tout.
Voilà donc une injustice grave dont Banamè a été gratuitement victime et j’en passe.
Toujours dans la même rubrique, appréciez l’incident qui s’est produit à Savè où un soi-disant prêtre de l’Eglise catholique romaine instruisit ses fidèles d’asperger d’essence et de brûler l’une de nos paroisses, alors que, c’est toi qui prétends adorer le Dieu véritable. C’est toi qui prétends être sur le droit chemin. Pour toi, DAAGBO est diable et tous les Daagbovis adorent le diable. Mais, le prétendu diable n’a pas ordonné que l’on aspergeât d’essence et brûlât ta paroisse. Mais c’est plutôt toi, le vrai adorateur de Dieu qui as commandité un tel crime, toi le prétendu guide spirituel, prêtre et représentant de Jésus-Christ.
Jésus-Christ, lors de son passage dans ce monde, n’a jamais mandaté ses disciples d’aller incendier les synagogues des pharisiens et des scribes. Bien au contraire, Il s’y rendait lui-même, s’entretenait avec eux, les interrogeait au sujet de leurs lois, relevait les imperfections qui s’y trouvaient et leur indiquait le droit chemin. Et s’ils n’étaient pas d’avis, Il les abandonnait à leur ignorance et poursuivait son chemin. Ce même Jésus-Christ à l’heure de sa Passion, lors de son arrestation, remit en place l’oreille coupée à un soldat par l’un de ses disciples. Cependant, toi le prétendu prêtre, supposé représentant de Jésus-Christ, toi qui incarnes l’image même du Christ pour ces chrétiens, c’est toi qui leur inculques comment vandaliser et incendier les lieux de culte de tes prochains. Dans ces conditions, qui est le diable ? Qui agit comme le diable dans ces circonstances ? C’est vous-mêmes qui allez révéler à la face du monde ce qu’est réellement Banamè. De même, vos actes et agissements témoigneront de votre véritable nature à la face du monde.
Vous affirmez que ce n’est pas Dieu qui opère à Banamè, mais plutôt le diable. J’ai essuyé toute sorte de calomnies. Vous prétendez que Je suis Belzébul, Jézabel et que ma puissance est diabolique. J’ai été sujet à moult opprobres, éreintages, diffamations et infamies. Je n’ai été épargné d’aucune forme de calomnie.
Daagbo est invincible à toutes les forces du mal et tous les Daagbovis qui vivent par lui, le sont également
À l’entame de mon présent message, J’ai déclaré que : « la bête féroce », quelle que soit sa puissance, capable de me défier n’est pas encore de ce monde et qu’il n’y en aurait jamais ni sur Terre ni au Ciel jusqu’à la fin des temps ». C’est bien ce que J’ai dit, et J’attire votre attention sur le fait qu’aucun petit enfant ne peut tenir un tel langage. Je vous ai souvent martelé que ce ne sont, ni la folie, ni la satiété à l’excès, ni l’ivresse qui me font tenir de tels propos. Vous scandez : « Il n’est pas Dieu, c’est juste un petit enfant qui fait du verbiage et qui s’agite ». Tenez, pourquoi les plus grands féticheurs de ce pays se sont-ils réunis à Abomey, et ceci, vous ne pouvez pas nier que vous n’êtes pas informés de cette affaire que j’évoque, car c’est sur ce même territoire en terre dahoméenne que cela s’est produit quelques années plus tôt. Je sais combien les Béninois aiment les délayages, si bien que le moindre évènement qui se produit se repend comme une trainée de poudre. Même la presse nationale a relaté et relayé l’évènement. Toute une flopée de grands et puissants féticheurs s’était constituée à Abomey à l’époque. Tous, forts de leurs idoles et fétiches portés sur la tête, avaient organisé une grande marche de protestation contre la « petite Parfaite », scandant à tue-tête l’anathème au sacrilège de la culture fon : « … Héélou Parfaite, Héélou Parfaite… » ? Ils décrétèrent que sept (7) jours leur suffiraient à faire passer Parfaite de vie à trépas. Ils invoquaient sur elle la malédiction de leur « Houégbadja-Kâ » la calebasse ancestrale, base et source de leur puissance. Apprenez que c’est contre plus puissant que soi, ce qui vous dépasse, qu’on organise ostensiblement des protestations en criant à l’anathème. C’est l’expression même de votre imprègnent et aveu d'échec. Je vous surpasse, Je vous domine absolument, et de même, le dernier de mes prêtres que j’ai personnellement élu et consacré dans la Mission de Banamè, vous surplombe. La grâce descendue sur la terre de Banamè vous surpasse. Vous ne pouvez que couler à pic. Cela vous dépasse et les puissances de toutes vos idoles sont dérisoires à Ma face. Vos peureux de vodouns sont tous insignifiants devant Moi.
Moi, je suis Goliath confirmé à l’universel et s’il y avait éventuellement un vodoun capable de me défier, il m’aurait déjà fait sentir sa domination. S’il existait sur cette terre un vodoun assez puissant pour me faire face, il me l’aurait déjà fait sentir. Je ne ressens pas leur capacité à déployer de la puissance. Mais pourquoi se sont-ils emmurés dans un mutisme ? Ils ont croisé les bras à M’observer et ce sont ceux qui les ont fabriqués qui réagissent. Pour quelles raisons ?
C’est Moi qui suis le défenseur des Daagbovis. Ce ne sont pas les Daagbovis qui me défendent. C’est Moi qui suis leur protecteur. Dans ce pays, lorsque l’on ouvrit le feu sur les Daagbovis avec l’intention de les cribler de balles, les projectiles tombèrent tous au sol sans les atteindre. N’avez-vous jamais assisté à des scènes aussi mystérieuses ? N’avez-vous pas connaissance de ces évènements ? Je suis l’auteur de tels exploits. Les projectiles des armes à feu ne peuvent percer la peau des Daagbovis ; que ce soit au cours d’un braquage ou d’un vol à main armée à domicile, aucune balle ne peut les atteindre. Pour preuve, dans ce même pays dans la région de Zagnanado, les Daagbovis s’étaient rendus à une célébration eucharistique sur leur communauté, lorsque sur injonction des autorités d’alors, les Forces de l’ordre firent irruption et ouvrirent le feu sur les paisibles fidèles. Les agents envoyés pour cette macabre mission peuvent en témoigner. Même pas un seul Daagbovi ne fut atteint par les projectiles des armes à feu dont ils ont fait usage.
Je suis l’auteur de telles prouesses. Je les ai faites pour protéger les Daagbovis, mes fils bien-aimés, mes créatures qui comptent sur Moi et qui m’ont choisi comme rempart. Je suis redoutable.
Quand c’est plutôt les humains qui prennent la défense des fétiches
Toutes les divinités vodoun assistent en spectateurs inactifs, muets et impuissants au déroulement des scénarios de leur défense par les humains contre Dieu. L’Homme défie DIEU en faveur des idoles.
On m’accuse de déverser du feu sur les idoles et de calciner les divinités. Mais un être fort pourrait-il rester indifférent et croiser les bras pendant qu’un autre lui déverse du feu dessus dans le but de le calciner ? Ce n’est pas évident.
Si un vodoun s’est docilement laissé calciner, sans lever le moindre doigt pour sa propre défense, c’est qu’il est un incapable et un bon à rien. À quoi bon de l’adorer ? Qu’est-ce que vous adorez alors ? Sur quoi comptez-vous à manifester tant d’orgueil et à défier Dieu ?
C’est l’esprit de Belzébul que vous invoquez dans vos mottes de terre et que vous appelez vodouns en leur attribuant diverses dénominations. Apprenez que Je suis l’Esprit saint. Je suis le Suprême de tout ce qui porte l’attribut d’esprit, le Créateur du monde invisible ; en dehors de Moi, il n’y a pas de monde spirituel. Il n’existe donc point sous ce ciel d’esprit que Je ne puisse anéantir. Il n’y a pas non plus d’esprits capables de se camoufler dans des mottes de terre, vos idoles, que ma puissance ne puisse pas déloger. Ce serait d’ailleurs une grande faveur faite à de tels esprits que de les exorciser en cette époque, sinon, ils subissent d’office la calcination.
Belzébul, le diable que vous invoquez, et qui vous confère des pouvoirs avec lesquels vous semez le désastre, est ma créature ; et c’est selon mon bon vouloir que J’en finirai avec lui au jour de mon bon plaisir. Pour le moment, nous n’en sommes qu’aux préliminaires.
Chers Béninois, ce n’est pas normal ; c’est complètement insensé. Cet acte posé par vos féticheurs dans ce pays qui a consisté à organiser une marche de protestation, forts de leurs idoles posées sur la tête, scandant à tue-tête : « malheurs sur toi Parfaite ! Malheurs sur toi Parfaite ! » ; Moi, Je le perçois comme un testament de leur mea culpa. C’est purement et simplement un mea culpa.
La mission de Banamè, à répétition, victime d’injustices graves
Dès qu’il s’agit de Banamè, les railleries fusent de toute part. Les journalistes tournent le sujet au ridicule, les critiques fusent de partout, tout le monde s’en gausse. Et ils justifient les pires bassesses en insinuant qu’ils ne cherchent que de l’argent pour se taire et qu’ils arrêteraient ces calomnies si Banamè les corrompait.
Quelle idée, vous faites-vous de Dieu au juste ? Croyez-vous qu’on peut traiter DIEU exactement comme vos politiciens pourris, corrompus et faussaires, et qui de peur de voir leurs sales dossiers dévoilés au grand jour vous soudoient ? Quel est au juste le rapport entre vous et Moi. Ce sont des attitudes peu normales.
Vous aviez commis des exactions envers les Daagbovis par le passé. Vous leur avez infligé toute sorte de misères, et ils ont souffert le martyr dans ce pays. Vous les avez opprimés et en avez fait des prophètes. C’est bien cela. Vous vous êtes faits les actants de leur sanctification grâce aux souffrances que vous leur avez infligées et avez fait d’eux des Saints. Vous n’avez même pas pris du recul pour réaliser que la fidélité des Daagbovis à leur foi et leur fermeté dans les épreuves s’avèrent une grâce que seul DAAGBO a le privilège de conférer ? Cet aspect vous a échappé. Vous pensiez qu’à force de les brimer et de les persécuter, ils rebrousseraient chemin et ainsi, la Mission de Banamè serait tuée dans l’œuf. Ce que vous oubliez, c’est que la grâce d’adorer Dieu avec persévérance, c’est Moi qui la confère. Les Daagbovis ne sont pas comparables aux quelques insignifiants fidèles que vous enchainez dans vos églises dites évangéliques et que vous aveuglez au moyen des pouvoirs maléfiques que vous a conférés Belzébul et qui sont obligés de rester avec vous parce qu’ils sont dépourvus de toute faculté de décision. Il n’en est pas ainsi pour les Daagbovis. C’est librement qu’ils demeurent fidèles à leur DIEU. Contre vents et marées, ils professent et vivent leur foi puisqu’ils en ont reçu la grâce. C’est cette même grâce qui a été conférée à Sainte Jeanne d’Arc et qui lui a permis aux heures de l’épreuve de professer sa foi en ces termes : « Je ne changerai jamais de version jusqu’à la mort » ; ce qui lui valut le martyr au milieu des flammes que J’ai conférées aux Daagbovis. Elle aurait pu dire : « J’accepte de renier Dieu et de ne plus L’adorer afin de conserver ma vie ». C’est fort d’une grâce spécifique qu’elle n’a pas changé de version et c’est exactement cette même grâce qui opère dans la vie des Daagbovis. Ce sont ces grâces conférées à bon nombre de Saints, dont vous avez reçu en testament de foi les histoires de vie, qui leur ont permis d’endurer les pires souffrances jusqu’au martyr, mais sont malgré tout demeurés fidèles à la cause de leur DAAGBO jusqu’au bout. Ce n’est pas au moyen de vos gris-gris et charmes acquis au Nigéria et grâce auxquels vous hypnotisez vos groupuscules de fidèles qui passent tout leur temps à crier à tue-tête le nom de Jésus dans des cabanes dites temples, que ces Saints ont accepté perdre leur vie pour la cause de Dieu. Ils étaient tous libres ; ce sont uniquement des grâces qui opèrent puissamment. Telle est l’immensité de la souveraine puissance de Dieu. Constatez combien tout ceci est miraculeux.
Considérons cet autre exemple d’affront et d’injustice essuyés par la Mission de Banamè. Dans ce même pays le Bénin, il est arrivé que des Forces de l’ordre aient été instruites et envoyées à domicile pour disperser les Daagbovis réunis en assemblée de prières dans leur propre salon. Chers Béninois, allez-vous me dire que vous n’en étiez aucunement au courant ? Ou bien ; allez-vous me dire que ces affronts sont vraiment justes et bons ? Ou mieux encore, me direz-vous peut-être que tous les Béninois ont le droit à la quiétude, mais pas ceux qui sont Daagbovis ?
Oui, ils ne pouvaient pas jouir de leur droit de prier librement dans leurs domiciles, ni de circuler sur le territoire, parés de leurs foulards sur la tête, d’un quelconque objet pieux porté par-devers eux, expression de leur foi.
Il est arrivé qu’un Daagbovi ayant porté son chapelet de combat, se rendît au marché et s’est vu agressé par quelqu’un qui, au moyen d’une lame acérée, le défigura ; frôlant de justesse son œil. Du sang gicla. L’affaire fut conduite devant les Forces de l’ordre, et le commissaire récrimina contre le Daagbovi, lui demandant la raison pour laquelle il s’est permis de porter de façon ostentatoire le chapelet de combat pour se rendre au marché. Tous ces agissements sont corrects à votre sens, n’est-ce pas ? Oui ! C’est tout à fait logique, puisque selon vous, les Daagbovis sont les adorateurs du diable. En revanche, vous n’osez pas provoquer les féticheurs qui circulent librement avec leur masse de colliers rituels au cou. Vous êtes assez lucides pour savoir qu’on ne provoque pas le vodoun, car c’est le diable ; et que lorsqu’on fait affront au démon, cela entraine de nombreuses représailles.
Ces faits observés prouvent donc clairement que vous êtes bien conscients des actes que vous posez. Vous savez très bien que c’est le Dieu de Bonté qui a pris chair à Banamè et c’est pourquoi vous commettez de tels sacrilèges.
Les musulmans brandissent librement leurs chapelets et occupent les rebords des voies pour prier, mais personne ne les a jamais roués de coups de bâtons. Dans le même temps, le Daagbovi ne peut pas sortir avec son chapelet ; il ne peut pas circuler librement avec son foulard, on l’agresserait ou on lui jetterait des pierres. Les adeptes du fétiche « Thron » se nouent leurs pagnes à la taille et circulent librement avec leurs colliers rituels au cou. N'est-ce pas Dieu que les adeptes de la divinité « Mami » adorent également ?
Dans l’hypothèse où nous considérons les Daagbovis comme des adorateurs du diable, seraient-ils les seuls à l’échelle de tout le pays ? Ceci signifierait-il qu’il n’y aurait plus d’autres congrégations d’adorateurs du diable à part les Daagbovis au Bénin ? Vous commettez des exactions envers les Daagbovis et pourtant vous vous faites passer pour de vrais adorateurs de Dieu. La vraie question que cela suscite, est : qui sont les acteurs qui se sont tapis dans l’ombre et qui fomentent inlassablement ces coups contre les Daagbovis ? Ce sont les dirigeants de l’Église catholique romaine. C’est toujours vous, autorités de l’Église catholique romaine. C’est pourquoi Je vous l’ai déjà déclaré et Je le réitère : « Je vais vous exterminer ». C’est votre fin. Je vous en fais le serment. Vous disparaitrez dans une grande clameur.
Toujours dans la même rubrique des exemples d’affronts que Banamè a essuyés dans ce pays, il a été question de l’Examen Blanc qui a fait couler tant d’encres et de salives. Il y a eu des cas déclarés de décès. Mais que s’est-il réellement passé pour que ces gens meurent ? Qui parmi vous a eu la curiosité d’enquêter sur les faits réels ayant conduit à ces malheureuses situations ? Vous ne savez que diffamer et propager de fausses rumeurs.
Cet évènement que nous avons désigné par « Examen Blanc », c’est nous seuls qui en percevons le sens et d’ailleurs nous n’avons de compte à rendre à quelque Béninois que ce soit. Je n’ai de compte à rendre à aucune de mes créatures, car c’est Moi votre Créateur. Je ne suis pas sous votre autorité ; c’est plutôt vous qui vivez par Moi.
Pour en venir aux faits, le processus du déroulement dudit examen avait été largement défini et expliqué à tous les Daagbovis. On a clairement et suffisamment averti les Daagbovis de se garder de passer cet examen s’ils reconnaissent en leur for intérieur qu’ils possèdent l’esprit de sorcellerie. Si tu te reconnais dans une telle insanité spirituelle, n’ose pas tenter Dieu ; tel était l’avertissement. Par rapport aux victimes, il a été raconté que ce sont les bougies allumées et la fumée de l’encens qui les ont tuées.
Chers auditeurs, l’encens renferme-t-il du poison ? C’est le même encens qui a été allumé par des millions de fidèles Daagbovis. Ce qui est regrettable dans l’histoire, chers Béninois et Hommes de ce temps, est que si vous ne réfléchissez pas murement avant de parler, si vous ne prenez pas la peine de faire des investigations avant de vous prononcer, vous allez offenser Dieu et il vous sera difficile d’obtenir le pardon. Les sachets d’encens encore intacts et non utilisés ont été retrouvés près des corps des victimes et celles-ci n’avaient même pas encore allumé les bougies avant de trépasser. Mais alors, de quoi sont-ils réellement morts » ? Il a été publié qu’ils sont morts par asphyxie due à la fumée de l’encens et aux bougies allumées et beaucoup d’autres histoires rocambolesques. Des rumeurs malsaines ont circulé qu’il leur a été recommandé de fermer hermétiquement les portes, les fenêtres et toutes les entrées empêchant ainsi toute possibilité d’aération, et que c’est ce qui aurait été à l’origine des décès.
Voici clairement énoncées les instructions relatives à ladite cérémonie : d’une part, il leur a été recommandé de couvrir tous les miroirs de leurs demeures. Dites-moi donc, quand on reste chez soi et qu’on couvre tous les miroirs de sa résidence, est-ce qu’on en meurt ? Chers auditeurs, c’est bien triste ! Si tu couvres tes miroirs, vas-tu en mourir ?
D’autre part, il a été recommandé de fermer hermétiquement les portes, les fenêtres de la maison. Mon interrogation est celle-ci : « Lorsque vous voulez dormir la nuit, ne fermez-vous pas vos portes et fenêtres ? ». Cette question, Je l’adresse à tous les Béninois. Quels Béninois laissent ouvertes leurs portes et fenêtres pour dormir la nuit ? S’il s’en trouve un seul, qu’il vienne comparaitre à ma Face pour en témoigner. Si en fermant les portes et fenêtres, l’on en meurt, alors tous les Béninois, ne seraient-ils pas déjà morts ?
Chers chrétiens catholiques romains, zélés adorateurs du vrai Dieu, n’allumez-vous pas des cierges dans vos maisons ? Ne vous arrive-t-il pas d’allumer des bougies chez vous pour prier la Sainte Vierge Marie lorsque vous êtes prêts à aller au lit après avoir fermé portes et fenêtres ? Est-ce que vous mourrez en allumant les bougies ? Vous qui connaissez ce que nous appelons encens ici au Bénin, ne vous arrive-t-il pas souvent d’allumer de l’encens au milieu du salon lorsque vous êtes sur le point d’aller au lit, après avoir fermé toutes vos portes et fenêtres tout simplement parce que vous croyez que cela chasse les mauvais esprits ? Vous qui avez de telles pratiques, en mourrez-vous pour autant ?
Et pourquoi dès qu’il est question de choses touchant Banamè, vous en êtes extrêmement allergiques. Faites par vous-mêmes un examen de conscience et posez-vous cette simple question : « Pourquoi est-ce que je hais si tant Banamè ? ». C’est la question qu’il faut se poser. N’est-ce pas peut-être le diable qui a introduit dans vos cœurs la haine contre Dieu ? Il faut se le demander. Pourquoi est-ce que je ne hais pas autant le vodoun ? Pourquoi ne manifestez-vous pas une telle haine viscérale contre le diable ? Vous fréquentez bien souvent les charlatans, mais pourquoi n’avez-vous pas la même haine contre ces idolâtres.
Pourquoi n’éprouvez-vous pas de la haine contre cette divinité ʽʽ serpent ʼʼ dénommée « Dan » que vous chérissez, invoquez et consultez si souvent ? Pourquoi n’êtes-vous pas autant allergiques à cette divinité ̏serpent ̋ dite « Dan » comme vous l’êtes à tout ce qui a trait à Banamè ? Pourquoi est-ce qu’en entendant parler de la divinité « Mami », cela ne suscite pas en vous soulèvement et révolte comme c’est le cas lorsqu’il s’agit de Banamè ? N’est-il pas temps que vous commenciez à vous demander les raisons pour lesquelles c’est seulement ce qui a relation avec Banamè qui suscite en vous autant de colère ?
Soit tu possèdes l’esprit de la sorcellerie et de ce fait, Banamè constitue une menace pour tes intérêts, car t’arrachant toutes les proies que tu avais déjà planifiées pour être dévorées au cours des sabbats nocturnes. C’est la première et fondamentale raison. C’est Moi DAAGBO qui l’affirme. Allez m’en faire le procès dans vos tribunaux.
Soit c’est le diable même qui a introduit dans ton cœur cette haine viscérale pour Dieu afin que tu n’aies point de chance de Salut.
Si tu prends la peine de faire profondément ton examen de conscience mis à part que tu détiens éventuellement un pouvoir sorcier, tu ne pourras pas énoncer clairement les raisons qui fondent ta haine contre Banamè, car, l’évocation des cas des divinités « Mami » et du vodoun ne te fait pas broncher. Lorsqu’on évoque le mal, tu n’émets aucune plainte. Le nom des charlatans te laisse indifférent, mais lorsqu’il s’agit de Banamè ; tu es enragé, tu t’agites et tu te révoltes. Mais pour quelles raisons ? Ne me dis surtout pas que l’Homme ne peut se prétendre être Dieu et c’est pourquoi tu manifestes autant de haine contre Banamè. Je ne veux surtout pas entendre de telles justifications, car, bon nombre de grands et puissants sorciers affirmant avoir décision de vie et de mort sur leurs prochains, résident dans ce pays et circulent librement à visage découvert ; mais tu n’as jamais éprouvé de la haine contre eux. Nombreux sont les tueurs et assassins de ce pays qui s’enorgueillissent de leur statut et qui se font passer pour des Tout-Puissants, mais cela t’a toujours laissé indifférent.
Pourquoi éprouves-tu alors autant de mépris pour la Mission de Banamè ? Pourquoi éprouves-tu cette haine viscérale sans démordre contre cette Mission ? Pose-toi la question de savoir pourquoi tu hais autant Banamè. Pourquoi ? Pourquoi ne détestes-tu pas si tant la sorcellerie, la déesse des eaux appelée « Mami », les fétiches, les tueurs ou les charlatans ? Mais, quand il s’agit de Banamè, tu es allergique, tu deviens hystérique. Pourquoi ? Soit, tu es un sorcier impénitent qui ne se convertira jamais et qui se sent menacé par la Mission de Banamè, soit le diable a semé en toi la haine contre Dieu pour que tu ne puisses pas être sauvé.
Manifestement, c’est vous les sorciers, charlatans et criminels qui êtes à l’origine de cette profonde aversion contre Banamè ; et vous en êtes tous très bien conscients. C’est bien vous qui répandez ce mépris de Dieu à travers tout le pays. C’est vous qui répandez ce ̏ virus ̋ dans le pays et nombreux sont ceux qui en sont infectés. Cette maladie a pu atteindre ceux qui ne prient pas, ceux qui n’accordent aucune importance à Dieu ; ceux qui ont négligé et voué leurs âmes à la perdition. Et ceux-ci ne cessent de vilipender la Mission de Banamè.
Par ailleurs, l’autre déterminant de cette haine viscérale envers la Mission de Banamè est le suivisme. En effet, comme les uns prétendent que la Mission de Banamè est l’œuvre du diable, les autres les suivent sans un minimum de discernement. Tels que les démagogues viennent dans vos villages vous promettre monts et merveilles et vous leur accordez vos suffrages, lorsqu’on vous dit que Banamè est le mal, vous y croyez sans réfléchir.
Au jour du jugement, Bénin, tu seras plus durement traité que toutes les nations de la terre
En vous comportant ainsi, vous insultez l’intelligence que Je vous ai donnée. C’est Dieu que vous insultez à travers la bêtise de votre raisonnement. De ce fait, vous me signifiez que l’intelligence que Je vous ai donnée n’a servi à rien. Pourtant, Je vous ai doté d’un cerveau doué d’intelligence, de la sagesse et de la conscience. Je vous ai également doté de la faculté de discernement et de flair. Mieux, aucun d’entre vous ne commet la bêtise d’ingurgiter son repas par les fosses nasales. Mais alors, comment ne parvenez-vous pas à discerner le bien ? Pourquoi depuis dix ans, ne vous êtes-vous pas demandé si c’est réellement le diable qui agit à Banamè et qui demeure toujours aussi actif ? Le diable peut-il persévérer autant ? Le diable donne-t-il le salut ? Le diable témoigne-t-il de l’amour envers le prochain ? Le diable sauve-t-il comme le fait DAAGBO à Banamè ? Pourquoi personne n’en arrive à se poser de telles questions ?
Bénin, c’est toi que Dieu a choisi et visité, mais tu te permets de le rejeter et de t’en moquer ; retiens qu’au jour du jugement, tu seras plus durement traité que toutes les autres nations de la terre. Ton châtiment sera plus grand. Je te jugerai plus sévèrement. Ton châtiment sera à la mesure de tes blasphèmes.
Il y a des résidents de Covè, de Naogon, de Zagnanado et de toute la région Agonlin qui n’ont jamais songé à mettre pied sur la Sainte Colline à Banamè. Permettrez-vous que toutes les prédictions de Jésus s’accomplissent in extenso ? Du temps du passage du Christ sur terre, les descendants de David tenaient des propos tels : « Jésus est notre frère. Nous le reconnaissons aujourd’hui qu’il est Dieu ? »Et il leur répondit en, ces termes : « Si tous les prodiges qui se réalisent actuellement sous vos yeux se produisaient ailleurs, ils croiraient. Mais, ce qui me réjouit, c’est que nul n’est prophète chez soi ». Manifestement, vous qui êtes auprès du salut, c’est vous qui n’allez pas en bénéficier. Et c’est pitoyable.
De l’examen blanc
Au sujet de l’examen blanc, voyez à quel point l’Homme a été audacieux. Ils ont décidé de défier Dieu. Chacun se dit : « Je tenterai Dieu. Je le tenterai afin de vérifier par moi-même s’il est réellement puissant ». Je suis bien l’Omnipuissant. Et si Je suis Puissance absolue, ils l’ont déjà appris à leurs dépens.
Mais voyez ce que vous en avez fait, une opportunité de propagande de diffamations et de fausses rumeurs. Vous faites croire à tous que Banamè prescrit des rituels dans le but de tuer. Savez-vous réellement ce que c’est qu’un rituel ? Qu’entendez-vous par rituel ? On a prescrit d’allumer de l’encens et des bougies et vous qualifiez cela de rituel. Les Béninois n’ont-ils jamais allumé de l’encens ? Si tel est le cas, tous les Béninois qui allument de l’encens ou des bougies font des rituels. Ainsi, les fidèles du christianisme céleste font, tous les jours, des rituels. Quel sacrilège !
Revenons un peu sur le dernier évènement en date, où j’ai donné instruction aux Daagbovis de s’enfermer pendant trois jours successifs. Que pouvez-vous comprendre par de telles prescriptions que je leur ai faites ? N’est-ce pas vous qui avez renié Dieu ? N’est-ce pas vous qui avez dit que si Je suis Dieu, que Je le sois uniquement pour les Daagbovis ? N’est-ce pas vous qui avez affirmé que Je ne suis pas votre Dieu ? C’est le monde qui tourne à l’envers.
Dans l’ordre des choses, c’est le père qui se fâche et renie son enfant. Aujourd’hui, c’est vous qui reniez votre Père. Comment allez-vous réparer cet affront ? J’attends de voir de pieds fermes comment cela sera possible. Comment allez-vous y remédier lorsqu’il sera trop tard ? Comment réagirez-vous lorsque sonnera l’heure du jugement ?
Que pouvez-vous comprendre par cette prescription faite aux Daagbovis de s’enfermer chez eux ? Moi, Je suis Dieu et Je connais la succession future des évènements qui se produiront dans ce monde jusque dans l’éternité. Croyez-vous que J’ai fait cette recommandation juste pour m’amuser ou sur un coup de tête ? Quelle est au juste votre appréhension de la Mission de Banamè ? Avez-vous seulement la moindre idée de ce qui adviendra en ce monde ? Avez-vous conscience des évènements malheureux qui vous surprendront sous peu ?
Des heures d’affliction profonde s’annoncent pour le Bénin et pour l’humanité entière
J’avais promis qu’après avoir abordé quelques faits saillants qui se sont passés dans la Mission de Banamè, nous évoquerions les évènements à venir. Nous ne les aborderons pas aujourd’hui. Effectivement, des évènements malheureux sont imminents.
Chers Béninois, des heures d’affliction profonde s’annoncent. En avez-vous la moindre idée ? Moquez-vous-en si c’est pour votre bon plaisir. Evidemment, vous y êtes habitués ; vous vous moquez toujours de tout. Vous n’avez jamais été différents des fils d’Égypte. Pour vous tout rime avec plaisanterie et moquerie. C’est ainsi que vous vous comporterez jusqu’à l’heure fatidique. Cette heure décisive vous surprendra. Nous verrons bien en ce moment-là jusqu’où vous conduiront vos plaisanteries et moqueries.
Vous pouvez continuer à vous moquer de Banamè, vous qui êtes passés maîtres dans l’art de la moquerie. Tel vous savez comment vous moquer de Dieu, tel vous vous apprêterez à pleurer, si toutefois vous vous retrouvez en vie. En effet, vous serez rétribués à la mesure de vos actes. Je vous le ferai payer. L’instrument de mesure dont Je me servirai sera pareil au vôtre. Cette heure sonnera inévitablement pour vous. Je n’ai pas à me gêner avant de vous atteindre, car vous êtes à portée de ma main. Votre jour de tourments viendra inéluctablement. Et ce jour qui s’annonce est très proche. Ce moment viendra indubitablement. C’est un évènement certain. L’heure sonnera pour ce monde.
J’ai instruit les Daagbovis de s’enfermer chez eux pour des raisons bien précises. C’est l’Éternel Dieu qui connait toute chose, celui qui voit tout jusque dans l’éternité qui l’a recommandé et, J’ai mes raisons. De quoi vous mêlez-vous, vous qui avez rejeté Dieu ? Vous dites avoir un dieu qui vous sauvera. Si au jour fatidique, il ne descend pas pour vous sauver, ce sera alors mon tour de rire de vous. J’applaudirai de mes pieds. Ce sera vraiment le comble de tristesses.
Des Daagbovis s’étaient tranquillement enfermés dans leur maison pour une retraite spirituelle lorsqu’un « Alpha » s’est permis de défoncer leur porte et de brûler leurs affaires et sacramentaux. Pourtant, c’est toujours Banamè qu’on traite de tous les maux. Pour vous, c’est Banamè qui provoque sans cesse et symbolise le mal. Voyez un peu ce que vous avez fait aux Daagbovis. Au lendemain de cet affront, vous publiez partout que Banamè a tué de nouveau et que Banamè a encore commis des forfaits. Pour vous, Banamè vient de faire des victimes et cela a été relayé par les réseaux sociaux. Vous vous plaisez à exécuter cette sale besogne. C’est votre heure de gloire. Profitez-en bien tant qu’il est encore temps, car cela prendra bientôt fin. Les réseaux sociaux, les Béninois ainsi que les organes de la presse écrite se plaisent à relayer ces informations comme une trainée de poudre.
La Mission de Banamè n’a plus son intimité. Vous violez constamment l’intimité de Banamè. Vous violez continuellement les droits de la Mission ainsi que ceux des Daagbovis. Vous vous permettez de partager et de répandre publiquement tout ce qui touche à la foi des Daagbovis et qui ne vous concerne en rien. Vous critiquez cela et vous en moquez. Cependant, vous n’avez pas les mêmes réactions à l’endroit des fidèles du Christianisme Céleste, des adeptes du culte vodoun, des adeptes des divinités « Thron » et « Mami » ou des fidèles des églises évangéliques. Vous vous plaisez à martyriser les Daagbovis, vous convainquant que cela restera sans conséquence. Croyez-vous que cela restera impuni ? Je prends note au fur et à mesure des actes que vous posez. Si vous croyez qu’un seul de vos actes restera impuni, vous vous leurrez.
Vous payerez le prix de votre méchanceté, de même que vos descendants, et ce, jusqu’à la septième génération. Je dirai même la neuvième génération ; et là encore, c’est par indulgence. Si Je me suis arrêté sur la neuvième génération, c’est bien par miséricorde. Vous payerez jusqu’au dernier centime, parce que les actes que vous posez sont injustes. Croyez-vous que les supplices ainsi que les torts que vous avez causés aux Daagbovis, depuis dix ans jusqu’à aujourd’hui, resteront impunis ? Cela ne restera pas impuni. Croyez-vous que lorsqu’ils s’étaient entendus pour mettre Jésus-Christ à mort, cela est resté impuni ? Non, cela n’est pas resté impuni. En effet, les évènements qui ont suivi, ont eu des impacts graves sur des générations entières. Cela a eu des répercussions inimaginables. Dieu ne laisse rien impuni, le châtiment sera sévère.
C’est le diable qui s’agite et règle les comptes illico presto, car lui, il joue cartes sur table. Dieu, quant à lui, fait preuve de patience. Prenez patience et retenez que votre punition sera certaine. Son temps viendra à coup sûr. Vous me prenez, Moi qui vous ai créés, pour votre ballon de frappe. Vous m’avez pris pour du Punching-ball et dans lequel vous tapez à loisir. Croyez-vous que j’ai perdu mes attributs simplement parce que je prends patience et je vous regarde agir sans mot dire ? Croyez-vous que Je suis un idiot juste parce que Je ne fais pas montre de mon omnipuissance ? C’est tout simplement de la miséricorde. C’est de la miséricorde.
Et, je crois que nous sommes à la limite de la miséricorde que Je vous manifeste. Je n’avais pas manqué de témoigner ma miséricorde à l’endroit des fils d’Égypte et en particulier à Pharaon. J’ai fait tout ce qui est de mon ressort pour qu’il renonçât à son projet infect. Pourtant, comme il s’est obstiné à mourir, n’était-il pas mort ? N’avait-t-il pas péri tel qu’il l’avait décidé ? J’ai autorité de finir avec celui qui a délibérément fait un tel choix. Ce choix vous incombe. Il ne me revient pas de le faire à votre place. Fort malheureusement, Je constate avec amertume que, d’ores et déjà, votre choix est fait.
Le sort des dirigeants de l’Église catholique romaine est déjà scellé. Et, cela me fait vraiment pitié. J’ai beaucoup de peines, car vous me contraignez à détruire mes propres créatures fabriquées aux prix de grands efforts. C’est déplorable. Cela me chagrine au plus haut point.
La grande amertume de Daagbo sur ce qu’est devenu le genre humain
Je ne vous ai pas créés pour que vous finissiez ainsi. Je ne vous ai pas créés pour que vous vous rebelliez contre Moi et me déclariez la guerre. C’est pour que le genre humain puisse me louer et me glorifier de par ses œuvres que Je l’ai créé. Mon désir a toujours été que tous les êtres humains soient des créatures privilégiées qui m’adorent, me craignent et baignent dans mes grâces.
En descendant et en prenant chair parmi vous, Je vous ai apporté une vie nouvelle, mais malheureusement vous m’avez rejeté. Vous manifestez clairement votre aversion pour la vie, préférant ainsi mourir. Et s’il arrivait que vous mouriez, on dirait que Dieu n’agirait jamais ainsi. Face à ce dilemme, Je deviens embarrassé.
Je vous ai apporté la vie en abondance et vous réclamez de Moi la mort avec insistance. Vous l’aurez à coup sûr, car un père ne peut que satisfaire le vœu de son enfant. Il est vrai qu’aucun père n’offrirait du serpent à son enfant alors que celui-ci lui a demandé du pain. De la même manière, sachez qu’on ne saurait donner du pain à un enfant qui réclame du serpent. Ces deux options sont valables. En définitive, de la même manière qu’on ne peut donner du serpent à celui qui demande du pain, l’inverse est également valable. Vous devez vous en convaincre. À qui demande du serpent, on lui en offrira ; à qui demande du pain, on donnera du pain ; qui réclame de la pierre recevra la pierre.
Ce n’est pas normal. On ne peut vous donner que ce qui convient au rayonnement de votre vie. Mais vous avez manifesté un refus catégorique à ce qui vous convient. Ce qui vous convient est que Je prenne chair pour votre salut puisque vous êtes au bord du gouffre. Vous faites pitié.
Les hommes confondent Dieu à un humain
L’on ne saurait dénombrer et raconter avec exactitude tous les faits marquants de la Mission de Banamè depuis dix ans. Ces faits sont innombrables et l’on ne saurait en faire un décryptage exhaustif. Ce ne sont que des faits marquants, et cela sur tous les plans, notamment des combats spirituels, des apparitions subites à domicile en esprit, les conspirations contre la Mission de Banamè et j’en passe.
Il y a même des dirigeants de l’Église catholique romaine qui ont effectué des voyages sur le Burkina Faso aux seules fins de me nuire. En effet, ils ont présenté mon image et payé des millions aux féticheurs et marabouts en vue de me ʽʽ tuer ʼʼ. Croyiez-vous que J’allais passer cela sous silence ? Tous ces faits se sont produits dans cette Mission de Banamè.
Ils ont conspiré contre ma personne, élaborant et publiant hors du territoire des propos diffamatoires stipulant que Je serais une religieuse dotée de pouvoirs de sorcellerie qui s’est donné pour mission de décimer toutes les autres religieuses en dehors de sa congrégation. Mais, même dans cette perspective, ne pouvez-vous pas prier pour chasser une telle religieuse de votre couvent. Tout ceci fait partie des affronts faits à la Mission de Banamè. C’est bien déplorable.
Il est même arrivé un temps, où à l’échelle de toute la région Agonlin, les féticheurs de renom, les plus puissants, se sont mis en consortium et ont uni leurs pouvoirs de nuisance dans le seul but de m’abattre et de mettre fin à la Mission, sans succès. Autre tentative de plus grande envergure, ma tête a été mise à prix auprès des plus grands féticheurs d’Afrique avec pour promesse de récompenses des villas, des millions de francs CFA et bien d’autres choses encore s’ils réussissaient à M’ʽʽabattreʼʼ. Croyiez-vous que Je n’allais pas le révéler ? Pourquoi ne vais-Je pas le faire ?
Toutes ces horreurs se sont produites contre la Mission de Banamè.
Il suffit qu’un tiers se lève et concocte une diffamation pour que tout le monde s’en trouve emballé. Dès lors, une propagande s’installe et ceci devient un sujet d’actualité, le plat du moment à consommer, le commerce dont il faut faire la publicité. La Mission de Banamè est la seule Institution sur laquelle tout le monde prend plaisir à jeter toute sorte d’opprobres.
Sabbat Nazaire ! Voilà un autre cas. C’est un vaurien, un bon à rien, un gredin, une ordure. Voilà ceux qui veulent critiquer Dieu. Voilà le genre de personne en qui vous croyez. C’est bien minable.
Dans ce pays, on a même eu à dire que j’ai menacé d’arracher le cache-nez en métal du roi défunt Agoli-Agbo d’Abomey. Est-ce seulement à son cache-nez que Je m’attaquerais si Je voulais agir contre lui ? À quoi me servirait même un tel métal ? Si Je devais arracher au roi Agoli-Agbo quelque chose, ce ne serait pas du métal puisqu’en tant que son créateur, Je lui ai fait don de chose de plus grande valeur. Je ne tiens pas à aller plus en profondeur à cette occasion puisque son cas a déjà été réglé.
Ils ne font que propager des mensonges. Les mensonges fusaient de toute part et puisque Je ne réagissais pas, c’est devenu une mode. Le fait de proférer des mensonges contre la Mission de Banamè est devenu la tendance actuelle.
Chaque fois que nous sollicitions les services d’une chaîne de télévision, ses responsables refusaient de diffuser les évènements relatifs à la Mission de Banamè. Il arrive même qu’ils refusent de diffuser nos éléments qu’ils ont eu à couvrir après avoir reçu et encaissé les frais de diffusion. Et pour cause, ils affirment clairement que c’est le clergé de l’Église catholique romaine qui en a interdit la diffusion. Est-ce l’Église catholique romaine qui nous dirige ? Aussi bien, les différentes chaînes de télévision, de radio que la presse écrite, manifestent leur refus catégorique à diffuser tout élément ayant trait à la Mission de Banamè. Dans leur entendement, la Mission de Banamè n’a aucun droit dans ce pays. Tous ces faits ont marqué négativement la Mission de Banamè.
Ils prétendent après que la Mission de Banamè n’apporte jamais de démentis aux rumeurs la concernant. Par quel canal pouvions-nous passer pour faire valoir notre droit de réponse ? La presse qui est le seul moyen par lequel nous pouvions faire valoir notre droit de réponse rejetait nos demandes. Nous avons été muselés. Que pouvions-nous faire si la presse rejette notre demande ?
Dans ce même pays, le Président YAYI Boni avait gardé par-devers lui notre récépissé d’enregistrement officiel, refusant de nous le restituer. Dans le même temps, ils ont divulgué que la Mission de Banamè ne s’est pas enregistrée au Ministère de l’Intérieur. C’est un abus de pouvoir. En plus, ils avaient donné ordre à toutes les Administrations locales décentralisées de nous exiger le récépissé d’enregistrement légal chaque fois que nous aurions souhaité avoir une autorisation de manifestation dans le cadre de l’organisation de nos enseignements ; sachant pertinemment qu’ils ne nous l’ont pas délivré. Ils ont fait tout ceci dans le but de nous museler. L’Etat a refusé de nous délivrer le récépissé et dans le même temps, il propage partout que nous ne nous sommes pas enregistrés et par conséquent il ne saurait nous reconnaitre. C’est de la cupidité, de la mesquinerie. C’est un crime. Ils avaient donné ordre de ne pas nous donner l’autorisation de faire des enseignements sans le récépissé. Ce sont des situations terribles que la Mission de Banamè a traversées.
A l’époque, le Président YAYI Boni nous fit appel. Nous nous rendîmes à la Présidence et ils se mirent à nous tourner en rond prétendant qu’il y avait une erreur d’aiguillage. À l’occasion suivante où j’ai pu le rencontrer, il a reçu sa dose d’injures. C’est déplorable, tant de tortures morales infligées à la Mission de Banamè. Les Daagbovis ont été confrontés à d’énormes souffrances. Partout, les Daagbovis sont lapidés, frappés, dispersés et brimés sans possibilité de recours. Au commissariat ou au tribunal, les Daagbovis sont toujours condamnés à tort.
DAAGBO est la seule récompense des daagbovis
Pour trouver un emploi, le Daagbovi devrait se faire discret puisqu’il n’avait aucun droit. Toute demande d’emploi venant de leur part était catégoriquement rejetée. Dans leurs services, les Daagbovis sont sujets à toute sorte de maltraitances. Par contre, les sorciers trouvaient aisément de l’emploi. Les francs-maçons sont toujours promus dans leurs services. Les sorciers prospèrent dans leurs services et bénéficient de promotions tous azimuts tandis que les Daagbovis étaient rétrogradés. Parfois, on leur faisait perdre leurs emplois. Ils n’avaient aucun droit.
Face à toutes ces représailles, les Daagbovis ont fait montre d’endurance puisque Je leur en avais donné la grâce. Je les ai choisis dès les origines. Ce sont eux « le petit reste d’Israël » dont j’ai fait la promesse à de nombreux personnages bibliques. Sur eux, vous n’avez aucun pouvoir de mort. Ils sont tout le temps sous ma protection divine.
Ont-ils péri faute de nourritures ? Malgré toutes ces souffrances, sont-ils morts de faim ? Ne sont-ils pas toujours vivants ? Ne parviennent-ils pas à se sustenter ? Ils continuent bel et bien de manger.
Il est dit que la Mission de Banamè a soutenu le Président TALON. C’est effectif, Je l’ai fait élire. J’ai fait en sorte que TALON vînt au pouvoir. Que vous le veuillez ou non, vous vous plierez au choix qu’on vous a fait. C’est bien Moi qui ai fait David roi en Israël sans requérir l’avis de qui que ce fût. J’ai fait venir TALON au pouvoir sans votre avis. Mais, à combien de Daagbovis avez-vous permis de bénéficier des faveurs du Président TALON depuis son arrivée au pouvoir ? À combien de Daagbovis ayant contribué à l’élection du président TALON a-t-on permis de bénéficier de ses faveurs ? Nous, nous ne sommes pas des mendiants. Aucun Daagbovi n’est quémandeur. DAAGBO est la seule récompense des Daagbovis.
J’ai doté le Président TALON d’intelligence. C’est Moi qui lui ai conféré son cerveau qu’il utilise et toute la sagesse dont il peut faire preuve. C’est donc à Moi qu’il revient de communiquer à sa conscience les actions à mener. Vous malmenez et essayez d’écraser les Daagbovis puisque vous savez tous que ce sont eux qui ont œuvré pour son élection. Tout ceci se passe envers et contre la Mission de Banamè.
Si Dieu pouvait s’ériger en homme politique, bon nombre d’évènements se seraient produits ici au Bénin. Pourtant comme une cérise sur le gâteau, vous alignez les calomnies ; vous sériez les mensonges comme des gratte-ciel puisque Banamè est l’animal qui vous donne l’insomnie et qu’il faut à tout prix abattre.
La mission de Banamè arrachera aux sorciers toutes leurs puissances maléfiques
Vous avez contracté la sorcellerie et vous ne voulez pas qu’on vous la calcine. La Mission de Banamè vous arrachera toutes vos puissances maléfiques. Elle compte les anéantir jusqu’à la dernière. Il n’en restera pas une seule. Je vous les arracherai sans laisser de trace ; vous en aurez les mains entièrement et proprement lavées. C’en est assez de tuer des êtres humains, de faire des sacrifices de sang humain lors des nuits sabbatiques. Vous avez assez brimé les âmes innocentes.
Malgré la douleur, les femmes portent leurs grossesses jusqu’à l’accouchement et vous, vous osez les tuer. Parfois pour épargner ces âmes innocentes, vous exigez en contrepartie des sacrifices. Il arrive même que vous les tuez malgré la rançon perçue. C’en est assez.
Qui se sent morveux se mouche dit-on ; si un individu se sent concerné, qu’il sache que c’est avec lui que j’en finirai.
J’en ai fini.
Que le peu que vous avez entendu vous serve de leçon. Ressaisissez-vous. Apprenez qu’aucun adversaire ne triomphe de Dieu. Vous ne triompherez qu’en défendant le bien. Vous ne pouvez pas défier Dieu. Vos pères n’ont pas pu me vaincre. Ce n’est donc pas vous qui me vaincrez.
Voilà en résumé notre parcours jusqu’ici.
Dans notre prochain message, nous parlerons du sort du Bénin. Les Béninois en sont ignorants et par conséquent se refusent de mener une réflexion approfondie et s’en moquent.
Merci pour votre attention. Que ceux qui ont la ferme conviction que DAAGBO est plein de grâces bienfaisantes, les reçoivent et que par ce biais, ils soient sauvés et aient la paix. Que la paix, la quiétude et la prospérité abondent dans tous les foyers.
Je vous remercie.
Son Eternité DAAGBO DIEU ESPRIT SAINT,
Banamè
Cité de la Cour Céleste
Octobre 2018.
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Date de dernière mise à jour : 16/05/2024