EPISODE 1 : A LA DECOUVERTE DE DAAGBO DIEU ESPRIT


 

EPISODE 1 : A LA DECOUVERTE DE DAAGBO DIEU ESPRIT SAINT DANS LA CHAIR.

MISSION DE BANAMÈ·MARDI 14 AOÛT 2018

MISSION DE BANAME AU BENIN

CE QU’IL FAUT COMPRENDRE

(Daagbo, Dieu Esprit Saint dans la chair s’adresse à l'humanité)

Depuis 2009, l’évènement qui focalise l’attention de plus d'un au Bénin est la Mission de Banamè dont la genèse est la prise de chair par Dieu Esprit Saint à Banamè. C est dans ce village perdu de la Commune de Zagnanado à environ 170 km de Cotonou que le Dieu d’Abraham a choisi pour se révéler à l’humanité. Depuis lors de l'eau a coulé sous le pont et malgré tout, cette Mission divine suit son cours normal et tend ses tentacules partout dans le monde. Seulement voilà, des campagnes d’intoxications, de manipulations et de mensonges grotesques, savamment orchestrées par les forces du mal et leurs suppôts, empêchent les bénéficiaires de cette Mission salvatrice de recevoir la Lumière descendue du Ciel. Pourtant, il est là le Petit Reste d’Israël. C'est ainsi que Daagbo, Dieu Esprit Saint qui a pris chair dans le corps d’une jeune fille, du nom de Parfaite (25ans, en cette année 2018), a décidé de parler. Un rendez-vous mensuel est pris depuis juin 2018 pour mieux se faire connaître.

ÉPISODE1 - JUIN 2018

TRADUCTION EN FRANÇAIS (VERSION REVUE)

Daagbovi Zovi Zohounkla, recevez mes salutations.

Cela fait déjà un bon moment que nous nous sommes entretenus, n’est-ce pas?

Bien évidemment, dans la chair, j’entends, car vous êtes tous conscients que je suis Esprit, et donc omniprésent.

La Mission de Banamè fait son petit bonhomme de chemin et je crois qu’à travers votre cheminement avec DAAGBO, votre degré de compréhension s’améliore progressivement.

Seuls ceux qui sont en dehors de la Mission, et qui ne connaissent pas DAAGBO, ne peuvent pas en témoigner.

Mon amour pour ce monde est éternel.

J’ai aimé ce monde depuis les origines, depuis vos aïeux, passant par Abraham avec qui j’ai scellé une alliance. Je lui ai promis que sa descendance dans la foi, serait plus nombreuse que les grains de sable du bord de la mer. Abraham eut 2 une foi profonde en moi. Il m’a aimé et m’est resté fidèle jusqu’au bout. Je suis resté fidèle à cette alliance que j’ai scellé avec Abraham, depuis Isaac, en passant par Jacob jusqu’à ce jour.

Au nom de la fidélité à cette alliance, Je vous ai même envoyé mon unique fils engendré, le Seigneur Jésus, votre grand frère, pour vous sauver de la mort. En vérité, je vous le dis : il a obéi à toutes mes recommandations en faisant ma volonté en tout point de vue, et il a vaincu la mort. Le monde n’a malheureusement pas changé pour autant.

Le genre humain paye toujours en retour son bienfaiteur ou sauveur en monnaie de singe. Il lui fait toujours tort et le rejette, car, il y a un seul être qui fourvoie ce monde : son nom est le Démon, Satan, Belzébul.

Que vous soyez Daagbovi ou non et quel que soit votre obédience, constatez avec moi cette triste réalité : c’est celui à qui l’on a le plus confiance, à qui l’on a tout donné et fait le plus grand bien, qui se retourne toujours contre soi et devient son pire ennemi.

De même, il apparaît très souvent que, dans l’amour et la miséricorde, les personnes de bonne volonté qui manifestent de la bonté envers les autres, sont brimées et martyrisées.

Ces personnes qui ont un peu d’amour pour leurs prochains, qui ont un peu de gentillesse en elles et qui sont quelque peu généreuses, sont toujours persécutées.

La sorcellerie s’attaque à elles et détruit tous leurs biens. Leurs proches et intimes amis les jalousent ; la jalousie s’amplifie et laisse place aux persécutions et au martyr.

Ainsi va le monde.

Daagbovis mes chers enfants, vous me connaissez très bien.

Que ceux qui m’écoutent et ne me connaissent pas, sachent ceci : Je suis le Seigneur DIEU de l’univers, Maître et Créateur du ciel et de la terre. Je suis Esprit, je ne suis pas un être humain. L’apparence que j’ai prise pourrait vous tromper ou vous égarer.

Certains d’entre vous pourraient penser que je suis un être humain. Ne vous y méprenez pas ! Vous scandez à tout bout de champs : « Parfaite, Parfaite !» dans votre ignorance.

Retenez que Parfaite est mon temple.

C’est la voix de l’Eternel DIEU que vous entendez en ce moment. Une fois que j’aurais fini, je laisserai ce temple et vous, vous ne verrez plus que le corps ; seuls ceux qui ont la grâce d’habiter avec le temple le verront. Ceci n’est qu’une parenthèse.

Chers Daagbovis, pensez à ce puissant Archange particulier que j’aimais par-dessus toute chose au paradis et qu’on appelait Lucifer à l’époque. Lucifer signifie « Lumière » car, c’est de moi qu’il est sorti. Moi-même, on m’appelle « Lumière » et en ma présence, les ténèbres disparaissent. C’est lui le tout premier Archange, le plus puissant que j’ai créé et j’ai décidé de lui donner mon nom afin qu’il soit un autre moi.

Tenez, lorsque l’enfant aîné d’un homme est un garçon, voyez combien il s’en réjouit ; au point où si ce père se prénomme par exemple « Gabriel », dans sa joie, il attribue le même prénom « Gabriel junior », à son fils aîné, et il en est tout fier. C’est de DIEU que l’être humain a hérité du peu de sagesse dont il fait usage ; n’est-ce pas ? Le genre humain agit à la ressemblance de DIEU son créateur.

J’ai donné mon nom à Lucifer, et lui ai conféré d’être « Lumière ».

Je l’avais déjà conçu en premier, avant de créer tous les autres Archanges (Gabriel, Raphael, Michel), et esprits de toutes catégories. Je lui ai conféré d’être leur chef dans la hiérarchie au paradis.

A cause de sa jalousie, il s’est rebellé contre moi, son créateur !

Je ne souhaite pas ici, rentrer dans les détails ; tous les Daagbovis maîtrisent très bien ce qui s’était passé.

Quand bien même vous n’êtes pas Daagbovis et que vous lisez un peu la Bible, vous auriez compris certaines choses même si ce n’est l’intégralité des faits.

A cause de la jalousie, celui-là s’est retourné contre moi, son unique créateur, qui lui a tout donné. Il ne manquait de rien et pourtant, il s’est rebellé.

Lorsque celui qu’on aime plus que tout et en qui on a placé toute sa confiance, en vient à vous trahir, on se fâche très sérieusement, n’est-ce pas ? Chers Parents, lorsque vos enfants vous offensent, il arrive que vous prononciez dans un excès de colère : « tu verras, ton enfant te rendra la pareille ». C’est une malédiction du genre que j’ai prononcée à son encontre et toutes les merveilleuses grâces dont il s’enorgueillissait, se sont transformées en disgrâces.

C’est dans cet état qu’il est rentré dans le monde pour s’en accaparer.

C’est moi qui lui ai concédé ces merveilleuses grâces, n’est-ce pas ? Lorsque par exemple un enfant se soulève contre son père en lançant contre lui des attaques, il peut le maudire en disant : « La vie te le fera payer ! ». N’est-ce pas le même père qui, à la naissance de son enfant avait prononcé sa bénédiction sur lui en disant : « Mon enfant, ta vie sera remplie de bonheur » ?Et effectivement, l’enfant n’aura connu que le bonheur jusque là. Il l’a ensuite maudit face à ses graves comportements irrévérencieux, en prononçant : « La vie te le fera payer ! ». Les parents tiennent parfois de tels propos, sous le coup de la colère, à des moments donnés. Dès cet instant, la vie de cet enfant peut être compromise à tout jamais.

Cela signifie donc que la grâce de l’autorité parentale est très puissante.

C’est pourquoi, dans les dix commandements donnés à Moïse, je lui ai dit : « Dis-leur, dis aux fils d’Israël : Tu respecteras ton père et ta mère pour que les grâces divines abondent ta vie ».

A ceux à qui il a été donné la grâce de procréer, ceux dont l’union donnera pour fruit une âme nouvelle, à ceux-là, on a également conféré la grâce de l’autorité parentale par laquelle s’accomplit tout verbe prononcé sur leur progéniture.

Or, c’est Moi qui suis la source de toutes grâces.

Donc, Je suis la grâce même de l’autorité parentale.

Voici que, cette puissante grâce de l’autorité parentale a maudit Lucifer.

Comprenez donc que sa vie et ses manifestations ne peuvent qu’être obscurité.

C’est ainsi qu’il s’est libéré de moi.

Voici que le genre humain est constitué de chair, d’esprit et d’âme. A quoi faut-il alors s’attaquer en vous pour pouvoir vous dévier et par ce biais, espérer vaincre votre Créateur dans la guerre qu’on lui a déclarée ?

On ne peut que s’en prendre à votre corps.

N’est-ce pas par la chair qu’on a pu atteindre Êve au moyen de la nourriture en la tenant par le ventre ? Satan lui a dit : « Cueilles et manges-en. Dieu est entrain de te bluffer, car il sait que lorsque tu mangeras de ce fruit, tu deviendras libre ».

Dans l’aveuglement, l’homme n’a d’autres ambitions que de se libérer de son créateur, afin d’être libre de jouir, à plein temps des plaisirs de la chair.

Lucifer qui est devenu Belzébul vous connait depuis les origines, puisqu’il a demeuré avec Dieu au paradis. Il connait très bien tout ce qui peut affaiblir le corps et arriérer l’âme. Il sait qu’on ne peut s’en prendre à l’esprit et triompher. Il sait qu’il faut s’attaquer à la chair qui finit par fléchir et céder, avec pour conséquence, l’arriération de l’esprit. Dès que la chair prend le dessus sur l’esprit, la chute de l’âme en est facilitée.

Depuis que Belzébul est descendu sur terre, il m’a mené une guerre farouche et sans répit.

Abraham fait partie des modèles du genre humain qu’on peut taxer d’«Homme fidèle à Dieu ». Allez-vous me dire que Belzébul le démon n’existait et ne persécutait pas le monde du temps d’Abraham ? Le diable existait bel et bien en cette époque-là. Et pourtant, Abraham n’a jamais suivi Belzébul. Il m’est resté fidèle jusqu’à son départ de ce monde. C’est tenant compte de cela que je me suis engagé à faire de sa descendance dans la foi, une descendance plus nombreuse que les grains de sable du bord de la mer.

Je suis en train d’honorer ma promesse depuis Isaac en passant par Jacob jusqu’à ce jour. Je vous ai même envoyé mon unique fils engendré.

De jour en jour, Belzébul progresse dans la destruction de ce monde, conscient que, si cette fidélité d’Abraham perdurait dans le temps et les générations, passant par celle d’Isaac, de Jacob à David, et à travers les siècles sans fin, je le vaincrais dans la guerre qu’il m’a déclarée. Or, celui qui vous jalouse, cherche toujours les voies et moyens pour vous atteindre, pour prendre ce qui ne lui appartient pas, et que vous détenez en votre possession.

Dans sa quête, il s’est dit qu’il fallait rompre la chaîne de cette fidélité à un niveau donné pour m’empêcher de réaliser pleinement mon plan sur la création.

Sinon, l’échec serait terrible pour lui, depuis le temps où Abraham conduisait la vie d’Ismaël (qu’il manipulait en l’incitant à la révolte) et de son fils Isaac.

Car, retenez qu’Abraham n’est pas le père géniteur d’Ismaël, mais qu’il l’a juste gardé et s’en est occupé comme s’il était son propre enfant. Je ne veux pas entrer dans ces détails dans le présent propos. Tous les Daagbovis sont assez éclairés sur ce sujet.

C’est depuis cette époque qu’Ismaël a été poussé à se rebeller contre Abraham. On l’a monté contre Abraham en l’instruisant sur le fait que : « Si tu ne te révoltes pas contre Abraham, Isaac te ravira tout ton héritage ».

Car, il faut reconnaître que J’ai comblé Abraham d’immenses fortunes. C’est ainsi que j’agis, en faveur de tous ceux qui me restent fidèles et me craignent.

Daagbovis, mes chers enfants demeurez fidèles à votre DAAGBO.

Je ne compte pas faire un certain nombre de déballages ici, mais, retenez que malgré le fait qu’il ait poussé Ismaël à la révolte contre Abraham, avec pour conséquence la création de la religion islamique, il n’était pas satisfait.

Depuis lors, j’ai su que le monde courait à la ruine. Le diable s’est mis à détourner tous les Hommes de la voie de l’Eternel et les perversités en tous genres se sont décuplées.

Lorsque chacun se lève, c’est pour créer ses propres principes, ses lois et son propre code de vie. Et les lois sont devenues multiples; les rois foisonnent dans le monde. Chaque peuple choisit librement d’adorer le Dieu de son désir. Tout a commencé à se produire et c’est tout comme si Moi, le créateur de l’univers je n’existais plus.

Ce monde, je l’ai créé de mes propres mains et je vous l’ai légué en gestion déléguée, à vous les êtres humains, vous nommant de ce fait « Gbêtô » ce qui signifie littéralement en langue FON « Possesseur du Monde ».

Vous les humains, n’avez aucune idée de l’incommensurable amour que je vous porte. En réalité, ce n’est pas vous le propriétaire de ce monde. Si je dois appeler quelqu’un propriétaire ou possesseur de ce monde, c’est mon fils unique engendré Jésus Christ. Et moi, je suis le seul architecte souverain, le concepteur et créateur de ce monde.

Pourtant, je vous ai conféré cette grâce en prononçant sur vous que : « Ce monde vous appartient, d’en disposer à votre guise ». Cette situation est comparable à celle de tout propriétaire qui, ayant bâti sa demeure, la laissa en héritage à ses enfants, leurs disant fièrement : « C’est vous mes héritiers, moi je suis appelé à l’abandonner. Cette maison sera vôtre ; vous êtes les propriétaires de cette demeure ». Bien souvent, on s’exprime à ses enfants en ces termes : « Moi, je ne suis qu’un simple locataire dans cette maison, vous en êtes les futurs propriétaires. Prenez-en donc bien soin ». Car, on sait qu’on ne vivra pas éternellement. Après, les enfants, à leur tour diront aussi à leurs progénitures : « Moi aussi je suis un locataire ici», et ainsi de suite.

Ainsi donc, je vous ai considéré comme étant les propriétaires de ce monde. Je vous ai donné la liberté de vivre dans mon monde que j’ai créé et d’en disposer, à votre guise et vous voulez encore m’en exclure !

Mes chers enfants, une image de ce qui se produit dans le monde aujourd’hui, est celle de la parabole du vigneron dite par le Seigneur Jésus, votre grand frère. Ce monde est la vigne dont parlait le Seigneur Jésus, s’adressant à ses disciples dans la parabole suivante : « Un homme avait une plantation de vigne et y engagea des ouvriers.

A un moment donné, il décida d’envoyer ses serviteurs pour vérifier si les ouvriers accomplissaient bien leurs tâches dans la plantation de vigne et l’entretenaient comme cela se devait. Mais les ouvriers tuèrent les serviteurs, de peur de perdre le contrôle de la plantation de vigne.

Le propriétaire de la vigne se dit alors : « Je vais envoyer mon fils bien-aimé ; ils auront probablement du respect pour lui ». Ce qu’il fit en envoyant son fils unique engendré.

Mais quand les ouvriers le virent, ils se dirent entre eux : "Voici le futur héritier. Si nous ne le tuons pas, il nous arrachera la plantation de vigne". Et ils se ruèrent sur lui et le tuèrent.

Eh bien, que leur fera le propriétaire de la vigne à son arrivée ? »

Voilà là où nous en sommes aujourd’hui.

Le monde est entre vos mains et chacun en fait ce qu’il veut.

J’ai alors envoyé le Seigneur Jésus, fils de David, lui que le monde, et en particulier les fidèles de l’église catholique romaine ainsi leurs pasteurs hypocrites, feignent adorer le jour, et une fois la nuit venue, ils se retrouvent en nuits sabbatiques pour rendre cultes au démon. Vous-vous leurrez en pensant ainsi adorer Dieu.

J’ai envoyé Jésus pour sauver les hommes. Mais avant sa venue, ayant constaté que ce monde courrait progressivement à sa perte, j’ai envoyé devant lui mes serviteurs que sont les prophètes, pour signifier au monde que j’existe encore, et que je demeure le Seigneur de l’univers, le Maître Créateur de ce monde, et que la plantation de vigne demeure entre mes mains.

Voici ce que je leur avais assigné comme mission : « Instruisez-les, guidez-les afin qu’ils se ressaisissent et retrouvent le droit chemin. Ce monde n’appartient pas au diable, j’en suis le propriétaire. Le démon n’est qu’un jaloux. C’est moi qu’il a trahi, s’est rebellé avant de descendre s’en prendre à vous. Soyez éveillé afin qu’il ne vous fourvoie point ».

Les prophètes étaient nombreux à venir dans ce monde. Pourtant, qui les a écoutés ? Personne ne les avait écoutés. Lorsqu’ils se mettaient à parler, on les considérait comme des fous. Ils étaient tous lapidés. Et pourtant, ils étaient venus éveiller vos consciences et éclairer vos lanternes. Ils furent tous tués sans exception. Alors, j’ai décidé que : « J’enverrais mon unique fils. Mais avant qu’il ne vienne dans ce monde, sa venue devrait être annoncée et consignée dans des testaments écrits et connus de tous. Ainsi, ils auraient un peu de crainte afin que lorsqu’il viendra, tout le monde puisse reconnaître que : « DIEU demeure le seul Créateur et Maître et que rien n’a changé » ; car toutes ses prophéties à travers la bouche des prophètes et envoyés, ainsi que leurs révélations, se seraient accomplies à la lettre. Ainsi, ils craindront mon fils, ils auront un peu peur, ils auront de l’estime et du respect pour lui ».

Les Saints du paradis se sont mis à la tâche, et ils ont appliqué toutes ces recommandations avec dévotion et succès.

La venue du Seigneur Jésus a été annoncée et consignée par écrit un peu partout, et tout le monde savait qu’un messie était attendu et viendrait sauver le monde.

Tout ceci a été écrit pour témoignage, afin que le monde se rende à l’évidence que Dieu existe encore et que sa volonté et ses paroles s’accomplissent toujours.

Les Hommes ont été prévenus par moult moyens de la venue du Sauveur sans manifester le moindre désir de conversion. Pire, ce fut l’occasion pour eux d’affuter leurs armes. Ils s’étaient mis sur pied de guerre et ils s’étaient préparés à le combattre.

Dès l’entrée de Jésus-Christ dans ce monde, les humains, prévenus de la récente naissance du messie ainsi que sa présence parmi eux, entreprirent d’exterminer systématiquement tous les enfants de son âge, avec le vil dessein de l’éliminer à tous les coups. Toutes les tentatives pour l’empêcher d’accomplir sa Mission furent vaines.

Il a d’abord accompli intégralement la Mission pour laquelle il était venu dans ce monde, avant que par mon plan préétabli, je ne les laisse mettre à exécution leur projet de sa mise à mort. C’est moi-même qui l’ai voulu, car, sans ma volonté, ils ne l’auraient jamais atteint.

Afin que le fils unique, l’héritier, ne lui reprenne ce monde, Belzébul a manipulé les humains en s’immisçant dans leur conscience. Ils se sont soulevés contre leur seul et unique bienfaiteur et l’ont tué ; lui qui leur a été envoyé pour les sauver de cette féroce et méchante bête qu’on appelle Satan. C’est toujours vos bienfaiteurs qui sont mal vus et deviennent vos tristes victimes.

Dans vos foyers, vos familles, parmi vos proches amis, dans vos services, l’on remercie toujours en monnaie de singe ses bienfaiteurs, qui ont en eux un peu de bonté. Vous-vous en prenez toujours à ceux qui ont de bons comportements. Vous jalousez même vos proches et inséparables, vos fidèles amis. A cause de la jalousie, certains détournent la femme de leurs proches amis. Même au service, des collègues de travail se livrent aux maraboutages et aux fétichismes pour jeter des maléfices contre leurs confrères, juste pour leur nuire.

C’est la jalousie qui a fait que Lucifer s’est rebellé.

Une fois descendu parmi vous, il a semé cette même graine nocive dans vos cœurs, et vous en arriver à jalouser même Daagbo qui a créé son monde. Vous ne devriez pas jalouser Jésus.

Pourtant c’est par cette même jalousie que vous l’avez tué, lui le propriétaire.

Que vous l’ayez tué ou pas, c’est sa propriété, c’est lui le propriétaire.

La question que je m’en vais vous poser est la suivante : « Allez-vous le tuer sans que cela n’ait de graves répercussions ? ».

Je prends un exemple basique de ce monde. Si véritablement Dieu est avec un homme qui a bâti sa maison et vous y héberge, et que vous l’assassinez.

Il vous sera difficile de continuer de vivre dans cette demeure.

Vous le savez, n’est-ce pas ?

Vous ferez tous genres de cauchemars dans lesquels vous verrez votre victime.

Vous fuiriez définitivement cette demeure sans même vous en rendre compte.

Des exemples du genre sont légions dans ce monde.

Si quelqu’un a véritablement Dieu dans sa vie et qu’il lui a été conféré un destin 10 inébranlable, lorsqu’il a bâti sa demeure et que vous le tuez pour vous en accaparer, vous le verrez et il vous persécutera, jusqu’au point où vous serez obligé d’abandonner la maison. Car, ce n’est pas vous le propriétaire de la maison, c’est plutôt lui. C’est lui qui a souffert pour construire sa demeure.

Vous avez tué le Seigneur Jésus. Vous ne pouvez pas vous attendre à ce que cela soit sans de graves répercussions, ni que tout évolue normalement dans votre vie sans déconvenues, car il est toujours vivant. Ce qui est encore plus grave dans le cas du Christ, c’est que vous n’avez tué que la chair, vous n’avez pas tué l’être lui-même.

Vous-vous êtes leurrés et vous n’avez fait qu’une simple comédie humaine.

Vous vous êtes mis en scène dans un théâtre grandeur nature, pour vous convaincre que vous avez arraché le monde des mains de son propriétaire.

Théâtre digne des grandes écoles contemporaines de beaux-arts !!!

Qu’avez-vous arraché ?

Vous n’avez du tout rien arraché.

Jésus vous a laissé sur votre scène théâtrale et s’en est allé siéger auprès de son DAAGBO et a planifié une nouvelle stratégie.

Lorsqu’on est en combat et que la guerre fait ravage, il faut savoir faire marche arrière pour réfléchir à de nouvelles stratégies d’attaques.

Cela s’appelle un repli tactique.

Je suis le créateur de l’univers Daagbo, qui a envoyé Jésus.

Je suis là aujourd’hui parmi vous.

Qu’attendez-vous de moi ?

Dois-je vous regarder, et simplement croiser les bras, (DAAGBO Dieu débonnaire et gentil !)et me dire ceci : « Comme vous l’avez tué, que cela demeure ainsi et que le monde soit à vous » ?

Je ne peux pas parler en ces termes. Je dois me mettre à réfléchir à de nouvelles stratégies à mettre en œuvre pour élucider la situation.

Ainsi, Dieu s’est mis à réfléchir.

Aujourd’hui, voulant prendre chair et venir dans ce monde, en aviez-vous été prévenu ?

Non bien sûr, vous ne le saviez pas !

Un adage de la culture FON n’enseigne-t-il pas que : « L’on ne se laisse pas prendre deux fois de suite au même piège ? Ou autrement, l’on apprend de ses erreurs ? ».

Les FONS le disent si bien !

Du temps où l’on vous a prévenu de la venue du Seigneur Jésus, nous savons tous comment cela s’est terminé.

Dieu qui a conféré un peu de sa sagesse au genre humain, et en particulier à vous les Dahoméens, inspirent que : « L’Homme apprend de ses erreurs ».

La source de cette sagesse de laquelle est issue votre intelligence, c’est moi votre créateur.

Ainsi, vous auriez souhaité que de nouveau, je vous annonce ma venue, n’est-ce pas ? Je ne pourrai que faire en sorte que personne n’en soit prévenu. Ainsi, je pourrai détruire ce que je suis venu supprimer du monde. Avant que vous ne vous rendiez compte que je suis là, ce serait déjà trop tard. C’est ce à quoi je m’attèle en ce moment, avant que les méchants, les sorciers et autres mécréants, les fidèles de l’église catholique romaine et leurs dignitaires ne se rendent compte que je suis le vigneron sensé descendre exterminer ces races de méchants. Cette stratégie nous confère une longueur d’avance sur nos protagonistes et détracteurs de tout acabit.

Ce n’est que les humains de ce temps qui perdront, Dieu ne perdra rien. Dieu et l’être humain, sa créature, ne sauraient s’engager dans un bras de fer dont l’Homme triompherait.

C’est chose impossible. Ce ne sont donc que les Hommes de ce temps qui ont tout à y perdre.

Chers Daagbovis, hommes et femmes, vous mes créatures qui êtes devant moi en ce moment, voyez depuis quand nous sommes en train de parler de cette Mission de Banamè.

Dix années se sont déjà écoulées. « Comment un petit enfant peut-t-il prétendre être DIEU ? Comment Dieu aurait-il des seins ? Comment une femme peut-elle se prévaloir être Dieu ? » ; Et beaucoup d’autres questionnements et allégations se font encore entendre. Quel impact tout ceci a-t-il produit à travers le 12 Dahomey? Quel malheur s’est-il déjà abattu sur le petit enfant dont il est question?

Laissez-moi juste vous dire un mot à propos de toutes ces âneries que vous racontez.

C’est de DIEU qu’il est question tout de même !!!

Votre ignorance et absence de foi vous aveuglent.

Vous devriez avoir une sainte crainte de ma personne, car « C’est encore moi qui ai suggéré tout cela à vos consciences, et vous pousse à le dire afin que mes desseins s’accomplissent ».

C’est là tout le mystère face auquel vous devez me craindre. Je suis le Maître, le Possesseur et l’Ordonnateur de toutes consciences humaines.

Vous devez comprendre que j’ai forcément un moyen sûr par lequel je reçois simultanément toutes les prières des êtres humains de ce monde.

Lorsqu’un concepteur construit sa voiture, il connait dans les moindres détails les circuits de son système de fonctionnement. Il le maîtrise si bien que lorsque la voiture a une panne, il sait à quoi s’attaquer pour résoudre le problème. Je suis mieux qu’un concepteur de véhicule dont le produit n’a ni âme, ni esprit et en plus, mes réparations vont au-delà de celles d’un concepteur de véhicule, ainsi que des soins qu’un médecin donne à son patient. Je ne soigne pas, je guéris !

Toutes les âmes sont liées à mon être. Lorsqu’il y a un court-circuit dans le système, je suis automatiquement au courant. Avant qu’un être humain n’ouvre la bouche pour sortir une parole, c’est d’abord la conscience qui en est le siège de conception. Or c’est bien Moi-même DAAGBO, qui ai créé ce siège d’où vos idées sont émises et que vous appelez conscience. C’est donc moi qui ai voulu que l’on raconte toutes ses âneries à mon sujet dans ce pays. Car, il faut avoir pensé et conçu ces paroles quelque part avant de les sortir par les lèvres. Or, à l’instant même où vous pensez, le lien qu’il y a entre votre âme et moi, me met automatiquement au courant, et pourtant je laisse faire. Si en cet instant précis où vous concevez l’idée, je disais en ma conscience que celui qui dirait cela mourait, c’en serait ainsi. C’est là où c’est à la fois mystérieux et redoutable.

A tous ceux qui me désignent par le vocable de diable et m’appellent Parfaite, je dis ceci : « Aucun diable ne saurait avoir une si grande puissance et laisser les gens lui jeter tant d’opprobres ». Je suis siège et détenteur de puissantes et 13 incommensurables grâces à débordement et en plénitude. Je suis infiniment puissant et même tout le peuple Dahoméen peut en rendre témoignage.

En ce qui concerne les romains et autres catégories d’autres obédiences, j’y reviendrai plus tard.

Je vous donnerai dans les moindres détails la manière dont je détruirai, je pèse bien mes mots, j’abattrai, les uns après les autres, les murs de l’église romaine. Il n’en restera même pas un seul debout. Le Seigneur Jésus, votre grand frère, vous avait dit du temple de Jérusalem, qu’il n’en restera même pas pierre sur pierre.

Je suis celui qui accomplira toutes ces œuvres, et mettra définitivement fin aux œuvres maléfiques de tous les petits sorciers du Bénin et ceux du monde entier.

La haine et les ragots fusent de toute part.

Depuis les origines, le genre humain est resté tel, les Hommes sont demeurés immuables. Jusqu’à présent, le monde est demeuré tel et n’a pas évolué d’un seul pas. Les Hommes n’écoutent et ne suivent que la voix du démon.

Si vous n’aviez pas voulu écouter mes serviteurs les prophètes, au point où vous les avez tous tués, y compris mon unique fils engendré, ce n’est pas moi que vous écouterez.

C’est seulement ceux à qui j’ai conféré la grâce de me reconnaître, qui me reconnaîtront.

C’est seulement ceux à qui j’ai donné la grâce d’écouter mes paroles et de les mettre en pratique afin de pouvoir être sauvés qui pourront être sauvés.

Je n’en ai pas donné la grâce au pharaon. Vous voyez comment il a fini par périr ! Il est mort à tout jamais. Je n’ai donné cette grâce, ni à Sodome ni à Gomorrhe. J’ai exterminé des peuples et des générations entières car, je n’ai même pas désiré qu’ils survivent, car, ils m’ont méprisé et bafoué, moi leur créateur.

Si je ne désire pas qu’un béninois me reconnaisse et m’aime afin de pouvoir rentrer dans mon paradis, il ne le pourra jamais. Il ne fera que raconter des blasphèmes jusqu’à l’avènement des trois jours de tribulations.

Ne croyez pas un seul instant que c’est du fait de votre propre force, votre propre capacité, votre propre volonté, ou le fait d’être un bon orateur Béninois, qu’on m’a déclaré la guerre dans ce pays. C’est plutôt moi-même qui ai voulu qu’on me déclare la guerre. Car, je suis venu faire la guerre et livrer un combat farouche. Il est donc normal qu’on me déclare la guerre. Dans une guerre, il faut forcément une partie adverse pour qu’il puisse y avoir affrontement, sinon, la guerre n’aurait pas de sens. Il n’y a pas de combat à sens unique et sans camp adverse.

Vous ne verrez jamais un être sensé brandir tout seul son épée pour se mettre à frapper dans le vide. Il faut qu’il y ait quelqu’un en face avec lequel mesurer sa force de frappe. C’est simplement là toute la vérité. C’est pourquoi je vous le dis, c’est moi-même qui ai voulu qu’on me déclare la guerre ici au Bénin. Je ne saurais déclarer la guerre au gens et souhaiter qu’en retour on ne me la déclare pas. Sinon, ce ne serait pas une vraie guerre.

Moi, Je sais comment je suis en train de déclarer la guerre aux gens, même si cela ne vous ai pas perceptible.

Je suis DIEU, le sous-marin, qui agit en sourdine.

Lorsque la dose du feu calcinateur atteint son seuil critique, les cris de détresse fusent de toutes parts. On dit souvent : « Quand la pauvreté atteint un seuil culminant, les lamentations en sont plus intensifiées ». Ainsi donc, la guerre ne peut que progresser. Vous relayerez toujours ce que j’aurais mis dans vos consciences et que je vous aurais ordonné de dire ; afin que le combat progresse.

Ne voyez-vous pas que je les ai conduits à la perdition ? Jésus leur a accordé tous les bienfaits, et pourtant, ils ont demandé qu’on le tue. C’est bien quelqu’un, un être qui a introduit dans leur conscience, de revendiquer qu’on le tue ; car, ils ne s’étaient pas rendus dignes d’être sauvés dans l’Amour du christ. Ainsi donc, à cet instant précis, ils devaient dire de tuer Jésus, leur unique bienfaiteur afin que

l’on retienne cela contre eux et qu’ils en soient plus tard condamnés. .

Je suis la source de toute sagesse et J’ai accordé une petite parcelle de cette Sagesse à tous les Hommes venant dans le monde. Aussi, j’ai accordé à chacun une faculté psychique qui lui permet de raisonner.

Lorsqu’on annonce à un Homme que DIEU, créateur de l’univers a pris chair et œuvre à Banamé, le bon sens suggère qu’il dise : « J’irai voir ce qui se passe à Banamè ; est-ce vrai ou faux que Dieu a pris chair ? » Telle devrait être la logique qui guiderait le raisonnement de tout être humain. Tu peux y aller et trouver que ce n’est pas Dieu et rebrousser chemin. Si tu n’en prends pas conscience, sache que c’est DAAGBO même qui l’a voulu ainsi. Oui, c’en est ainsi car, Je suis maître et directeur de toutes consciences.

Daagbovis, enfants et adultes de tous genres, Béninois, sachez que vous êtes tous mes enfants ; vous êtes tous mes créatures. L’important n’est pas de croire que je suis Dieu ou non. Vous êtes tous mes créatures et il n’y a ni un autre monde, ni un autre Dieu. Vous n’avez pas d’échappatoire.

A vous qui feignez vous énerver et qui scandez : « Comment Parfaite peut-elle prétendre être Dieu ?» Moi, j’estime pour ma part que vous n’êtes pas réellement en colère car, vous ne pouvez pas prétexter vous énerver contre moi ; vous sortez de ma maison puis, vous couchez au seuil de mon portail et prétendez être fâchés contre Moi !

Comment comprendre que vous soyez énervés contre Moi, et que vous prenez la décision de sortir de mon domicile et bizarrement, vous allez vous couchez au le seuil de mon portail ? Si vous étiez réellement fâchés contre moi, il y a longtemps que vous auriez abandonné mon monde pour vous retrouver dans un autre qui ne m’appartiendrait pas. Si vraiment, le fait qu’un Homme ait dit qu’il est Dieu, vous choque et vous fâche à ce point, vous vous seriez déjà arrangé pour vous retrouver dans un autre monde où vous n’aurez pas à supporter d’entendre ce son de cloche. Telle devrait normalement être votre réaction. Vous vivez dans mon monde que J’ai créé, vous vivez sur la terre que J’ai faite, vous respirez mon air et vous osez me critiquer arrogamment. Vous faites les importants, les intellectuels et, sans même chercher à comprendre, vous osez objecter ce qui se passe à Banamè.

Cessez donc de vous leurrez.

C’est bien regrettable que tout le monde ne puisse pas être sauvé.

Vous répétez inutilement ceci : « Quel Dieu tue ? Quel Dieu menace de mort ?». Celui qui est mort par accident, n’est-ce pas Moi qui l’ai tué ? C’est Moi qui ai voulu qu’il meurt, l’avez-vous oublié? Le bébé qui vient à peine de naître et qui rend le souffle dès ses premiers cris, n’est-ce pas Moi qui ai donné et repris sa vie ? Quel tort m’a-t-il causé ? A-t-il déjà commis un péché ? Quand bien même J’ai permis qu’il meure, ce souffle que J’ai retiré automatiquement, ne m’appartient-il pas ? Retenez donc une fois pour toute, que Dieu tue bel et bien.

Comment celui qui a créé la vie et la mort, ne puisse-t-il pas tuer ? C’est à ceux dont il désire la mort qu’il arrache le souffle de vie. L’armée du pharaon d’Egypte, n’a-t-elle pas été décimée ? Comment pouvez-vous prétendre que DIEU ne tue pas ? Dieu tue !

C’est l’Amour de Dieu qui ne veut pas que l’Homme meurt pour toujours. Mais, s’il ne s’agit que de la mort dont vous parlez, c’est-à-dire la séparation du corps et de l’âme, Dieu le fait. C’est Dieu qui permet l’arrêt de tout souffle de vie chez l’Homme. Vous, les humains désignez cela par « la mort ». Ce que vous devriez dire, c’est ceci : « Dieu ne souhaite qu’aucun de ses enfants périssent en enfer. Dieu veut que tous les Hommes aient la vie éternelle » ; un point c’est tout.

C’est parce que Je vous veux la vie éternelle que J’ai pris chair. Si Je vous souhaitais la mort éternelle, Je n’aurais pas pris chair.

Vous croyez que c’est la séparation de l’âme du corps qui est la mort. Non, ce n’est pas cela la mort. Si l’on ne s’en tient qu’à cela, Je tue tous les jours. Je tue les Hommes tous les jours et je tue les sorciers à chaque instant. J’en tue tous les jours et en tuerai jusqu’aux trois jours de tribulations. Je tuerai indéfiniment s’il le faut.

Ce que J’appelle mort, ce n’est pas la séparation du corps et de l’âme. Non ! Je ne souhaite la mort éternelle, la véritable mort, à aucune âme, aucune de mes créatures. C’est pourquoi J’ai pris chair.

Que désigne-t-on par la mort éternelle ? La mort éternelle, la véritable mort, c’est périr en enfer, c’est aller dans les flammes de la géhenne. Je n’ai jamais souhaité cela à aucune de mes créatures. Mais s’il ne s’agit que de la séparation de l’âme du corps, Je le ferai éternellement car, le monde ploie sous le joug des Hommes pervers et des méchants.

Si les âmes d’une certaine catégorie d’Hommes ne se séparent pas des corps qu’ils habitent, ce serait la catastrophe car, les âmes innocentes font pitié sous leurs méchants actes.

L’âme qui se sépare du corps va-t-elle périr ? Périrait-elle en enfer alors qu’elle aurait pu aller dans la vie éternelle ? Je n’ai jamais souhaité l’enfer à aucune de mes créatures, c’est pourquoi je suis actuellement dans ce monde rempli d’immondices et vous-vous permettez de jazzer à mon sujet.

Malgré cela, mon amour pour vous ne s’épuisera jamais. Je suis fidèle à mon peuple puisque vous êtes tous de la race d’Abraham. Je revaudrai éternellement à Abraham sa fidélité et tous ceux qui sont de sa lignée doivent savoir qu’ils peuvent compter sur moi.

Moi, j’estime pour ma part que tous les Hommes sont des descendants 17 d’Abraham. Ceux qui se réclament descendants de votre patriarche Abraham, que ce soit les chrétiens, les musulmans ou les évangéliques, ont tous raison.

Mon Amour ne finira jamais car c’est un Amour éternel. Je le répète : « Mon Amour pour les Hommes, pour mes créatures est éternel !».

Quel que soit la noirceur des péchés que vous auriez commis, quelles que soient les opprobres que vous auriez jeté sur la Mission de Banamè, quelle que soit la gravité de l’acte posé par un Daagbovi, quelle que soit la faute commise, que la terre tremble ou que le Ciel s’effondre, Je suis amoureux de mes créatures ; J’en suis Amoureux jusque dans l’éternité. Il n’y a rien qui puisse me séparer de mes bien-aimés.

Je combattrai Belzébul jusqu’au bout et si malgré cela, une créature choisit inévitablement de mourir éternellement, alors, on la lui concèdera.

C’est l’enfer qui est considéré ici comme la mort éternelle ; il ne s’agit pas de la séparation du corps et de l’âme.

Mes biens aimés, nous allons nous en arrêter là pour le présent enseignement.

J’ai souhaité m’adresser à toutes mes créatures répandues à travers le monde car, les Daagbovis ne sont pas mes seules créatures.

Nous-nous rencontreront encore à une autre occasion car, même si Je consacrais un milliard d’années à vous raconter ce que j’ai sur les lèvres, ce que j’ai en moi, l’histoire de ce monde, Je n’en finirais point.

Si vous désirez avoir plus de connaissances, mieux connaitre ce monde, me connaitre davantage et savoir comment vous y prendre dans ce monde pour vous en sortir, venez m’écouter.

Si vous désirez avoir des éclaircissements sur l’origine de la Mission de Banamè, la raison pour laquelle l’église catholique romaine s’est révoltée contre la Mission de Banamè, qui est réellement Parfaite, quelle est son histoire, quel est la doctrine de la Mission de Banamè, plus d’éclaircissement sur la Mission de DAAGBO, comment vivre avec les sorciers, comment identifier un sorcier, quelle vie menée pour accéder à la vie éternelle et y rencontrer un jour DAAGBO, prenez le rendez-vous avec cette série d’enseignements qui vient de démarrer.

Actuellement, vous ne voyez que mon temple et non moi-même. C’est seulement ma voix que vous entendez.

Si Je sors à l’instant même de ce corps, aucun d’entre vous ne peut s’arrêter devant la caméra, personne ne peut tenir devant l’écran d’où vous me suivez en ce moment. Je suis Feu, Je suis Esprit.

Si vous avez besoin d’éclaircissements sur d’autres sujets et même sur les évènements qui se sont succédés dans la Mission depuis le début jusqu’à ce jour, que ce soit les propos mensongers que vous avez entendus, ou autres précisions et détails, prenez donc rendez-vous sur ce canal qui est ouvert à tout le monde.

Que vous soyez Daagbovis ou non, sachez que c’est toujours un plaisir pour Moi de m’adresser à mes Créatures, car je suis fier et très heureux d’avoir pris chair et d’être parmi vous.

Les calomnies et les injures n’ont aucun effet sur ma personne puisque Je suis le père de toutes les calomnies et des injures. Donc, les humiliations et les injures n’ont aucun effet sur ma motivation à vous sauver.

Mon seul souci, c’est votre salut ; vous serez sauvés de gré ou de force.

Merci à vous !

Que les grâces célestes pleuvent sur vous en abondance et vous délivrent dans vos foyers de ses difficultés, des difficultés de vos vies respectives, des soucis, des souffrances corporelles, des difficultés que vous rencontrerez sur vos chemins, dans vos services, dans vos amitiés, au marché et entre frères ; J’ai le pouvoir de vous délivrer de toutes ces choses. Que cette grâce jaillisse sur chacun d’entre vous et vous délivre de toutes les embûches, pour que vous ayez la paix afin d’être des Hommes dignes dans votre vie.

Je m’en arrête là et Je vous remercie.

En mon nom, moi Daagbo, qui suis Père, Fils et Esprit Saint !

Son ETERNITE DAAGBO DIEU ESPRIT SAINT

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Date de dernière mise à jour : 15/05/2024

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