Message de Sainte Rita 31 décembre 2014Messages
Message de Sainte Rita 31 décembre 2014Messages
Chantez tous Alléluia à Daagbo. Chers Frères, je suis tellement émue, au paroxysme de la joie car cette opportunité que Daagbo m’a offerte vaut à mes yeux plus que de l’or. Si vous étiez au Ciel, vous comprendriez la profondeur de la joie qui nous anime lorsque nous avons l’opportunité d’être parmi vous dans ce monde. Ce n’est pas chose aisée d’avoir une telle opportunité, la liste d’attente est tellement longue et c’est de temps à autre que Daagbo en sélectionne deux ou trois. Je rends grâce à Daagbo pour s’être arrangé de façon à ce que nous puissions aussi venir sur terre parmi vous de temps à autre. Béni soit son Saint Nom. Une fois encore, bonne fête à vous. Que quelqu’un qui connait bien mon histoire vienne en témoigner. Pour ce qui est de la réalité de mon histoire, je suis née d’une famille nombreuse et très pauvre. Nous étions
Onze frères et sœurs d’un même ménage dont je suis la seule survivante. Arrivée à l’âge adulte et devenue épouse d’un homme, nous eûmes ensemble trois (03) fils. Les souffrances dont j’ai été victimes, contrairement à ce qui a été rapporté n’ont pas été de la part de mon époux,
Mais plus tôt de ma belle-mère. En effet une autre femme avait été déjà promise à mon époux avant qu’il ne me choisisse. Nous vivions dans une grande souffrance lorsque mon époux rendit l’âme. A sa suite tous nos
Trois fils le rejoignirent dans l’au-delà. Ce ne fut pas facile, mais j’ai compris par la suite que c’est par de terribles souffrances que DIEU vous fait passer pour vous élever. J’ai fini par comprendre que toutes ces épreuves étaient pour que sa gloire se manifeste. Ce n’était pas que je priais outre mesure, mais je n’avais pas de gît si bien que je passais mes nuits dans les églises. Les religieuses qui travaillaient dans ces églises me chassaient sous prétexte que l’on ne pouvait prendre les églises comme dortoirs. Dans ces conditions, je dormais aux portes de l’église. Je priais du mieux que je pouvais et je me confiais à Fofo Jésus car j’étais consciente qu’Il était le Seul Consolateur que j’avais à l’époque. En ce temps-là notre connaissance de DIEU était très étriquée car il n’y avait pas vraiment de cours de catéchèses du fait de l’enclavement de la région où nous habitions. Ce n’était qu’avec les efforts personnels que chacun découvrait DIEU. Je ne connaissais pas très bien la Vierge Marie, si bien qu’à mon entrée au Ciel je disais à maman que si je l’avais connue dans ce monde
Je me serais accrochée à elle de toutes mes forces. J’ai connu Fofo Jésus parce
Qu’au cours d’une nuit je l’ai vu en songe dans les souffrances de sa passion. Je lui ai dis que je pouvais jauger la souffrance qu’il endurait car moi aussi j’ai souffert dans ma vie et que j’en savais quelque chose. A partir de ce jour-là, je le priais souvent afin qu’il transforme mes souffrances en les siennes. Chers fils et filles de Daagbo noyez toutes vos peines et vos souffrances dans l’immensité de celles du Christ Jésus et elles vous seront allégées. Même affamé, lorsqu’on se rappelle que quelqu’un souffre plus que nous et que toutes nos peines reposent sur lui ces peines sont allégées. On ne se rappelle même plus la faim. Le stigmate dont vous avez fait cas et que j’ai reçu au front de la part de Fofo Jésus m’a été donnée au cours d’un songe. Je ne saurais vous dire comment cela m’est arrivé. C’est à mon réveil que j’ai remarqué la marque sanglante sur mon front. Alors
Les yeux fermés, je me recueillais en prière lorsque Fofo Jésus m’annonçait : « Tu as reçu la marque et le signe de tes souffrances que tu as noyées dans les miennes. J’ai accueilli tes prières et je les ai acceptées et je te confirme qu’il n’y a aucune souffrance au-dessus de la mienne ». Cela que Fofo m’a révélé est réel chers fils et filles de Daagbo, le sauveur
a connu plus de souffrances que nous les humains. Les religieuses qui m’avaient rejetée ont fini par me recueillir. Je ne saurais dire si c’est le Seigneur qui a touché leurs cœurs ou le leur a suggéré en songe. Car j’avais parcouru beaucoup de noviciats à la recherche d’un refuge sans succès. Mon désir en cette époque-là n’était pas de devenir religieuse, mais d’aider et de servir juste dans un noviciat pour des tâches courantes et de ménage. Mais lorsque DIEU est avec vous et vous a destiné à quelque chose cela s’accomplit toujours, si bien que ceux qui m’ont rejetée ont fini par m’accepter. J’ai servi un moment avec les religieuses avant qu’elles ne me fassent professer mes vœux pour m’établir à mon tour comme religieuse. C’est à cela que j’ai passé le restant de mes jours terrestres. Je peux vous affirmer que ce n’est pas forcément la vie religieuse dans les noviciats qui conduit à la sainteté car j’y ai vécu et je sais de quoi il s’agit. Ce sont vos relations personnelles avec votre DIEU qui sont plus importantes. Ce n’est pas la vie dans les noviciats car mes yeux ont vu beaucoup de choses derrière les portes des maisons closes des noviciats. Ces choses-là n’honorent aucunement Daagbo ni Fofo Jésus notre sauveur. Il arrivait parfois que je supplie Fofo Jésus en pleures et je lui disais que connaissant bien ce qui se passait en ces lieux il aurait pu me laisser tel que j’étais dehors et l’adorer toute ma vie. Ou encore, qu’Il aurait dû me rappeler à Lui comme Il l’a fait pour mes enfants. Mais que savons-nous sur nous-même et de ce que DIEU a planifié sur notre vie. C’est lui seul qui sait par où Il doit nous faire passer pour que nous le connaissions davantage. Pour ma part, je souhaite au cours de cette fête : que l’Eternel aide chacun de vous à supporter les différentes épreuves de votre vie. Car cette croix pèse énormément sur beaucoup d’entre vous ici présents sur le chemin de votre sanctification. Que Daagbo dans sa miséricorde plonge vos souffrances dans les siennes. Ainsi vous aurez la paix du
Cœur et de l’âme. A vous aussi, je demande l’obéissance et la fidélité et que vous plongiez toute votre confiance et toute votre vie en Daagbo. Ainsi toute la suite de votre vie se déroulera telle qu’Il l’a planifié depuis toute éternité. A vous les Daagbovis femmes qui êtes menacées de renvoie par vos époux à cause de votre présence à Banamé pour ce pèlerinage, sachez que DIEU peut tout et est au-dessus de tout. Quoi
qu’il vous arrive plongez-le en Daagbo, car Il est la solution à tous vos
Problèmes. Que vous soyez en souffrance dans votre vie conjugale ce n’est pas à vous de divorcer. C’est Daagbo qui est seule habileté à arranger votre séparation d’avec votre époux selon sa volonté. Retournez dans votre foyer à la fin du pèlerinage. Si votre époux vous renvoie, c’est la volonté de Daagbo, s’il vous accueille ce sera encore la volonté de Daagbo. Avant votre départ de cette sainte colline confiez vos soucis à Daagbo et n’ayez aucune crainte. Confiez toute votre famille, vos époux, leurs menaces et toutes vos peurs à Daagbo. Si vos époux vous accueillent rendez grâce à Daagbo. S’ils vous renvoient attendez et espérez-en Daagbo pour voir comment Il va arranger votre situation.
Je vous remercie de tout cœur.
Date de dernière mise à jour : 02/12/2025