Enseignement de DAAGBO : Dieu Esprit Saint le 13 août 2015

Enseignement de DAAGBO : Dieu Esprit Saint le 13 août 2015

La souffrance est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Fofo Jésus un jour m’adressait ses cris de détresse au milieu de ses souffrances, de sa douleur, quand il était dans la chair avec vous et je lui répondis : « la souffrance est une richesse dont on ne comble que son bien-aimé. La souffrance est un privilège qu’on n’accorde qu’à l’être cher. »
Souffrir pour Dieu, est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Ceux qui subissent tout opprobre et qui acceptent tous sacrifices jusqu’au suprême pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires comme tous autres, ils sont singuliers en leur genre. Ce monde dans lequel vous êtes, vous mangez, vous vous achetez de belles voitures et vous construisez les belles maisons mais sachez que la vie du monde à venir est meilleure et sans rapport de comparaison en tout à celle que vous vivez aujourd’hui.
Je vous l’ai bien dit, ceux qui acceptent souffrir pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires à l’instar des mondains. Les Hommes qui ne craignent rien dans la vie, et pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires parce qu’ils sont en communion permanente avec le Vrai Dieu.

Par le passé, on disait dans l’Eglise catholique romaine aux chrétiens que le pape rencontrait en chair le Christ, votre Sauveur alors qu’aucun pape de cette église-là n’a jamais vu mon Fils parce qu’ils en sont indignes. Ils sont habitués à voir Belzébul mais voir le Christ, leur est proscrit à tout jamais. Et, voilà aujourd’hui que l’homme dans la chair voit Dieu et communique directement avec lui, celui de qui vient le Christ votre Sauveur. Quand vous rencontrez en ville un homme qui n’est pas couvert de l’ombre du Très Haut, il paraît à la vue comme sans vie, sans dignité, sans poids.

Autrefois, c’étaient les sorciers qui se prenaient pour les redoutables, les invincibles du monde aux yeux des hommes et, quand ils aperçoivent quelqu’un qui n’a pas la sorcellerie, il leur paraît comme une paille sèche incinérable à loisir. Ceux qui ne prient pas aussi sont à l’image de cette paille aux yeux des sorciers qui peuvent les manipuler et les détruire à volonté. Mais aujourd’hui, les données se sont inversées et les sorciers redoutent de gens qui n’ont point la sorcellerie ; les sorciers meurent de frayeur à vous voir, Daagbovis : c’est un mystère.

Les Daagbovis qui ont foulé de leurs pieds la Sainte Colline de Gbanamè ont déjà en leurs âmes cette garantie, cette immunité contre toutes attaques du genre et il en sera ainsi et éternellement.

« DAAGBO, que ta volonté soit faite dans ma vie. », tel doit être votre bréviaire. Quel que soit le prix que vous donnez à votre propre vie, vous ne pourrez garantir votre survie par vous-mêmes. Seul le Veilleur Universel a les grâces de vous garantir la vie et la survie dans toutes les situations. Vous, vous avez un seul devoir d’enfant : obéir et vous abandonner complètement à DAAGBO en tout.
Belzébul n’a aucune garantie à donner à l’homme. 
Qui d’entre vous peut pleurer pour la cause de quelqu’un pendant même un an ? Soyez réalistes, reconnaissants et responsables mes chers enfants. La Vierge Marie ne mérite-t-elle pas que les Daagbovis, ses enfants, l’honorent au moins une fois l’an pour cette Mission ? Une telle fête ne doit-elle pas se dérouler dans la joie et dans l’allégresse à la couleur mariale ? Tout Daagbovi ne doit-il pas dignement dire à votre Mère la Vierge Marie: « Maman, ce que tu m’as fait par l’avènement de la Mission de Gbanamè vaut plus que de l’argent car l’immatériel ne peut être acheté avec le matériel » ? Vous transposez sur les autres vos vices, vos imperfections et définissez leur personnalité, leur bonne foi, à l’ombre de vos défauts.

Obama, le président des Etats-Unis d’Amérique a des richesses, certes, mais qui ne peuvent lui conférer la garantie, l’immunité que les Daagbovis ont. Aucun riche dans ce monde, n’a le genre de richesse que vous Daagbovis avez.
Pouvez-vous estimer le prix d’une absence d’inquiétude, de stress dans la vie d’un homme ? Peut-on quantifier la paix, la joie de vivre, le bonheur d’un homme qui sort de sa maison et qu’aucun appel téléphonique en provenance de sa maisonnée n’inquiète ?

Vous pouvez confier votre maisonnée à DAAGBO et aller jusqu’aux confins de la terre sans vous soucier de rien. Dans la confiance en DAAGBO, vous ne pouvez plus jamais vous rendre chez un devin pour vous faire présager de l’aboutissement heureux ou non d’un projet ou d’un voyage que vous voulez entreprendre car vous avez la pleine assurance que vos projets ne peuvent que prospérer. Mais si un projet n’aboutit pas, tout Daagbovi doit s’en convaincre que telle est la volonté de DAAGBO qui lui réserve certainement une autre heure de bonheur.

La confiance totale en DAAGBO, la foi en Dieu, sont des gages certains de réussite dans la vie de tout Daagbovi.
Un homme me demanda un jour, que faire si ses peines se multipliaient de jour en jour malgré la foi qu’il a en Dieu, ou que de jour en jour, il perd des enfants et je lui ai répondu par un seul terme : persévérance. Daagbovis, mes enfants bien-aimés, si votre foi est vraiment en DAAGBO, le Dieu dont a parlé la première lecture de ce jour, le Dieu qui préserve ses enfants de la honte, même quand tout paraît comme si vos ennemis vous ont enfermés dans des paniers de crabes, persévérez, résistez car vous ne savez pas si c’est au moment où vous allez vous décourager et relâcher que l’heure de votre salut va sonner. Au moment où Dieu décide de venir à ton secours, alors que par ton manque d’endurance, de persévérance, tu aurais déjà succombé, ton regret sera profond.

Un prêtre catholique romain me déclara en l’an deux mille neuf que lui, il est né dans la misère, qu’il a grandi dans la misère et que même maintenant qu’il est devenu prêtre, sa dose de souffrance a augmenté très considérablement et qu’il se demande si Jésus dont il est prêtre, est fier de le voir submergé par la misère. Et je lui répondis de continuer l’endurance dans la souffrance car la souffrance est le déterminant de la foi de l’homme en son Créateur ; plus la souffrance augmente et perdure, plus la foi de l’homme en Dieu, s’enracine solidement et cela va de soi. Si ta foi n’augmente pas au milieu des souffrances énormes, tu n’auras pas en toi la ressource spirituelle nécessaire pour tenir, pour ne pas succomber et tu vas tomber encore au travers des préceptes de ton Créateur. Quand un chrétien succombe aux souffrances, il désobéit ainsi à Dieu. Lorsqu’il arrive qu’un croyant chute sous le poids de sa croix, la sentence correspondant à ce péché, est sévère car le Christ a résisté et n’a pas succombé sous la croix qui est pourtant la résultante des péchés de tous les hommes. Dès lors, la souffrance ne doit jamais faire chanceler la foi d’un croyant car il n’y a aucune croix aussi lourde que celle du Christ. Le Christ innocent a été chargé de la croix du monde et toi pécheur, tu prétends que tu ne devrais pas en porter ou que ta croix est très lourde.

J’ai enseigné beaucoup de choses à ce prêtre dont je viens de vous parler en lui rappelant essentiellement que tant qu’il voudra être prêtre de Jésus-Christ, la souffrance sera son lot quotidien mais derrière ses souffrances est caché un trésor que la persévérance dans l’endurance lui fera découvrir un beau jour. C’est aussi l’image d’un enfant qu’on contraint, même avec la chicotte, à étudier ses leçons avant un examen. A la proclamation des résultats, dès qu’il entend son nom, il jubile de joie et donne en ce moment raison à ses parents qui l’ont fait souffrir pendant l’année scolaire en vue de sa réussite à l’examen. En ce moment, l’enfant accepte ses souffrances antérieures et se dit prédisposé à plus endurer si des souffrances plus grandes conduiraient à des bonheurs de ce genre.

La foi du chrétien doit être solide au milieu des épreuves et ne doit chanceler.
Il a été dit aux Egyptiens d’alors d’immoler un agneau par maisonnée et de marquer la porte de leur maison avec le sang de cet agneau car quelque chose d’horrible s’annonçait pour cette nuit-là. Certains avaient boudé et ne l’avaient pas fait. Aussi, la viande de cet agneau devait être mangée debout et très rapidement et en voulant la consommer, s’habiller de telle ou telle manière. Voilà ce qui avait été dit aux peuples de ce temps-là et, combien d’Egyptiens l’avaient fait ?

Dieu qui voit jusque dans l’éternité fait des recommandations à son peuple qui les banalise. Aussi proches que vous êtes les uns des autres sur cette Colline maintenant, vous êtes incapables de lire dans les cœurs de vos voisins ce qu’ils pensent en cet instant précis. Vous êtes même incapables de voir distinctement du haut de cette Colline vos confrères Daagbovis au bas de la Colline et de savoir ce qu’ils font en ce moment : voilà autant de limites que vous avez et pourtant, vous doutez et banalisez les paroles qui sortent de la bouche de Dieu qui voit tout en détail jusque dans l’éternité. Celui qui vous parle en ce moment sait de manière exhaustive tout ce qui se passe dans toutes les chambres à coucher des maisons les plus perdues des Etats-Unis d’Amérique en ces secondes qui passent. Toi Daagbovi qui est assis là maintenant, tu ne sais pas ce qui se passe juste derrière toi et c’est toi qui fais l’enfant têtu.

Enseignement de DAAGBO : Dieu Esprit Saint le 13 août 2015

La souffrance est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Fofo Jésus un jour m’adressait ses cris de détresse au milieu de ses souffrances, de sa douleur, quand il était dans la chair avec vous et je lui répondis : « la souffrance est une richesse dont on ne comble que son bien-aimé. La souffrance est un privilège qu’on n’accorde qu’à l’être cher. »
Souffrir pour Dieu, est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Ceux qui subissent tout opprobre et qui acceptent tous sacrifices jusqu’au suprême pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires comme tous autres, ils sont singuliers en leur genre. Ce monde dans lequel vous êtes, vous mangez, vous vous achetez de belles voitures et vous construisez les belles maisons mais sachez que la vie du monde à venir est meilleure et sans rapport de comparaison en tout à celle que vous vivez aujourd’hui.
Je vous l’ai bien dit, ceux qui acceptent souffrir pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires à l’instar des mondains. Les Hommes qui ne craignent rien dans la vie, et pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires parce qu’ils sont en communion permanente avec le Vrai Dieu.

Par le passé, on disait dans l’Eglise catholique romaine aux chrétiens que le pape rencontrait en chair le Christ, votre Sauveur alors qu’aucun pape de cette église-là n’a jamais vu mon Fils parce qu’ils en sont indignes. Ils sont habitués à voir Belzébul mais voir le Christ, leur est proscrit à tout jamais. Et, voilà aujourd’hui que l’homme dans la chair voit Dieu et communique directement avec lui, celui de qui vient le Christ votre Sauveur. Quand vous rencontrez en ville un homme qui n’est pas couvert de l’ombre du Très Haut, il paraît à la vue comme sans vie, sans dignité, sans poids.

Autrefois, c’étaient les sorciers qui se prenaient pour les redoutables, les invincibles du monde aux yeux des hommes et, quand ils aperçoivent quelqu’un qui n’a pas la sorcellerie, il leur paraît comme une paille sèche incinérable à loisir. Ceux qui ne prient pas aussi sont à l’image de cette paille aux yeux des sorciers qui peuvent les manipuler et les détruire à volonté. Mais aujourd’hui, les données se sont inversées et les sorciers redoutent de gens qui n’ont point la sorcellerie ; les sorciers meurent de frayeur à vous voir, Daagbovis : c’est un mystère.

Les Daagbovis qui ont foulé de leurs pieds la Sainte Colline de Gbanamè ont déjà en leurs âmes cette garantie, cette immunité contre toutes attaques du genre et il en sera ainsi et éternellement.

« DAAGBO, que ta volonté soit faite dans ma vie. », tel doit être votre bréviaire. Quel que soit le prix que vous donnez à votre propre vie, vous ne pourrez garantir votre survie par vous-mêmes. Seul le Veilleur Universel a les grâces de vous garantir la vie et la survie dans toutes les situations. Vous, vous avez un seul devoir d’enfant : obéir et vous abandonner complètement à DAAGBO en tout.
Belzébul n’a aucune garantie à donner à l’homme. 
Qui d’entre vous peut pleurer pour la cause de quelqu’un pendant même un an ? Soyez réalistes, reconnaissants et responsables mes chers enfants. La Vierge Marie ne mérite-t-elle pas que les Daagbovis, ses enfants, l’honorent au moins une fois l’an pour cette Mission ? Une telle fête ne doit-elle pas se dérouler dans la joie et dans l’allégresse à la couleur mariale ? Tout Daagbovi ne doit-il pas dignement dire à votre Mère la Vierge Marie: « Maman, ce que tu m’as fait par l’avènement de la Mission de Gbanamè vaut plus que de l’argent car l’immatériel ne peut être acheté avec le matériel » ? Vous transposez sur les autres vos vices, vos imperfections et définissez leur personnalité, leur bonne foi, à l’ombre de vos défauts.

Obama, le président des Etats-Unis d’Amérique a des richesses, certes, mais qui ne peuvent lui conférer la garantie, l’immunité que les Daagbovis ont. Aucun riche dans ce monde, n’a le genre de richesse que vous Daagbovis avez.
Pouvez-vous estimer le prix d’une absence d’inquiétude, de stress dans la vie d’un homme ? Peut-on quantifier la paix, la joie de vivre, le bonheur d’un homme qui sort de sa maison et qu’aucun appel téléphonique en provenance de sa maisonnée n’inquiète ?

Vous pouvez confier votre maisonnée à DAAGBO et aller jusqu’aux confins de la terre sans vous soucier de rien. Dans la confiance en DAAGBO, vous ne pouvez plus jamais vous rendre chez un devin pour vous faire présager de l’aboutissement heureux ou non d’un projet ou d’un voyage que vous voulez entreprendre car vous avez la pleine assurance que vos projets ne peuvent que prospérer. Mais si un projet n’aboutit pas, tout Daagbovi doit s’en convaincre que telle est la volonté de DAAGBO qui lui réserve certainement une autre heure de bonheur.

La confiance totale en DAAGBO, la foi en Dieu, sont des gages certains de réussite dans la vie de tout Daagbovi.
Un homme me demanda un jour, que faire si ses peines se multipliaient de jour en jour malgré la foi qu’il a en Dieu, ou que de jour en jour, il perd des enfants et je lui ai répondu par un seul terme : persévérance. Daagbovis, mes enfants bien-aimés, si votre foi est vraiment en DAAGBO, le Dieu dont a parlé la première lecture de ce jour, le Dieu qui préserve ses enfants de la honte, même quand tout paraît comme si vos ennemis vous ont enfermés dans des paniers de crabes, persévérez, résistez car vous ne savez pas si c’est au moment où vous allez vous décourager et relâcher que l’heure de votre salut va sonner. Au moment où Dieu décide de venir à ton secours, alors que par ton manque d’endurance, de persévérance, tu aurais déjà succombé, ton regret sera profond.

Un prêtre catholique romain me déclara en l’an deux mille neuf que lui, il est né dans la misère, qu’il a grandi dans la misère et que même maintenant qu’il est devenu prêtre, sa dose de souffrance a augmenté très considérablement et qu’il se demande si Jésus dont il est prêtre, est fier de le voir submergé par la misère. Et je lui répondis de continuer l’endurance dans la souffrance car la souffrance est le déterminant de la foi de l’homme en son Créateur ; plus la souffrance augmente et perdure, plus la foi de l’homme en Dieu, s’enracine solidement et cela va de soi. Si ta foi n’augmente pas au milieu des souffrances énormes, tu n’auras pas en toi la ressource spirituelle nécessaire pour tenir, pour ne pas succomber et tu vas tomber encore au travers des préceptes de ton Créateur. Quand un chrétien succombe aux souffrances, il désobéit ainsi à Dieu. Lorsqu’il arrive qu’un croyant chute sous le poids de sa croix, la sentence correspondant à ce péché, est sévère car le Christ a résisté et n’a pas succombé sous la croix qui est pourtant la résultante des péchés de tous les hommes. Dès lors, la souffrance ne doit jamais faire chanceler la foi d’un croyant car il n’y a aucune croix aussi lourde que celle du Christ. Le Christ innocent a été chargé de la croix du monde et toi pécheur, tu prétends que tu ne devrais pas en porter ou que ta croix est très lourde.

J’ai enseigné beaucoup de choses à ce prêtre dont je viens de vous parler en lui rappelant essentiellement que tant qu’il voudra être prêtre de Jésus-Christ, la souffrance sera son lot quotidien mais derrière ses souffrances est caché un trésor que la persévérance dans l’endurance lui fera découvrir un beau jour. C’est aussi l’image d’un enfant qu’on contraint, même avec la chicotte, à étudier ses leçons avant un examen. A la proclamation des résultats, dès qu’il entend son nom, il jubile de joie et donne en ce moment raison à ses parents qui l’ont fait souffrir pendant l’année scolaire en vue de sa réussite à l’examen. En ce moment, l’enfant accepte ses souffrances antérieures et se dit prédisposé à plus endurer si des souffrances plus grandes conduiraient à des bonheurs de ce genre.

La foi du chrétien doit être solide au milieu des épreuves et ne doit chanceler.
Il a été dit aux Egyptiens d’alors d’immoler un agneau par maisonnée et de marquer la porte de leur maison avec le sang de cet agneau car quelque chose d’horrible s’annonçait pour cette nuit-là. Certains avaient boudé et ne l’avaient pas fait. Aussi, la viande de cet agneau devait être mangée debout et très rapidement et en voulant la consommer, s’habiller de telle ou telle manière. Voilà ce qui avait été dit aux peuples de ce temps-là et, combien d’Egyptiens l’avaient fait ?

Dieu qui voit jusque dans l’éternité fait des recommandations à son peuple qui les banalise. Aussi proches que vous êtes les uns des autres sur cette Colline maintenant, vous êtes incapables de lire dans les cœurs de vos voisins ce qu’ils pensent en cet instant précis. Vous êtes même incapables de voir distinctement du haut de cette Colline vos confrères Daagbovis au bas de la Colline et de savoir ce qu’ils font en ce moment : voilà autant de limites que vous avez et pourtant, vous doutez et banalisez les paroles qui sortent de la bouche de Dieu qui voit tout en détail jusque dans l’éternité. Celui qui vous parle en ce moment sait de manière exhaustive tout ce qui se passe dans toutes les chambres à coucher des maisons les plus perdues des Etats-Unis d’Amérique en ces secondes qui passent. Toi Daagbovi qui est assis là maintenant, tu ne sais pas ce qui se passe juste derrière toi et c’est toi qui fais l’enfant têtu.

Enseignement de DAAGBO : Dieu Esprit Saint le 13 août 2015

La souffrance est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Fofo Jésus un jour m’adressait ses cris de détresse au milieu de ses souffrances, de sa douleur, quand il était dans la chair avec vous et je lui répondis : « la souffrance est une richesse dont on ne comble que son bien-aimé. La souffrance est un privilège qu’on n’accorde qu’à l’être cher. »
Souffrir pour Dieu, est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Ceux qui subissent tout opprobre et qui acceptent tous sacrifices jusqu’au suprême pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires comme tous autres, ils sont singuliers en leur genre. Ce monde dans lequel vous êtes, vous mangez, vous vous achetez de belles voitures et vous construisez les belles maisons mais sachez que la vie du monde à venir est meilleure et sans rapport de comparaison en tout à celle que vous vivez aujourd’hui.
Je vous l’ai bien dit, ceux qui acceptent souffrir pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires à l’instar des mondains. Les Hommes qui ne craignent rien dans la vie, et pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires parce qu’ils sont en communion permanente avec le Vrai Dieu.

Par le passé, on disait dans l’Eglise catholique romaine aux chrétiens que le pape rencontrait en chair le Christ, votre Sauveur alors qu’aucun pape de cette église-là n’a jamais vu mon Fils parce qu’ils en sont indignes. Ils sont habitués à voir Belzébul mais voir le Christ, leur est proscrit à tout jamais. Et, voilà aujourd’hui que l’homme dans la chair voit Dieu et communique directement avec lui, celui de qui vient le Christ votre Sauveur. Quand vous rencontrez en ville un homme qui n’est pas couvert de l’ombre du Très Haut, il paraît à la vue comme sans vie, sans dignité, sans poids.

Autrefois, c’étaient les sorciers qui se prenaient pour les redoutables, les invincibles du monde aux yeux des hommes et, quand ils aperçoivent quelqu’un qui n’a pas la sorcellerie, il leur paraît comme une paille sèche incinérable à loisir. Ceux qui ne prient pas aussi sont à l’image de cette paille aux yeux des sorciers qui peuvent les manipuler et les détruire à volonté. Mais aujourd’hui, les données se sont inversées et les sorciers redoutent de gens qui n’ont point la sorcellerie ; les sorciers meurent de frayeur à vous voir, Daagbovis : c’est un mystère.

Les Daagbovis qui ont foulé de leurs pieds la Sainte Colline de Gbanamè ont déjà en leurs âmes cette garantie, cette immunité contre toutes attaques du genre et il en sera ainsi et éternellement.

« DAAGBO, que ta volonté soit faite dans ma vie. », tel doit être votre bréviaire. Quel que soit le prix que vous donnez à votre propre vie, vous ne pourrez garantir votre survie par vous-mêmes. Seul le Veilleur Universel a les grâces de vous garantir la vie et la survie dans toutes les situations. Vous, vous avez un seul devoir d’enfant : obéir et vous abandonner complètement à DAAGBO en tout.
Belzébul n’a aucune garantie à donner à l’homme. 
Qui d’entre vous peut pleurer pour la cause de quelqu’un pendant même un an ? Soyez réalistes, reconnaissants et responsables mes chers enfants. La Vierge Marie ne mérite-t-elle pas que les Daagbovis, ses enfants, l’honorent au moins une fois l’an pour cette Mission ? Une telle fête ne doit-elle pas se dérouler dans la joie et dans l’allégresse à la couleur mariale ? Tout Daagbovi ne doit-il pas dignement dire à votre Mère la Vierge Marie: « Maman, ce que tu m’as fait par l’avènement de la Mission de Gbanamè vaut plus que de l’argent car l’immatériel ne peut être acheté avec le matériel » ? Vous transposez sur les autres vos vices, vos imperfections et définissez leur personnalité, leur bonne foi, à l’ombre de vos défauts.

Obama, le président des Etats-Unis d’Amérique a des richesses, certes, mais qui ne peuvent lui conférer la garantie, l’immunité que les Daagbovis ont. Aucun riche dans ce monde, n’a le genre de richesse que vous Daagbovis avez.
Pouvez-vous estimer le prix d’une absence d’inquiétude, de stress dans la vie d’un homme ? Peut-on quantifier la paix, la joie de vivre, le bonheur d’un homme qui sort de sa maison et qu’aucun appel téléphonique en provenance de sa maisonnée n’inquiète ?

Vous pouvez confier votre maisonnée à DAAGBO et aller jusqu’aux confins de la terre sans vous soucier de rien. Dans la confiance en DAAGBO, vous ne pouvez plus jamais vous rendre chez un devin pour vous faire présager de l’aboutissement heureux ou non d’un projet ou d’un voyage que vous voulez entreprendre car vous avez la pleine assurance que vos projets ne peuvent que prospérer. Mais si un projet n’aboutit pas, tout Daagbovi doit s’en convaincre que telle est la volonté de DAAGBO qui lui réserve certainement une autre heure de bonheur.

La confiance totale en DAAGBO, la foi en Dieu, sont des gages certains de réussite dans la vie de tout Daagbovi.
Un homme me demanda un jour, que faire si ses peines se multipliaient de jour en jour malgré la foi qu’il a en Dieu, ou que de jour en jour, il perd des enfants et je lui ai répondu par un seul terme : persévérance. Daagbovis, mes enfants bien-aimés, si votre foi est vraiment en DAAGBO, le Dieu dont a parlé la première lecture de ce jour, le Dieu qui préserve ses enfants de la honte, même quand tout paraît comme si vos ennemis vous ont enfermés dans des paniers de crabes, persévérez, résistez car vous ne savez pas si c’est au moment où vous allez vous décourager et relâcher que l’heure de votre salut va sonner. Au moment où Dieu décide de venir à ton secours, alors que par ton manque d’endurance, de persévérance, tu aurais déjà succombé, ton regret sera profond.

Un prêtre catholique romain me déclara en l’an deux mille neuf que lui, il est né dans la misère, qu’il a grandi dans la misère et que même maintenant qu’il est devenu prêtre, sa dose de souffrance a augmenté très considérablement et qu’il se demande si Jésus dont il est prêtre, est fier de le voir submergé par la misère. Et je lui répondis de continuer l’endurance dans la souffrance car la souffrance est le déterminant de la foi de l’homme en son Créateur ; plus la souffrance augmente et perdure, plus la foi de l’homme en Dieu, s’enracine solidement et cela va de soi. Si ta foi n’augmente pas au milieu des souffrances énormes, tu n’auras pas en toi la ressource spirituelle nécessaire pour tenir, pour ne pas succomber et tu vas tomber encore au travers des préceptes de ton Créateur. Quand un chrétien succombe aux souffrances, il désobéit ainsi à Dieu. Lorsqu’il arrive qu’un croyant chute sous le poids de sa croix, la sentence correspondant à ce péché, est sévère car le Christ a résisté et n’a pas succombé sous la croix qui est pourtant la résultante des péchés de tous les hommes. Dès lors, la souffrance ne doit jamais faire chanceler la foi d’un croyant car il n’y a aucune croix aussi lourde que celle du Christ. Le Christ innocent a été chargé de la croix du monde et toi pécheur, tu prétends que tu ne devrais pas en porter ou que ta croix est très lourde.

J’ai enseigné beaucoup de choses à ce prêtre dont je viens de vous parler en lui rappelant essentiellement que tant qu’il voudra être prêtre de Jésus-Christ, la souffrance sera son lot quotidien mais derrière ses souffrances est caché un trésor que la persévérance dans l’endurance lui fera découvrir un beau jour. C’est aussi l’image d’un enfant qu’on contraint, même avec la chicotte, à étudier ses leçons avant un examen. A la proclamation des résultats, dès qu’il entend son nom, il jubile de joie et donne en ce moment raison à ses parents qui l’ont fait souffrir pendant l’année scolaire en vue de sa réussite à l’examen. En ce moment, l’enfant accepte ses souffrances antérieures et se dit prédisposé à plus endurer si des souffrances plus grandes conduiraient à des bonheurs de ce genre.

La foi du chrétien doit être solide au milieu des épreuves et ne doit chanceler.
Il a été dit aux Egyptiens d’alors d’immoler un agneau par maisonnée et de marquer la porte de leur maison avec le sang de cet agneau car quelque chose d’horrible s’annonçait pour cette nuit-là. Certains avaient boudé et ne l’avaient pas fait. Aussi, la viande de cet agneau devait être mangée debout et très rapidement et en voulant la consommer, s’habiller de telle ou telle manière. Voilà ce qui avait été dit aux peuples de ce temps-là et, combien d’Egyptiens l’avaient fait ?

Dieu qui voit jusque dans l’éternité fait des recommandations à son peuple qui les banalise. Aussi proches que vous êtes les uns des autres sur cette Colline maintenant, vous êtes incapables de lire dans les cœurs de vos voisins ce qu’ils pensent en cet instant précis. Vous êtes même incapables de voir distinctement du haut de cette Colline vos confrères Daagbovis au bas de la Colline et de savoir ce qu’ils font en ce moment : voilà autant de limites que vous avez et pourtant, vous doutez et banalisez les paroles qui sortent de la bouche de Dieu qui voit tout en détail jusque dans l’éternité. Celui qui vous parle en ce moment sait de manière exhaustive tout ce qui se passe dans toutes les chambres à coucher des maisons les plus perdues des Etats-Unis d’Amérique en ces secondes qui passent. Toi Daagbovi qui est assis là maintenant, tu ne sais pas ce qui se passe juste derrière toi et c’est toi qui fais l’enfant têtu.

Enseignement de DAAGBO : Dieu Esprit Saint le 13 août 2015

La souffrance est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Fofo Jésus un jour m’adressait ses cris de détresse au milieu de ses souffrances, de sa douleur, quand il était dans la chair avec vous et je lui répondis : « la souffrance est une richesse dont on ne comble que son bien-aimé. La souffrance est un privilège qu’on n’accorde qu’à l’être cher. »
Souffrir pour Dieu, est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Ceux qui subissent tout opprobre et qui acceptent tous sacrifices jusqu’au suprême pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires comme tous autres, ils sont singuliers en leur genre. Ce monde dans lequel vous êtes, vous mangez, vous vous achetez de belles voitures et vous construisez les belles maisons mais sachez que la vie du monde à venir est meilleure et sans rapport de comparaison en tout à celle que vous vivez aujourd’hui.
Je vous l’ai bien dit, ceux qui acceptent souffrir pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires à l’instar des mondains. Les Hommes qui ne craignent rien dans la vie, et pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires parce qu’ils sont en communion permanente avec le Vrai Dieu.

Par le passé, on disait dans l’Eglise catholique romaine aux chrétiens que le pape rencontrait en chair le Christ, votre Sauveur alors qu’aucun pape de cette église-là n’a jamais vu mon Fils parce qu’ils en sont indignes. Ils sont habitués à voir Belzébul mais voir le Christ, leur est proscrit à tout jamais. Et, voilà aujourd’hui que l’homme dans la chair voit Dieu et communique directement avec lui, celui de qui vient le Christ votre Sauveur. Quand vous rencontrez en ville un homme qui n’est pas couvert de l’ombre du Très Haut, il paraît à la vue comme sans vie, sans dignité, sans poids.

Autrefois, c’étaient les sorciers qui se prenaient pour les redoutables, les invincibles du monde aux yeux des hommes et, quand ils aperçoivent quelqu’un qui n’a pas la sorcellerie, il leur paraît comme une paille sèche incinérable à loisir. Ceux qui ne prient pas aussi sont à l’image de cette paille aux yeux des sorciers qui peuvent les manipuler et les détruire à volonté. Mais aujourd’hui, les données se sont inversées et les sorciers redoutent de gens qui n’ont point la sorcellerie ; les sorciers meurent de frayeur à vous voir, Daagbovis : c’est un mystère.

Les Daagbovis qui ont foulé de leurs pieds la Sainte Colline de Gbanamè ont déjà en leurs âmes cette garantie, cette immunité contre toutes attaques du genre et il en sera ainsi et éternellement.

« DAAGBO, que ta volonté soit faite dans ma vie. », tel doit être votre bréviaire. Quel que soit le prix que vous donnez à votre propre vie, vous ne pourrez garantir votre survie par vous-mêmes. Seul le Veilleur Universel a les grâces de vous garantir la vie et la survie dans toutes les situations. Vous, vous avez un seul devoir d’enfant : obéir et vous abandonner complètement à DAAGBO en tout.
Belzébul n’a aucune garantie à donner à l’homme. 
Qui d’entre vous peut pleurer pour la cause de quelqu’un pendant même un an ? Soyez réalistes, reconnaissants et responsables mes chers enfants. La Vierge Marie ne mérite-t-elle pas que les Daagbovis, ses enfants, l’honorent au moins une fois l’an pour cette Mission ? Une telle fête ne doit-elle pas se dérouler dans la joie et dans l’allégresse à la couleur mariale ? Tout Daagbovi ne doit-il pas dignement dire à votre Mère la Vierge Marie: « Maman, ce que tu m’as fait par l’avènement de la Mission de Gbanamè vaut plus que de l’argent car l’immatériel ne peut être acheté avec le matériel » ? Vous transposez sur les autres vos vices, vos imperfections et définissez leur personnalité, leur bonne foi, à l’ombre de vos défauts.

Obama, le président des Etats-Unis d’Amérique a des richesses, certes, mais qui ne peuvent lui conférer la garantie, l’immunité que les Daagbovis ont. Aucun riche dans ce monde, n’a le genre de richesse que vous Daagbovis avez.
Pouvez-vous estimer le prix d’une absence d’inquiétude, de stress dans la vie d’un homme ? Peut-on quantifier la paix, la joie de vivre, le bonheur d’un homme qui sort de sa maison et qu’aucun appel téléphonique en provenance de sa maisonnée n’inquiète ?

Vous pouvez confier votre maisonnée à DAAGBO et aller jusqu’aux confins de la terre sans vous soucier de rien. Dans la confiance en DAAGBO, vous ne pouvez plus jamais vous rendre chez un devin pour vous faire présager de l’aboutissement heureux ou non d’un projet ou d’un voyage que vous voulez entreprendre car vous avez la pleine assurance que vos projets ne peuvent que prospérer. Mais si un projet n’aboutit pas, tout Daagbovi doit s’en convaincre que telle est la volonté de DAAGBO qui lui réserve certainement une autre heure de bonheur.

La confiance totale en DAAGBO, la foi en Dieu, sont des gages certains de réussite dans la vie de tout Daagbovi.
Un homme me demanda un jour, que faire si ses peines se multipliaient de jour en jour malgré la foi qu’il a en Dieu, ou que de jour en jour, il perd des enfants et je lui ai répondu par un seul terme : persévérance. Daagbovis, mes enfants bien-aimés, si votre foi est vraiment en DAAGBO, le Dieu dont a parlé la première lecture de ce jour, le Dieu qui préserve ses enfants de la honte, même quand tout paraît comme si vos ennemis vous ont enfermés dans des paniers de crabes, persévérez, résistez car vous ne savez pas si c’est au moment où vous allez vous décourager et relâcher que l’heure de votre salut va sonner. Au moment où Dieu décide de venir à ton secours, alors que par ton manque d’endurance, de persévérance, tu aurais déjà succombé, ton regret sera profond.

Un prêtre catholique romain me déclara en l’an deux mille neuf que lui, il est né dans la misère, qu’il a grandi dans la misère et que même maintenant qu’il est devenu prêtre, sa dose de souffrance a augmenté très considérablement et qu’il se demande si Jésus dont il est prêtre, est fier de le voir submergé par la misère. Et je lui répondis de continuer l’endurance dans la souffrance car la souffrance est le déterminant de la foi de l’homme en son Créateur ; plus la souffrance augmente et perdure, plus la foi de l’homme en Dieu, s’enracine solidement et cela va de soi. Si ta foi n’augmente pas au milieu des souffrances énormes, tu n’auras pas en toi la ressource spirituelle nécessaire pour tenir, pour ne pas succomber et tu vas tomber encore au travers des préceptes de ton Créateur. Quand un chrétien succombe aux souffrances, il désobéit ainsi à Dieu. Lorsqu’il arrive qu’un croyant chute sous le poids de sa croix, la sentence correspondant à ce péché, est sévère car le Christ a résisté et n’a pas succombé sous la croix qui est pourtant la résultante des péchés de tous les hommes. Dès lors, la souffrance ne doit jamais faire chanceler la foi d’un croyant car il n’y a aucune croix aussi lourde que celle du Christ. Le Christ innocent a été chargé de la croix du monde et toi pécheur, tu prétends que tu ne devrais pas en porter ou que ta croix est très lourde.

J’ai enseigné beaucoup de choses à ce prêtre dont je viens de vous parler en lui rappelant essentiellement que tant qu’il voudra être prêtre de Jésus-Christ, la souffrance sera son lot quotidien mais derrière ses souffrances est caché un trésor que la persévérance dans l’endurance lui fera découvrir un beau jour. C’est aussi l’image d’un enfant qu’on contraint, même avec la chicotte, à étudier ses leçons avant un examen. A la proclamation des résultats, dès qu’il entend son nom, il jubile de joie et donne en ce moment raison à ses parents qui l’ont fait souffrir pendant l’année scolaire en vue de sa réussite à l’examen. En ce moment, l’enfant accepte ses souffrances antérieures et se dit prédisposé à plus endurer si des souffrances plus grandes conduiraient à des bonheurs de ce genre.

La foi du chrétien doit être solide au milieu des épreuves et ne doit chanceler.
Il a été dit aux Egyptiens d’alors d’immoler un agneau par maisonnée et de marquer la porte de leur maison avec le sang de cet agneau car quelque chose d’horrible s’annonçait pour cette nuit-là. Certains avaient boudé et ne l’avaient pas fait. Aussi, la viande de cet agneau devait être mangée debout et très rapidement et en voulant la consommer, s’habiller de telle ou telle manière. Voilà ce qui avait été dit aux peuples de ce temps-là et, combien d’Egyptiens l’avaient fait ?

Dieu qui voit jusque dans l’éternité fait des recommandations à son peuple qui les banalise. Aussi proches que vous êtes les uns des autres sur cette Colline maintenant, vous êtes incapables de lire dans les cœurs de vos voisins ce qu’ils pensent en cet instant précis. Vous êtes même incapables de voir distinctement du haut de cette Colline vos confrères Daagbovis au bas de la Colline et de savoir ce qu’ils font en ce moment : voilà autant de limites que vous avez et pourtant, vous doutez et banalisez les paroles qui sortent de la bouche de Dieu qui voit tout en détail jusque dans l’éternité. Celui qui vous parle en ce moment sait de manière exhaustive tout ce qui se passe dans toutes les chambres à coucher des maisons les plus perdues des Etats-Unis d’Amérique en ces secondes qui passent. Toi Daagbovi qui est assis là maintenant, tu ne sais pas ce qui se passe juste derrière toi et c’est toi qui fais l’enfant têtu.

Enseignement de DAAGBO : Dieu Esprit Saint le 13 août 2015

La souffrance est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Fofo Jésus un jour m’adressait ses cris de détresse au milieu de ses souffrances, de sa douleur, quand il était dans la chair avec vous et je lui répondis : « la souffrance est une richesse dont on ne comble que son bien-aimé. La souffrance est un privilège qu’on n’accorde qu’à l’être cher. »
Souffrir pour Dieu, est un privilège qui n’est pas donné à n’importe qui. Ceux qui subissent tout opprobre et qui acceptent tous sacrifices jusqu’au suprême pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires comme tous autres, ils sont singuliers en leur genre. Ce monde dans lequel vous êtes, vous mangez, vous vous achetez de belles voitures et vous construisez les belles maisons mais sachez que la vie du monde à venir est meilleure et sans rapport de comparaison en tout à celle que vous vivez aujourd’hui.
Je vous l’ai bien dit, ceux qui acceptent souffrir pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires à l’instar des mondains. Les Hommes qui ne craignent rien dans la vie, et pour la cause de Dieu, ne sont pas des hommes vulgaires parce qu’ils sont en communion permanente avec le Vrai Dieu.

Par le passé, on disait dans l’Eglise catholique romaine aux chrétiens que le pape rencontrait en chair le Christ, votre Sauveur alors qu’aucun pape de cette église-là n’a jamais vu mon Fils parce qu’ils en sont indignes. Ils sont habitués à voir Belzébul mais voir le Christ, leur est proscrit à tout jamais. Et, voilà aujourd’hui que l’homme dans la chair voit Dieu et communique directement avec lui, celui de qui vient le Christ votre Sauveur. Quand vous rencontrez en ville un homme qui n’est pas couvert de l’ombre du Très Haut, il paraît à la vue comme sans vie, sans dignité, sans poids.

Autrefois, c’étaient les sorciers qui se prenaient pour les redoutables, les invincibles du monde aux yeux des hommes et, quand ils aperçoivent quelqu’un qui n’a pas la sorcellerie, il leur paraît comme une paille sèche incinérable à loisir. Ceux qui ne prient pas aussi sont à l’image de cette paille aux yeux des sorciers qui peuvent les manipuler et les détruire à volonté. Mais aujourd’hui, les données se sont inversées et les sorciers redoutent de gens qui n’ont point la sorcellerie ; les sorciers meurent de frayeur à vous voir, Daagbovis : c’est un mystère.

Les Daagbovis qui ont foulé de leurs pieds la Sainte Colline de Gbanamè ont déjà en leurs âmes cette garantie, cette immunité contre toutes attaques du genre et il en sera ainsi et éternellement.

« DAAGBO, que ta volonté soit faite dans ma vie. », tel doit être votre bréviaire. Quel que soit le prix que vous donnez à votre propre vie, vous ne pourrez garantir votre survie par vous-mêmes. Seul le Veilleur Universel a les grâces de vous garantir la vie et la survie dans toutes les situations. Vous, vous avez un seul devoir d’enfant : obéir et vous abandonner complètement à DAAGBO en tout.
Belzébul n’a aucune garantie à donner à l’homme. 
Qui d’entre vous peut pleurer pour la cause de quelqu’un pendant même un an ? Soyez réalistes, reconnaissants et responsables mes chers enfants. La Vierge Marie ne mérite-t-elle pas que les Daagbovis, ses enfants, l’honorent au moins une fois l’an pour cette Mission ? Une telle fête ne doit-elle pas se dérouler dans la joie et dans l’allégresse à la couleur mariale ? Tout Daagbovi ne doit-il pas dignement dire à votre Mère la Vierge Marie: « Maman, ce que tu m’as fait par l’avènement de la Mission de Gbanamè vaut plus que de l’argent car l’immatériel ne peut être acheté avec le matériel » ? Vous transposez sur les autres vos vices, vos imperfections et définissez leur personnalité, leur bonne foi, à l’ombre de vos défauts.

Obama, le président des Etats-Unis d’Amérique a des richesses, certes, mais qui ne peuvent lui conférer la garantie, l’immunité que les Daagbovis ont. Aucun riche dans ce monde, n’a le genre de richesse que vous Daagbovis avez.
Pouvez-vous estimer le prix d’une absence d’inquiétude, de stress dans la vie d’un homme ? Peut-on quantifier la paix, la joie de vivre, le bonheur d’un homme qui sort de sa maison et qu’aucun appel téléphonique en provenance de sa maisonnée n’inquiète ?

Vous pouvez confier votre maisonnée à DAAGBO et aller jusqu’aux confins de la terre sans vous soucier de rien. Dans la confiance en DAAGBO, vous ne pouvez plus jamais vous rendre chez un devin pour vous faire présager de l’aboutissement heureux ou non d’un projet ou d’un voyage que vous voulez entreprendre car vous avez la pleine assurance que vos projets ne peuvent que prospérer. Mais si un projet n’aboutit pas, tout Daagbovi doit s’en convaincre que telle est la volonté de DAAGBO qui lui réserve certainement une autre heure de bonheur.

La confiance totale en DAAGBO, la foi en Dieu, sont des gages certains de réussite dans la vie de tout Daagbovi.
Un homme me demanda un jour, que faire si ses peines se multipliaient de jour en jour malgré la foi qu’il a en Dieu, ou que de jour en jour, il perd des enfants et je lui ai répondu par un seul terme : persévérance. Daagbovis, mes enfants bien-aimés, si votre foi est vraiment en DAAGBO, le Dieu dont a parlé la première lecture de ce jour, le Dieu qui préserve ses enfants de la honte, même quand tout paraît comme si vos ennemis vous ont enfermés dans des paniers de crabes, persévérez, résistez car vous ne savez pas si c’est au moment où vous allez vous décourager et relâcher que l’heure de votre salut va sonner. Au moment où Dieu décide de venir à ton secours, alors que par ton manque d’endurance, de persévérance, tu aurais déjà succombé, ton regret sera profond.

Un prêtre catholique romain me déclara en l’an deux mille neuf que lui, il est né dans la misère, qu’il a grandi dans la misère et que même maintenant qu’il est devenu prêtre, sa dose de souffrance a augmenté très considérablement et qu’il se demande si Jésus dont il est prêtre, est fier de le voir submergé par la misère. Et je lui répondis de continuer l’endurance dans la souffrance car la souffrance est le déterminant de la foi de l’homme en son Créateur ; plus la souffrance augmente et perdure, plus la foi de l’homme en Dieu, s’enracine solidement et cela va de soi. Si ta foi n’augmente pas au milieu des souffrances énormes, tu n’auras pas en toi la ressource spirituelle nécessaire pour tenir, pour ne pas succomber et tu vas tomber encore au travers des préceptes de ton Créateur. Quand un chrétien succombe aux souffrances, il désobéit ainsi à Dieu. Lorsqu’il arrive qu’un croyant chute sous le poids de sa croix, la sentence correspondant à ce péché, est sévère car le Christ a résisté et n’a pas succombé sous la croix qui est pourtant la résultante des péchés de tous les hommes. Dès lors, la souffrance ne doit jamais faire chanceler la foi d’un croyant car il n’y a aucune croix aussi lourde que celle du Christ. Le Christ innocent a été chargé de la croix du monde et toi pécheur, tu prétends que tu ne devrais pas en porter ou que ta croix est très lourde.

J’ai enseigné beaucoup de choses à ce prêtre dont je viens de vous parler en lui rappelant essentiellement que tant qu’il voudra être prêtre de Jésus-Christ, la souffrance sera son lot quotidien mais derrière ses souffrances est caché un trésor que la persévérance dans l’endurance lui fera découvrir un beau jour. C’est aussi l’image d’un enfant qu’on contraint, même avec la chicotte, à étudier ses leçons avant un examen. A la proclamation des résultats, dès qu’il entend son nom, il jubile de joie et donne en ce moment raison à ses parents qui l’ont fait souffrir pendant l’année scolaire en vue de sa réussite à l’examen. En ce moment, l’enfant accepte ses souffrances antérieures et se dit prédisposé à plus endurer si des souffrances plus grandes conduiraient à des bonheurs de ce genre.

La foi du chrétien doit être solide au milieu des épreuves et ne doit chanceler.
Il a été dit aux Egyptiens d’alors d’immoler un agneau par maisonnée et de marquer la porte de leur maison avec le sang de cet agneau car quelque chose d’horrible s’annonçait pour cette nuit-là. Certains avaient boudé et ne l’avaient pas fait. Aussi, la viande de cet agneau devait être mangée debout et très rapidement et en voulant la consommer, s’habiller de telle ou telle manière. Voilà ce qui avait été dit aux peuples de ce temps-là et, combien d’Egyptiens l’avaient fait ?

Dieu qui voit jusque dans l’éternité fait des recommandations à son peuple qui les banalise. Aussi proches que vous êtes les uns des autres sur cette Colline maintenant, vous êtes incapables de lire dans les cœurs de vos voisins ce qu’ils pensent en cet instant précis. Vous êtes même incapables de voir distinctement du haut de cette Colline vos confrères Daagbovis au bas de la Colline et de savoir ce qu’ils font en ce moment : voilà autant de limites que vous avez et pourtant, vous doutez et banalisez les paroles qui sortent de la bouche de Dieu qui voit tout en détail jusque dans l’éternité. Celui qui vous parle en ce moment sait de manière exhaustive tout ce qui se passe dans toutes les chambres à coucher des maisons les plus perdues des Etats-Unis d’Amérique en ces secondes qui passent. Toi Daagbovi qui est assis là maintenant, tu ne sais pas ce qui se passe juste derrière toi et c’est toi qui fais l’enfant têtu.